Chapitre 18.2. "On a donné un flingue à Inosuke" - Giyu, Shinobu, Sanemi

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A la base je devais faire un bad ending pour tout le monde, mais j'ai un cœur. (Bien caché, certes.)

Mais mon chat m'a griffé la lèvre donc je suis de mauvaise humeur.

Merci pour les 16k mais vous me faites peur j'aime pas être remarquée.

Je ne veux juste pas vous croiser dans la rue après la fin de la fanfic parce que vous allez me baffer... Mais je serai à la Japan expo si vous tenez tant à me hurler dessus ^^ (Insta : uneconverserouge) 


Update deux mois après...  Merci pour les 21k 😅


- Tu aurais peut-être dû dire à ta sœur où on allait vraiment...

- Oh oui Giyu bien sûr que je vais dire à Kanao : "Ma puce ! On a trouvé les démons ! Passe une bonne soirée et pas d'alcool hein !", bien sûr !!

- Si on crève elle va t'en vouloir toute sa vie.

- Sanemi, n'en rajoute pas ! On ne va pas mourir, on s'est entrainés, on peut le faire. S'écria la fille papillon.

Shinobu passa la porte du train, une brise d'air frais passant dans ses cheveux, elle ne se retourna pas. Elle allait protéger sa sœur. Et survivre. 

Les démons étaient à Paris, ville ressemblant à un autre monde, et même leur côté excentrique y passait inaperçu. Mais ce qui leur avait permis de les localiser est que Doma avait décidé de devenir influenceur.

Et il était très critiqué par les internautes, avec de virulents commentaires tels que "superficiel", "psychopathe", "sale pervers", "il est obsédé par les femmes, enfermez le !", "ewww", "il s'est tapé ma mère !"

Shinobu étant l'auteure de trois de ces commentaires.

(Inosuke des trois autres)

- On fait selon le plan, ok ? Fit Giyu en posant une main sur l'épaule de la jeune femme, qui mit sa main par dessus la sienne.

- Ne t'en fais pas, personne ne mourra. On a donné un flingue à Inosuke, le plus dur ce sera de lui retirer.

Sanemi mis leurs sacs en hauteur et s'assit en face d'eux.

- En résumé, on doit tuer les deux Doma - celui de notre époque qui a été amené ici, et celui qui a vécu 100 ans de plus - ainsi que l'autre Kokushibo car on ne sait pas ce qu'est devenu le premier (nda : j'ai oublié son existence, donc on va dire qu'il et parti au Japon se recueillir sur la tombe de son frère). Puis assassiner Muzan, et essayer d'épargner Akaza-qui-a-cent-ans-de-plus parce que Rengoku a pitié de lui. 

- Et les quatrième et cinquièmes lunes ?

- Tu surestimes la motivation de l'autrice de la fanfiction, Giyu, elle met Gyutaro c'est déjà bien.

Tengen Uzui, Rengoku Kyojuro, et Akaza entrèrent à leur tour dans le train.

Tengen, l'air ravi, entourait les épaules de Rengoku d'un bras tout en riant à pleins poumons. Akaza lui jetait un regard assassin, ce crétin de pilier du son venait de gacher un presque baiser en s'incrustant entre eux deux.

Akaza et l'amour, quel duo iconique...

Et Obanai, dans toute sa splendeur, entra en bousculant Akaza.

- Tu empêche Mitsuri de passer. Sois désespéré ailleurs steuplait.

Le pilier de l'amour lança un regard tendre à Akaza.

- Fais pas attention, il est sur les nerfs parce qu'il voulait se déclarer mais que je l'ai fait en premier.

- ...N'étiez-vous pas déjà ensemble ?

- Cesse de poser des questions.

Sanemi soupira.

- Ils sont bruyants... On change de wagon ?

- Ce sont des places attitrées, souligna Giyu.

Akaza tirait justement les cheveux de Tengen qui lui avait joyeusement piqué sa place à côté du pilier de la flamme.

- Tu sais quoi Giyu ? C'est exactement pour ça que je ne voulais pas te pécho !

Le pauvre pilier de l'eau se tu, et Shinobu mit un coup de pied à Sanemi sous la table.

- Arrête de me faire du pied toi !

- Allons, allons, un peu de sérieux, cessez d'importuner vos petits camarades... Fit calmement Gyomei en entrant, accompagné de Genya. 

- TU FOUS QUOI LÀ ?!

- Je t'avais dit que mon frère serait en colère.

Genya se cacha derrière le pilier.

- N'arrache pas les cheveux qu'il me reste !

Heureusement pour lui, Giyu retenait Sanemi.

Les piliers entamaient un grand voyage.

Et Tengen espérait rentrer au plus vite parce que Hinatsuru lui avait dit que s'il était un père absent leur enfant serait triste. 

Enfant qui gazouillait plus avec tonton Kyojuro qu'avec papa Tengen.

Quant à Inosuke et Tanjiro... Ils étaient assis côte à côte.

"Amis" qu'ils avaient décidé de rester.

Même eux ne croyaient pas en ce mensonge

Inosuke scrollait de la main gauche, la main droite posée sur la cuisse gauche de Tanjiro, qui lui s'affairait à tresser les cheveux de son supposé ami.

- On regarde quoi ?

- Peu importe, répondit Tanjiro en souriant.

- Scr-

- Tant que c'est pas une série d'horreur.

- ... Pff.



Transportés au XXIe siècle !! - Demon Slayer/KNY fanfictionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant