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Au même moment :

Pdv Idriss :

Après avoir récupéré les affaires d'Ayna, je les ai donnés à Ismael qui se trouve dans la salle de bain avec elle.

J'ai dû choisir même ses sous-vêtements la hchoma.

Quand je suis rentré, ils étaient graves chelou comme si je les avais pris en flagrant délit... Surtout lui !

Mais c'est une première ISMAEL à bégayer !!

Bref, je vais les laisser tranquilles pour le moment ... Histoire à suivre.

Je me dirige vers le salon après avoir fait une petite sieste d'une heure.

Moi : les gars ça vous dit, on va faire de la muscle... Il ne faut pas oublier la semaine prochaine, on a une intervention sur le terrain...

Je me crois trop à l'armée, mais j'aime trop ça !

Anass est assis la tête en arrière sur le canapé les pieds sur la table.

Quand ismael va le voir, il aura signé son arrêt de mort.

Il est trop maniac le BOSS, c'est même lui qui a mis de l'ordre dans la chambre d'Ayna.

Anass : le regard dans le vide, vasy j'ai grave besoin de me défouler avec cette journée de merde.

Sans attendre, il se dirige vers les escaliers du sous-sol.

Aymen : sur son téléphone, LA FLEMME...

Moi : si tu n'es pas dans la salle de sport dans une minute, tu vas morfler ta race ...

Il y va en marche rapide, il sait très bien de quoi je suis capable.

Bref, on descend au sous-sol, la pièce à côté de la cave, c'est notre salle de sport avec un ring pour nos combats de boxe.

Je trouve Anass et Ismael.

Moi : Salam ismael... Bien ou b...

Je ne finis même pas ma phrase choqué par ce que je vois.

Il ne nous adresse aucun regard comme s'il ne nous avait même pas entendu entré dans la pièce. 

Il est bien trop concentré à démonter le sac de frappe.

Je me retourne vers Anass.

Moi : il se passe quoi là ?

Anass : je ne sais pas dès que je suis arrivé, il était déjà comme ça.

Je continue à le regarder surpris par son comportement, jusqu'à ce qu'Aymen m'interpelle.

Lui : on commence où on va rester là à le maté ...

Je lui lance un regard des plus noir pour lui exprimer mon agacement.

Moi : ok... Commençons tranquillement avec le circuit 1 comme d'habitude après on enchaîne avec le 3.

Eux : ok

Moi : et toi Aymen avant de commencer, tu me fais 100 pompes 

Lui : mais...

Moi : ferme ta gueule sinon, c'est le double.

Il s'exécute à la tâche, il ne faut pas oublier qu'après Ismael, ils me doivent aussi le respect en tant que bras droit.

Une heure plus tard :

Ismael est toujours là à boxer le sac qui ne va pas tarder à craquer. Ça m'étonne même qu'il ne le soit pas déjà...

Lié par le mektoub (le destin )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant