Transportés au XXIe siècle !! - Demon Slayer/KNY fanfiction

Chapitre 14.4. Réconciliés - Mitsuri, Obanai, Gyomei, Tengen

- JE TE BAISE !

- Non puisque c'est moi qui te baise !

- Peut-on arrêter de parler au sujet de l'acte conjugal et se concentrer sur vos chakras ?

- Gyomei, je crois qu'il faut les laisser se hurler dessus, fit Tengen en se servant un verre d'eau.

- BAH TU ME BAISERAS PLUS ! S'écria la rose en montant les escaliers.

- Tant mieux !

- Tengen, Obanai est méchant ! Cria celle-ci à nouveau en le désignant du doigt en bas des escaliers.

- Et Mitsuri se comporte comme une gamine ! Cracha-t-il.

- Allons, allons, et si nous trouvions un terrain d'entente..? Tenta le pilier de la roche.

- D-de toute façon je t'ai jamais aimé ! Repris la jeune femme. On est mariés que sur le papier pour notre fausse identité mais moi je t'aime pas ! Je t'aime trop... Pas...

- Nezuko, Genya, lâchez ce pop corn, ordonna Tengen tandis qu'elle montait en courant les dernières marches avant de claquer une porte.

- Je présume que votre soirée d'hier ne s'est pas bien passée ? Fit innocemment Nezuko en se servant du jus d'orange.

Obanai soupira et alluma la machine à café. Sept heures du matin et déjà elle lui criait dessus.

- Retourne dormir au lieu de poser des questions indiscrètes.

- J'ai école, monsieur le pilier. Et Genya aussiiii ! On l'a inscrit dans le même établissement que Muichiro et Kanao au cas où il trouve des indices !!

- Je ne connais pas leurs visages.

- Kanao elle est mignonne et Muichiro il est mignon !

- Nezuko...

- Allez vous préparer ou ce sera vingt pompes avant de partir.

- Oui Tengen ! Cria Nezuko avant de monter les marches en courant.

- Et réveillez Zenitsu !

Tengen soupira et termina d'une traite sa tasse de café avant de lever les yeux vers Obanai. Gyomei pleurait leur si belle relation.

- T'as fait le con.

- Pourquoi vous l'acceptez tous ?

- Je n'accepte pas Akaza, mais je voue un attachement profond à Rengoku. Et s'il l'apprécie, tant mieux. Il n'allait pas bien ces derniers temps, je suis rassuré de le voir sourire sincèrement depuis leur rencontre.

- Il a dû l'envouter.

- Il n'a plus rien d'un démon, comment aurait-il pu ?

- Il cache son jeu, voilà tout ! On parle d'un meurtrier. D'un des chiens de Muzan.

- Et on parle de Rengoku, on peut lui résister lors d'un combat, mais pas mentalement. D'autant qu'Akaza était perturbé de pouvoir aller sous le soleil et tout le tralala, son cerveau a du faire le lien entre Rengoku et le départ soudain de sa souffrance.

- Donc tu penses qu'il n'est pas vraiment amoureux de lui ?

- Si, bien sûr que si. Qui irait se faire torturer par son maître qu'il sert avec dévotion depuis une centaine d'années, juste pour un bel homme au cheveux de feu ?

Obanai resta silencieux, il trouvait Akaza vraiment louche et doutait qu'il ne se retourne un jour contre Kyojuro et le tue sans qu'ils ne puissent réagir. Peut-être même était-il en contact avec Muzan et cherchait simplement des informations sur eux ? Une sorte d'espion infiltré ? Pourquoi Mitsuri n'y pensait pas ?

- Quoi qu'il en soit, attendons l'avis du maître, conclut Gyomei. Mais ta haine pour ce garçon ne doit pas empêcher ton amour pour Mitsuri, elle n'attend que ça que tu lui tendes la main en t'excusant d'avoir offensé son nouvel ami.

- Mec, je sais que l'histoire d'amour du Renkaza te perturbe dans ton attirance pour la gentille fille, mais les doutes font partie du jeu, tu ne dois pas la perdre pour autant. Lança Makio en entrant dans la cuisine, avant de boire le verre de jus d'orange que Nezuko avait laissé là.

- Mmh. Je vais aller la voir.

- Vivement votre réconciliation, souffla Gyomei.

- J'ai juste à lui filer des photos de gens d'animes pour la calmer, elle aime tout le monde.

Obanai eut un petit sourire, Tengen tapotait la tête de Makio, Makio voulait accompagner les trois enfants à l'école, et Gyomei pleurait.

Soudain, Nezuko arriva en courant et montra ses cheveux à la petite assemblée.

- Mitsuri m'a fait des tresses !!

Genya entra aussi et se réfugia derrière Gyomei.

- Elle veut m'en faire aussi...

- GENYAAAAAA !!

Un ouragan rose fit son apparition, bien vite retenu par son collègue aux yeux vairons.

- Fais-en plutôt à moi.

- D'habitude tu veux jamais... Mais bon, d'accord ?