Chapitre 77

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🍋(petit)

Assis sur le lit il retire ses vetements un a un, je pars dans la salle de bain en quête de la trousse de secours, une fois en possession de celle-ci je me dirige vers le rouquin, son regard est plongé sur le sol. Il réfléchit ses yeux ne sont pas visible, quelque mèche lui couvre ses yeux.

Peu importe ce n'est pas son visage qui m'intéresse, mais ses mains, elles sont bien défoncées, il a dû le tuer à coup de poing. Je m'accroupis devant lui puis pose la trousse a mes côtes. Sa tête se remonte pour m'observer, je ne lui offre pas mon regard en retours. J'attrape une de ses mains et regarde de plus près ses blessures. Au contact de ma main sur la sienne j'ai parfaitement ressenti ce mouvement de recul, je n'ai rien laissé paraître, mais je sais qui a quelque chose contre moi. 

-Tu n'y es pas aller de mains mortes.

Sa deuxième main est dans le même état. Je ne sais pas qui était cette personne, mais elle n'a pas dû passer un bon moment. Une grande partie de sa peau est arraché et il reste encore des résidus de béton ou du moins quelque chose comme ça.

Il n'est pas sensible à la douleur alors la dose d'alcool que je verse n'a pas d'importance, pourtant je m'applique à faire en sorte que je ne lui fasse pas plus de mal. Les plaies désinfecter je prends une bande que je viens couper pour ensuite l'enrouler autour de ses doigts. Ses mains sont faites, mais ses avant-bras sont, eux aussi, pas mal écorcher je refais la même opération sur ses deux avant-bras pour les enroule, eux aussi, dans une bande.

Mon regard s'accroche à ses griffures sur le haut de ses épaules et qui continue vers son dos. C'est inhabituel de voir ce genre de blessure lors d'un combat même si la victime essayer de se débattre, mais là, les marque ne semblent pas violente. J'ai vite compris comment il les a eu.

-Tu es adorable chaton, merci.

Mes yeux se relèvent vers lui, il m'offre un sourire à tomber. Je lui rends sans me poser plus de question. Les produits ranger dans la trousse, je me lève pour la ranger dans son placard.

-Hisoka. Je parle fort pour qu'il puisse m'entendre vue que je me situe encore dans la salle d'eau. On pourrait parler si te plait. Je n'ai rien comme retours même pas un rire ou un souffle d'agacement. Hisoka je te parle.

Toujours rien, je sors de cette salle est à ma grande surprise, il n'est plus sur le lit. Il ne serait quand même pas partis aussi vite. Je sais qu'il est distant, mais j'ai vraiment besoin de lui parler. Mon cœur s'emballe en imaginant qui est parts de nouveau. Je fouille l'appartement, mais la moindre trace du magicien, il est parti. L'enfoiré.

Je te déteste. 

Mes genoux ne tiennent plus et je m'effondre au sol. Des larmes commence à arriver, mais je refuse de les laisser couler sans explication. Mes cheveux ondulent dans les airs, la baie vitre est ouverte. Elle ne l'était pas tout à l'heure, il aurait sauté par la fenêtre, c'est complètement stupide.

Je me relève et par ver celle-ci les rideaux vole me bloquant la vue sur l'extérieur. Je les pousse et traverse la fenêtre pour arriver sur le balcon. Mes yeux n'y croient pas, il est là debout à regarder la ville briller avec ses lumières nocturne. Il n'a pas pris la peine de se couvrir.

-Hmm quelque chose ne va pas chaton. Ses yeux m'examinent, il sait parfaitement dans quel état je suis. Je ne le cache pas.

-Je veux mettre les chose au clair, je suis sûr que tu me caches quelque chose ton comportement à changer.

-Tu te trompes je suis toujours le même. Son corps se tourne vers moi et s'approche du mien pour caresser ma joue. Je ne suis pas à tes côtes et tu sais très bien pourquoi.

Ultimatum Où les histoires vivent. Découvrez maintenant