Quelques jours après notre arrivée, Steve s'est beaucoup amélioré en matière de ski, il à même tenter la piste bleue. Sans aucune surprise nous nous sommes sauter dessus à la moindre occasion qui se présentait.
4 heures du matin:
Moi: Pourquoi tu ne dors pas?
Steve: J'ai quelque chose en tête de plus intéressant que de dormir.
Moi: Pourquoi tu ne m'as pas réveillé?
Steve: Je n'avais pas envie de te déranger avec mes envies, comment dire subit.
Moi: Tu ne me déranges absolument pas, mais juste la prochaine fois ne me laisse pas dormir.
Steve: Oh mais c'est que tu es autoritaire des fois.
Moi: Allez viens.
J'ai passé le reste de cette nuit avec Steve, je suis légèrement fatigué, mais me lève de bon pied pour préparer le déjeuner ou plutôt l'acheter. Je pars donc vers l'épicerie en laissant un mot sur la table, au cas ou Steve se lèverais entre temps. En arrivant à l'épicerie, je ne vois personne, ce qui est assez étrange car tout les skieurs viennent ce ravitailler ici. J'entre et va chercher des pâtisseries, ce vide dans le magasin me fait presque peur. Après avoir payer, je retourne au chalet ou m'attends une surprise que je n'aurais pas imaginer, Steve torse nu coucher devant le feu avec deux tasse de thé.
Moi: Pour quel occasion?
Steve: Aucune, j'avais juste un peu froid.
Moi: Logique tu es torse nu et il fait -10° dehors.
Steve: Au lieu de me faire ton numéro de Stark, tu voudrais pas venir me réchauffer.
Moi: Que vais je faire de ses pâtisseries alors?
Steve: Je suis sûr qu'elle seraient de bonne compagnie près du feu.
J'enlève mon manteau et prends mon sac, je marche d'un pas décidé vers lui, je m'allonge juste à côté de lui, je lui dépose un baiser sur la bouche avant de manger le déjeuner. Quand Steve me pose une question.
Steve: Ça a l'air bon ce que tu manges.
Moi: Tu veux goûter?
Steve: Avec plaisir.
Contrairement à ce que je pensais, il prend ma tête entre ses mains et m'embrasse, il passe sa langue dans ma bouche.
Steve: Mmh c'est plutôt pas mal.
Moi: C'est à la foi super sexy et dégoûtant.
Steve: Je suis sûr que tu me le pardonnera.
Moi: Je commence à croire que tu lis dans mes pensées.
Steve: Peut-être qu'on ai des âmes-soeurs.
Moi: Un peu niait, mais oui sûrement.
Il lâche un sourire en coin et continue à manger.
18heures:
Je lis sur le canapé, ma tête contre le torse de Steve qui regarde la télé, soudain me vient une idée.