Marinette et Adrien s'étaient avoués leur amour ainsi que leur attirance réciproque envers l'autre. Suite au baiser torride échangé après cela, la flamme du désir qui s'était allumé en eux avait prit de l'ampleur. Ne pouvant plus reffréné le désir qu'ils éprouvaient, ils laissèrent leurs corps s'exprimer pleinement, s'aimer passionnément. Adrien s'allongea près de Marinette sans détacher ses lèvres des siennes. Il descendit tout doucement ses lèvres vers sa poitrine.
- Mmmmm, gémit Marinette.
*PDV de Adrien
- Tu aimes ? sursurais je en glissant ma langue sur le nombril de Marinette.
- Ne t'arrête pas, me fit elle en gémissant une énième fois.
Satisfait, j'approfondis mes caresses. Je voulais que la première fois de Marinette soit exceptionnelle. Elle sera douce, puis violente et encore plus. Je voulais lui faire découvrir toutes les sensations possibles au cours d'un rapport sexuel. J'entrepris alors de défaire la boucle de sa ceinture, ce que je fis, et je lui retirais sa petite culotte noire. Je fus surpris par ce qui se trouvait en dessous. Un simple rictus étira mes lèvres.
- Tu l'as mis exprès pour moi ou bien tu avais déjà l'habitude d'en mettre ?
- ... Pour...toi, parvint elle à dire avec assez de peine puisque j'exerçais une légère pression sur son sexe.
- Intéressant ! commentais je.
Je la retournais subitement sur le ventre. Elle lâcha un cri de stupeur face à ce que je venais de faire. Je souris. Je tirais sur l'élastique de son string que je lâchais ensuite. Elle émit un cri de douleur. Ça m'amuse de faire ça. Je répétais mon mouvement encore une fois. Elle cria encore. Je continuais plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle se retourne, me fasse basculer sur le lit et se mette à califourchon sur moi.
- Tu ne sais pas que ça fait mal ? Ou tu le faisais exprès ? fit elle en retenant mes poignets à la tête du lit.
- Non, je ne savais pas, répondis je en feignant une mine d'enfant sage.
- Ça ne va pas se passer comme ça.
A ma plus grande surprise, elle me retira mon T-shirt, le jeta de l'autre côté de la chambre. Il s'en suivit de même pour mon Jean's. Elle distingua mon sexe à travers mon boxer ce qui ne fit que l'exciter. Elle me lança un regard qui en disait long sur ses intentions. Doucement, elle caressa d'abord le bout de mon sexe à travers le tissu. Voyant ma réaction, elle continua sa caresse. Puis, elle fit glisser mon boxer sur mes jambes, libérant mon sexe du tissu. Elle approcha sa bouche avec une lenteur presque insupportable. Elle me provoquait ! Elle comptait me faire souffrir ou quoi ? Elle me fit un sourire. Moi qui croyais qu'elle n'avait aucune expérience dans ce domaine, je m'étais trompé sur toute la ligne ! Elle déposa un simple baiser sur celui-ci. Cette action eu pour effet de provoquer des frissons dans tout mon corps. Mais je ne le fit pas paraître. Elle passa le bout de sa langue au dessus puis fit glisser sa bouche de sorte à pouvoir englober mon sexe en entièreté dans sa bouche. Elle reprit ce mouvement plusieurs fois tout en faisant des va-et-vient ce qui ne fit qu'accentuer la flamme du désir qui s'était enflammée en moi. Je serrais tout ce que je pus trouver de plus proche à l'aide de mes mains. Je me retins du mieux que je pus afin de ne pas la laisser me vider maintenant. Ce n'est pas la première fois qu'une fille me fait ça mais de toutes celles que j'ai eu dans mon lit, aucune n'ai jamais parvenu à me faire ressentir tout ça. Je ne ressentais pas vraiment grand chose quant elles le faisaient, ça avait juste le don de m'exciter si je ne l'étais pas assez. Mais là, j'ai presque éjaculer ! Je devrais, non ? Sans prendre le temps de plus y réfléchir, je me laissais aller. J'éjaculais au moment où elle retirait complètement sa bouche de mon sexe. Mon sperme se répandit sur son visage et une partie entra dans sa bouche. Elle avala le liquide, qui face à la réaction qu'elle venait d'avoir, avait un goût peu désirable. Je la regardais en souriant.
- C'est comment ? fis je innocemment.
- Tu n'as qu'à goûter pour voir, non ? C'est pas compliqué !
Ok. Je ne m'attendais pas vraiment à cette réponse là. Mais soit, j'avais mieux à faire. Je la fit retomber sur le lit et je reprit encore une fois possession de ses lèvres. Je les fit descendre tout en douceur vers sa poitrine dont je dégrafais le soutien-gorge. Je jetais le fin tissu en dentelles au loin avant de prendre les deux mamelons dans mes mains. Je les pressais tout en pinçant les aréoles qui se mirent à durcir. Elle emit un gémissement rauque. C'est quand même dingue ! Ses seins sont d'une douceur et d'une mollesse incroyable. On dirait presque des coussins. Je ne pus m'empêcher de la tripoter plus longtemps avant de les prendre en bouche. A tour de rôle, je suçais les pointes durcies de ses seins. Elle gémit de plus belle. Je devrais penser à consacrer un jour spécial à ses seins. Je leurs feraient toute sorte de choses. Je fis glisser mes lèvres jusqu'à son sexe. Cette fois-ci, je lui retirais son string. Je frôlais doucement son sexe ce qui la fit gémir encore une fois. J'approchais mon visage de celui-ci et je me mit à titiller son sexe de ma langue. Sa réaction ne se fit pas attendre puisqu'elle se mit à gémir en continuité. Elle poussait des cris d'excitation. Satisfait, je fit entrer deux doigts dans son sexe. Elle arqua alors son corps. Je me mit dans la tâche d'exécution de mes gestes de va-et-vient en entrant et en sortant mes doigts de son sexe à plusieurs reprises. Elle gémit de nouveau. Lorsque je retirais mes doigts, ils étaient recouverts d'une substance plus ou moins blanchâtre avec un aspect visqueux. Eh bien ! Elle mouillait assez vite notre chère Marinette. Je léchais mes doigts et je constatais que elle avait un goût presque pareille à celui du sperme qui s'était déversé plutôt dans la bouche de Marinette. Je montais sur le lit, près d'elle. Je m'allongeais puis je la mit à califourchon sur moi, tout en faisant pénétrer mon sexe en elle. Elle lança un gémissement plus fort que les précédents. Je lui gardais les hanches, coordonnant ainsi ses mouvements. Elle commença à suivre mon rythme. Elle se mit à bouger de plus en plus vite sur mon sexe, le souffle court. Ensuite, je me redressais la faisant asseoir. Nous continuâmes nos mouvements. Puis, je changeais encore de position, disposant ses jambes de part et d'autre de mon cou. Je la pris dans plusieurs positions. Son souffle s'accéléra de plus en plus et devint saccadé. J'étais également essoufflé mais je tenais à ce qu'elle en profite au maximum. Ayant atteint le summum de l'extase, je sentis son corps se crisper, signe que un deuxième orgasme venait d'exploser en elle. Elle retomba lourdement sur le lit, en sueur. Je retombais également sur le lit après avoir atteint l'extase à mon tour. Marinette rapprocha son corps du mien et m'enlaça. Je me blottis un peu plus contre elle et on s'endormit tout les deux.
*Fin du PDV