Draken X Reader

Chapitre 42

PDV de Takemichi :

Je suis de retour dans le présent et je me trouve en compagnie de Chifuyu.

Takemichi : Chifuyu !

Chifuyu : Qu'est-ce qu'il t'arrive ?? Ça ne va pas ou quoi de crier ??

Je regarde autour de moi et il y a encore tout le monde, en vie. Il manque les personnes que je veux le plus revoir : Draken et (t/p).

Takemichi : Où est (t/p) et qu'est-ce qu'elle fait dans la vie ??

Chifuyu : Hein ? Mais, elle est partie depuis un moment pour se balader en ville. Draken est partie la chercher, car il s'inquiète pour elle. Tu sais bien que c'est dangereux maintenant qu'on s'est frotté au gang de la dernière fois. Et tu sais bien qu'elle est toujours capitaine et qu'elle a des sociétés écrans qui embauchent des sans abri. T'as perdu la mémoire ou quoi ?

Takemichi : (t/p) est vraiment incroyable.

Chifuyu : Tu es sûr que ça va ?

Takemichi : Oui et allons chercher (t/p), je dois absolument lui parler.

J'ai convaincu Chifuyu de me suivre pour retrouver (t/p). Je veux la revoir et lui demander si on a vraiment tout réussi.

PDV de (t/p) :

Je m'enfuis aussi vite que possible mais, le mec qui me poursuit est toujours à mes trousses. Je m'engouffre dans les ruelles que je connais comme ma poche, dans le but de semer mon suiveur.

Homme : Je t'ai eue.

Un autre homme est ici et il me plante le bras. Je retiens mon cri de douleur et m'éloigne de lui. Manque de chance, l'autre qui me suivait vient d'arriver et il m'a frappé avec une barre de fer.

(t/p) : Fais chier...

Homme : Alors c'est donc toi l'espionne du Toman ? T'aurais pas dû mettre ton nez dans nos affaires.

Il pointe un pistolet sur moi et je suis mal. Je ne peux pas mourir maintenant alors que Take doit revenir.

Draken : (t/p) !

Draken arrive derrière moi et s'occupe de l'homme qui m'a frappé avec la barre en fer.

Draken : Hanma, occupe-toi de l'autre.

Je tourne la tête vers l'homme au pistolet et il se fait maîtriser par Hanma qui est toujours mon vice-capitaine, malgré les années.

Hanma : Ne me dis pas quoi faire, t'es pas mon capitaine à ce que je sache. Et occupe-toi mieux d'elle au lieu de me donner des ordres.

Draken me prend la main et me fait quitter la ruelle pour qu'on retourne en sécurité. Sur le chemin, je croise Chifuyu, qui vient me voir, en panique.

Chifuyu : C'est quoi tout ce sang ?

Draken : Elle s'est fait planter le bras.

Chifuyu : Ne bouge pas.

Il déchire un bout de sa chemise et entoure mon bras avec pour éviter que le sang coule abondamment.

Takemichi : (t/p) !

Je tourne la tête et vous Take arriver à fond vers moi.

Takemichi : Je suis enfin de retour !

J'écarquille les yeux et je suis heureuse d'entendre cette phrase que j'attendais depuis 12 ans. Il vient me prendre dans ses bras et je lui rends son étreinte.

Chifuyu : Qu'est-ce que tu racontes encore Takemichi ?

(t/p) : Tu es de retour, je suis tellement contente.

Je souris et je retiens mes larmes de joie, tandis que Takemichi fond en larmes.

Takemichi : Dis-moi que tout va bien, je t'en supplie.

(t/p) : Take, tout va très bien. On a vraiment réussi.

Draken : Je ne sais pas de quoi vous parlez tous les deux mais, on doit y aller, là.

On se remet en route et j'ai demandé à avoir un moment avec Take, une fois rentrés.

(t/p) : Tu es incroyable Take, tu as bel et bien changé le futur et grâce à toi, nous sommes tous encore là.

Takemichi : Je suis si heureux d'entendre ça. Et, pour ton enfant...?

(t/p) : Il est en vie.

Takemichi : Vraiment ?? Il est bien né ??

(t/p) : Je pense que c'est parce qu'il est arrivé en avance qu'il a pu naître en vie. S'il n'avait pas été en avance, il aurait pu mourir à cause d'une blessure que je me suis prise dans le ventre.

Takemichi : On a tout réussi, c'est pas croyable.

(t/p) : Tout ça, c'est grâce à toi. Merci du fond du cœur pour tout.

Je suis restée un long moment avec lui et il s'en est allé pour voir Hina et vivre sa vie normalement. Je me retrouve chez moi et Draken m'apporte une boisson chaude pendant que je suis sur le canapé.

Draken : Tiens.

(t/p) : Merci mon chéri.

Il vient s'installer dans le canapé et me prend contre lui, sous la couverture.

Draken : J'ai eu peur pour toi, tout à l'heure.

(t/p) : Désolée, j'aurai dû être plus prudente, c'est ma faute.

J'aperçois la main de Draken trembler alors je la saisis.

(t/p) : Tu trembles.

Draken : Quand j'ai vu le pistolet pointé sur toi, j'ai repensé à ce qui aurait pu t'arriver durant la bataille contre Valhalla. J'ai eu peur.

Quand j'entends ce nom, je me rappelle tout ce que j'ai traversé jusqu'à maintenant. Je rassure du mieux que je peux Draken. Il ne sait pas tout ce qui s'est passé avant et ce qui aurait pu se passer par la suite si Take n'avait pas été là.

(t/p) : Regarde, je suis encore en vie, tout va bien.

Il me sert plus fort contre lui et laisse sa tête se loger dans mon cou.

Draken : Heureusement que t'es en vie, je t'aime et je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose.

?? : Maman ? Papa ?

On tourne la tête et voyons notre fils/fille debout.

(t/p) : Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure-ci ?

(nom enfant) : Je n'arrive pas à dormir, je peux venir dans le câlin ?

(t/p) : Mais, bien sûr, viens.

Il/elle nous rejoint et ça part en câlin familial. Je souris et embrasse Draken quand (nom enfant) s'est endormi/e contre nous.

(t/p) : Je t'aime tellement.

Draken : C'est pareil pour moi.

Je finis la soirée en étant dans les bras de Draken et ayant (nom enfant) dans mes bras.

PDV de Draken :

Je les regarde dormir paisiblement sur moi et j'ai le sourire. Ils sont tellement mignons et je suis fier qu'on soit une famille heureuse. Je me lève et les porte tous les deux. Je dépose (nom enfant) dans son lit et porte (t/p) dans notre lit. Elle bouge et me sert dans ses bras dans son sommeil. Je joue avec une mèche de ses cheveux avant de m'endormir.

Draken : Est-ce qu'un jour je comprendrais le secret que tu gardes avec Take depuis tant d'années ?

Je soupire et arrête de penser à ça. Je pense que je ne le saurais probablement jamais et c'est peut-être mieux ainsi.

Draken : Passes une bonne nuit ma chérie et soyons heureux jusqu'à la toute fin.