Lié par le mektoub (le destin )

16.

Le lendemain matin, je me réveille vénère, j'ai grave mal dormi .
Hier soir j'ai même pas fini de manger que je suis monté finir ma soirée dans ma chambre à joué à FIFA
Avant de monter, j'ai mis les pendules à l'heure.

FLASHBACK

Je regarde les 2 cancres qui me servent d'amis et qui n'oublions pas, travaillent pour moi.

Moi : écoutez-moi bien parce que je ne vais pas me répéter... Je suis trop gentil avec vous et vous oubliez qu'ici celui qui décide "le boss ", c'est moi,
Donc on ne discute pas mes choix ou mes décisions ... Bref, vous m'avez soûlé.

Fin du FLASH-BACK

Je fais ma routine habituelle est descend prendre mon petit déj en bas, je prends au passage mon ordinateur portable pour voir mes mails en même temps, le temps vaut de l'argent, vous croyez quoi !? Que je suis un hmar qui vend de la beu.

Méfiez-vous des apparences, je suis un diplômé, j'ai eu mon bac et un BTS management commercial et j'étais le premier de la classe.
Mon biz est composé de plusieurs domaines, l'hôtellerie, la restauration, magasin de luxe et sans oublier la vente illégale dans plusieurs endroits dans le monde. À seulement 25 ans, j'ai déjà un grand empire et sa grâce à mon intelligence. Je me suis fait seul bien que nos pères étaient là avant nous.
 J'ai développé le peu qui nous ont laissés sachant que tu dois faire tes preuves même si tu hérites de reprendre les reines. J'ai dépassé les attentes et propulsé le biz bien plus loin que vous ne pouvez l'imaginer.

Je descents les escaliers et je vois au loin une personne de dos plus précisément une meuf avec les cheveux long bouclées bien galbée elle a ce qu'il faut là où il faut si vous voyez ce que je sous-entend, car de là où je suis, on aperçoit la cuisine.
Je presse le pas par curiosité, et arrive à son niveau, je me rends rapidement compte que c'est la bouffonne que j'ai kidnappée.
Mais qu'est-ce quelle fou ici ? Putain

Pdv Ayna : 

Je me suis réveillé très tôt le matin, je me sentais beaucoup mieux.
De mon lit, j'observe la chambre dans laquelle je loge.

Ça change de ma chambre dans le quartier.
Celle-ci est grande beaucoup trop grande. Un lit baldaquin en fer avec des rideaux blanc cassé .
La chambre est épurée, il y a le strict minimum une grande coiffeuse avec un grand miroir, celui où j'ai vu le fameux pyjama short pfff, j'ai jamais porté ça, je suis bien trop pudique.

Je constate que le bordel que j'ai fait hier a été rangé et en face de moi une porte .
Probablement, la douche et Dieu seul sais à quel point j'en ai besoin.
Je me mets sur le bord du lit doucement cette fois si,avec une légère douleur à la tête.
J'attends quelques secondes et regarde face à moi pour me lever.
Une fois, debout, je me dirige pas à pas vers cette porte et l'ouvre.
Je découvre un immense dressing, celui dont rêve toute les filles qui aime la mode ... Mais je n'en fait pas partie. 
Tous les habilles présents sont à ma taille les chaussures, et même les sous-vêtements ce qui me provoque un léger frisson.
Comment connaissent-ils mes mensurations ?
Plusieurs choix se proposent à moi, il y a même différents sacs de marque.
Après mettre remise de mes émotions, je prends les affaires les plus basiques.
Un jean noir et un haut simple blanc pas trop serré ainsi que des sous-vêtements, les plus discret et enfin des claquettes d'une marque connu.

En repartant vers le lit, je remarque une note signer IDRISS :

"Salem Ayna ! Comment tu vas ce matin ? J'aurais la réponse en rentrant ce soir ... Bref fait comme chez toi, j'ai envoyé une femme t'acheter tout ce qui te faut pour t'habiller en espérant que ça te plaise... Dans la cuisine, il y a tout pour un bon petit dej.
Ps : mange bien et prends du Doliprane si tu as mal à la tête, ordre du médecin."

Idriss, c'est celui qui souriait comme un clown même s'il est très avenant avec moi depuis le départ, je n'ai pas confiance en mes kidnappeurs.
Anass est la preuve vivante que je ne dois pas leurs accorder une once de confiance.

Je me dirige vers la sortie avec les habilles que j'ai choisi et je vais chercher où se trouve la salle d'eau.
Après avoir repris des forces, je vais commencer à élaborer des plans pour m'enfuir.

Oh, j'espère que mes parents se portent bien.
Et mes sœurs, mes yeux se remplissent de larmes, mais c'est hors de question que je faiblisse, ma vie est en jeu.

J'ouvre la porte et me retrouve dans un long couloir, je vais de quel côté à droite ou à gauche ? Bon, je vais tester la gauche.
Le clown aurait pu m'indiquer où se trouve la douche quand même.
Bref, j'ouvre la première porte à ma gauche et tombe par chance sur celle-ci.
Oh, merci, mon Dieu, j'avais trop peur de m'aventurer plus loin.
J'entre est ferme à clef, je suis pas trop à l'aise donc je garde mes sous-vêtements pour prendre ma douche avec les produits déjà sur place.
Après avoir fini, je me dirige en direction des escaliers qui mènent a l'étage du dessous.
De là où je suis, je vois un beau salon lui aussi très épuré avec ce qu'il faut, pas plus .
La couleur blanc cassée habille les meubles de celui-ci .
Je vois aussi une cuisine ouverte, équipée avec un plan de travail en marbre blanc et des meuble gris clair.

Vraiment mon kidnappeur à du goût.
Mon ventre cri famine.
Je commence à regarder ce qu'il y a dans les placards et dans le frigo .
Je prends le nécessaire pour un bon petit-déjeuner complet, euh, mais pas trop équilibré, je suis de la time des BATATA,je kiff manger surtout en période de stress et là il me faut reprendre des forces pour mener à bien mon futur plan.

J'étais concentré sur ce que je préparais quand une voix d'homme m'interpella. 

Lui : TU FOU QUOI ICI !? En criant avec une voix grave.

Je sursaute ne l'ayant pas entendu arriver. 
Je me retourne vers cette énergumène qui m'a rendu partiellement sourde en me criant dessus aussi près de moi.
Je l'ai reconnu de suite mr malpoli et qui se prend pour je ne sais qui.

Il avait les sourcils froncés et me lança un regard noir même si je distingue bien la belle couleur vert hazel qui orne ses beaux yeux.

Je n'ai même pas eu le temps de parler qu'il s'approche de plus en plus de moi m'obligeant à me reculer jusqu'à cogné mon bassin avec le plan de travail.
Je suis certes une fille discrète pas très sociable au premier abord, mais j'ai mon caractère et s'il pense m'intimider en criant comme un sauvage bah, il se trompe.

Moi : le regardant avec insolence, qu'est ce que je pourrais faire dans une cuisine ? ! Réfléchis un peu, je prépare de quoi manger.

Son regard devient de plus en plus noir et ses muscles se contractent tellement que j'ai l'impression que son tee-shirt allait craquer.
Je ne le lâche pas du regard et lui aussi .
Son front se colle au mien cette proximité me gêne énormément, mais wallah je ne lâche pas l'affaire qui t'a dépassé mes limites.

On est resté comme ça un bon moment et là...