Lié par le mektoub (le destin )

21. ELLE

Une odeur de VANILLE, je pourrais jurer que c'est exactement la même que celui de ma meilleure amie décédé...

Sans me rendre compte mes yeux son sortie de leurs orbites et je prononce en chuchotant.

Moi : Sarah...

Il était concentré à essuyer mon cou à ce moment précis. 
Il remonte ses yeux Hazel qui me rappellent celle de ma moitié...
Provoquant en moi, une tristesse et sens suivent des larmes.
Pourquoi je pense à elle maintenant !?

Pdv Ismael

Au moment où je veux la débarrasser du vomis qu'elle a près de ses lèvres, elle agit bizarrement, elle a eu un mouvement de recul .

Je ne sais pas pourquoi, mais la présence d'Anass dans sa chambre me paraît suspect.
Lui qui me défiait pour protéger sa belle sachant bien les conséquences de ses actes, là, il a cherché un prétexte pour ne pas la toucher.
En y repensant, il avait les yeux rouge...Putin il n'était pas dans son état normal.
Et Dieu seul sait ce qu'il lui a fait pour qu'elle réagisse de cette manière.
Un vrai CHMATA (lâche).
Je suis concentré à lui essuyer son cou toujours dicté par ce sentiment que je n'arrive pas à comprendre.

Mais je me sens bien à ce moment précis... Jusqu'à ce que je l'entende chuchoter un prénom qui met très familier.

Je relève la tête et croise son regard empli d'une tristesse.
Elle écarquille ses yeux comme si elle venait de découvrir quelque chose, mais quoi ?
Et là à ma plus grande surprise elle commence à pleurer et dirige sa main vers mon visage.
Je ne bouge plus tellement je ne m'y attendais pas.

Tout en pleurant de plus en plus fort elle répète le même prénom.

Elle : Sarah...

Je suis abasourdi par ce que je vois et ce que j'entends.
J'ai l'impression de plus avoir le contrôle sur moi-même.
Je reste là à la regarder sans sourciller.

Elle : n....non ... c'est pas.... possible, pourquoi ...j....Je ne comprends pas.

Moi : ...... Sourcils froncés 

Je regarde son visage se déformer face à sa tristesse.

Elle : tu me rappelles tellement ...sniff .. Ma lune, ma moitié 

Elle me caresse du bout des doigts délicatement mon visage comme s'il ne m'appartenait pas ... Comme si elle voyait en moi une autre personne.

Son regard perdu dans le mien,

Elle : tu....tu....as son odeur, j'en suis sûr, c'est so..Son parfum ...

Je n'arrive plus à émettre de son, mon cœur bat tellement fort qu'on peut facilement l'entendre.

Je ne quitte pas ses beaux yeux, oui, je le reconnais.
Et reprend mes esprits quand on toc à la porte .
C'est probablement Idriss qui veut me passer les affaires d'Ayna.

Elle ,toujours là à me fixer, je me lève brusquement avec ses palpitations d'un enfant ayant fait une grosse bêtise et qui se fait prendre la main dans le sac.

Elle me suit du regard et je brise le contacte intense que l'on avaient pour ouvrir la porte de la salle de bain.

Idriss me regarde dans un premier temps puis la regarde elle.
Il arque un sourcil.

Lui : bah... Euh ... Ça va ? 

Un peu pris au dépourvu, je ne serai répondre à sa question, moi même je ne sais pas si je vais bien.
Mais je choisi de ravaler ce sentiment ,n'oublions pas qui je suis!