Chapitre 27

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Kay me serra dans ses bras alors que je pleurais toute les larmes de mon corps 

-Je sais Charlie. Pardon. Tout va bien maintenant, je suis la.

Malgrés ses paroles réconfortante, ça me prit plusieurs minutes avant de finalement me calmer. Lorsqu'il me lacha, j'avais completement arrêter de pleurer et je pouvais me tenir debout toute seule

-Écoute ma belle, je suis désolé, j'était... en colère et j'ai... J'ai perdu les pédales. Je n'aurais jamais du te crier après comme je l'ai fait.

Je séchait les dernières traces de mes larmes et hochait la tête. Il hocha la tête à son tour et m'offrit un petite sourire en coin.

-Maintenant tu voudrais bien m'expliquer pourquoi tes coéquipiers ont pointé une arme sur toi?

Je hochait la tête et lui racontait tout

***

- ... Et il m'a expliquer que mon père avait un genre de réseaux de trafic humains. Mais pas n'importe quel trafic, un trafic de créatures surnaturelles. Ensuite on à vu une voiture arriver et on c'est enfui. Probablement qu'ils nous ont suivis ici.

-Personne d'autre ne sait que tu es au courant ?

Je secouait la tête

-On ne peux pas les libéré, tu le sais ? Ils iront tout dire à ton père.

-Je sais.

-Alors, qu'est que tu veux faire?

-Je vais les interoger et ensuite je vais détruire le réseaux de mon père.

-Détruire le réseaux de ton père?

-En gros je vais le tuer.

Kay se tue et me fixa longuement

-Tu va tuer ton père?

Je hochait la tête

-Charlie...

-Quoi? Je n'ai pas d'autre option. Je ne peux pas le...laisser en vie. Pas après tout le mal qu'il à fait. Ont ne parle pas de quelque incident, on parle de miliers de créature vivante, vendu à des... à des organisations cruel. On parle de miliers d'être vivants qui souffre et qui ont peur par ma faute Kay!

C'était sortie tout seul, mais c'était la vérité. Toutes les créatures que j'avais refusé de tuer... Elles ont été captuer et vendu par ma faute

-Par ta faute ? Charlie tu ne savais pas...

-Ça n'a aucune importance.

-Si! Si ça en a! Jamais tu n'aurais participé à un truc pareil! Tu ne peux pas simplement débarquer la bas et libéré ses créatures! Ce sont des meurtrier , des violeurs, des tueurs en série... Tu ne peux pas simplement les libéré et espérer qu'ils ne tenteront pas de se venger.

-Ce ne sont pas seulement des assasins! Il y a des innocents dans le lot!

Pourtant, il avait raison, je ne pouvais pas libéré toutes ses créatures et prier qu'elles aient compris la leçons. Je reprit

-Mais tu as raison. Je doit trouver un endroit ou les garder. On y réfléchira plus tard. Pour l'instant on doit se concentrer sur les deux hommes dans mon salon. On va les enfermer ici et attendre quarante huit heure. Le temps qu'on réfléchisse un peu et ensuite on les interogera.

-Pourquoi pas maintenant?

Je déglutit difficilement

-Parce que... C'est une tecnique de torture. Je vais les laisser penser que je vais les laisser la... jusqu'à ce qu'ils meurent de faim. Je vais les laisser pourrir la jusqu'à ce qu'ils soient assez affamé et désespéré pour me dire tout ce que je veux savoir.

Kay me fixa un moment sans rien dire. Je n'arrivais pas à déchifrer son regard

-Tu voulais que je soit honnête. Que je te montre toute la vérité. La voila. Voila comment on travaille. Ce sont des chasseurs, il es inutile de leur demander gentillement ou de les torturer physiquement. Les chasseurs sont des tanks. La douleur... ce n'est que la routine. Par contre le mentale... C'est quelque chose que même les plus grand chasseur n'ont pas completement. Détruire quelqu'un physiquement c'est facile, mais réparable. Le mentale... C'est complexe et difficile à rebatir. Ont ne peux pas combattre la faim ou la soif. C'est un besoin.

Il hocha la tête.

-Je doit parler avec le reste de la meute. Je ne peux pas leur mentir.

-Ok. Vas-y.

Il hocha la tête et alors qu'il allais passer la porte, il s'arrêta soudainement

-Charlie ?

-Ouais?

-Sois prudente. Je te veux en vie quand je vais revenir.

-Promis.

-On se voit dans une heure ?

-Ok

-Ok

Il quitta la pièce sans se retourner et je soupirait.

***

Avec l'aide de Félix, je réussi à amener les deux chasseurs encore inconsient dans mon bureau. Je les attachait solidement et guérit celui qui c'était prit une balle. Pas assez pour qu'il ne souffre pas, mais juste assez pour qu'il survive. Je fermait la porte à clé et m'assie à la table de cuisine avec Félix

-J'ai besoin de quelque chose.

-Dit moi

-J'ai besoin de la liste de tout ceux qui ont été enfermer par les chasseurs. Une liste avec nom et photo.

-Ça pourrait prendre des années... réunir tout les noms et...

-Mais c'est faisable ?Si je te donne accès à notre base de données?

-Ouais.

-Parfait.

Je lui tendit mon ordinateur

-Je vais avoir besoin de plus de matos que ça par contre.

Je lui donnais ma carte de crédit

-Fait tout livrer ici et commence dès que possible. Je veux une liste en ordre alphabétique complète.

-C'est comme si c'était fait

Il ouvrit l'ordinateur et se mit au travail.  J'allais m'asseoir sur mon lit et fixait le vide. J'avais envie de parler à mes soeurs. De tout leur raconter, mais surtout de les mettre en sécurité le plus rapidement possible. Je composais le numéro de Lexy et attendit

-Allo?

-Salut, c'est moi.

-Charlie? Ça fait longtemps. Comment va ta mission

-Plutot bien. Et toi ? Ça va mieux?

-Ouais.

On resta silencieuse un instant.

-Lexy...Tu te souviens ce que je te disais quand tu étais plus jeune ? Quand tu avais peur du noir ?

-Ouais tu me disais...

-Shuuuut. Tu t'en souviens ?

-Qu'es ce qui ce passe Charlie? Je comprend rien.

-Ce n'est plus d'actualité

-Quoi? Comment ça?

-Je t'aime tu sais ?

-Oui, mais je ne comprend pas. Qu'es ce qui ce passe ? Charlie...

-Souviens toi de ce que je t'ai dit. On se voit bientot petite soeur. Dit à Mora que je l'aime.

-Ouais ok

-Je t'aime

-Je t'aime aussi

Je raccrochait espèrant qu'elle avait bien comprit mon message. Quand on était plus jeune, Lexy avait peur du noir. Elle venait me voir la nuit et je lui disais la même chose chaque nuit.

Papa est la et il ne laissera jamais rien t'arriver 

C'était encore d'actualité, mais elle devait savoir. Elle devait comprendre qu'il était dangereux.

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