Chapitre 33

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Mes deux derniers cours passairent à une vitesse des plus décevante. Je n'arrivait pas à rester concentré et je ne pouvais pas arrêter de penser à Kay. J'avais des millions de questions. Il avait parlé de me marqué? Comme du bétail? Je ne comprenais plus rien. Mais par dessus tout, il m'avait avoué qu'il m'aimait. Il m'aimait vraiment et comme un fou. Il y avait aussi cette histoire d'ames soeur, mais j'avais beaucoup étudier la question étant plus jeune. Les ames soeur ce n'était pas tout blanc et jolie comme le laissais croire la pensée populaire

Une ames soeur est seulement quelqu'un qui nous est destiné à la naissance, mais cette personne va grandir et peux devenir quelqu'un qu'on ne pourra jamais aimé. Par dessus tout, on pouvais aussi jamais la trouver. Elle peux mourire avant même qu'on ne puisse pensé à la chercher. Il y avait tellement de variables.

Lorsque les cours furent enfin terminer, je me dépêchait de tout déposé à mon casier et attendit Kay à sa voiture. Il arriva quelque minutes après moi, un regard interrogateur sur le visage

-On doit parler

Il hocha la tête et me laissa entrer. On passa un bon moment en silence, lui à conduire et moi à observer le paysage. Lorsqu'on arriva chez lui, j'entrait et on s'installa dans sa chambre.

-Je suis désolé. Je... Tu m'as dit des choses très personelle et j'ai mal réagit. C'est seulement que... J'ai tellement de questions, de choses que je ne comprend pas ou que je ne connais pas .

-Je sais. C'étais beaucoup d'un coup, mais vas y.

-Je sais que cette histoire d'ames soeur est très... improbable. C'est seulement que je doit être sûre tu comprend. Je doit être sur que tu ne m'abandonnera pas un jour parce que tu as rencontrer celle qui est faite pour toi. Et je sais que tu ne peux pas me donner de garenti, mais tu comprend mon inquiétude

-Oui, mais si je te marque, mon loup sera lié à toi et lorsque c'est le cas, il est beaucoup plus difficile de reconnaitre son ames soeur.

-Me marquer ? Avec du fer chaud?

Il pouffa et sourit

-Non Charlie. Je ne vais pas te marquer comme du bétail. Le marquage c'est lorsqu'un loup mord sa compagne. De base ça se fait sous forme animale, mais ça peux aussi être fait sous forme humaine et c'est seulement valable lorsque c'est fait pendant une relation sexuelle. Ça laisse une cicatrice et en même temps, ça mélange nos odeurs. Ce qui fait que si un autre loup t'approche, il saura que tu es avec un autre

-Donc, tu es en train de me dire que si tu me marque, tu annule presque toute tes chances de rencontrer ton ames soeur.

-Charlie... Mon ames soeur peux bien être morte écrasé par un bus si on joue à ça.

-Mais tu n'as pas envie de trouver la personne qui est faite pour toi? Celle qui te comprend et qui est comme toi?

-Tu sais très bien que ce n'est pas toujours comme ça.

-Mais il y a des chances que si!

-Des chances Charlie. Ce n'est pas une certitude et puis je ne peux pas perdre quelque chose que je n'ai pas. Toi tu es la, la maintenant. Et si ça peux te rassurer, le marquage peux être annuler. C'est douloureux comme procédure, mais lorsque les deux sont consentant, ont peux briser le lien.

Un silence s'installa pendant quelque secondes

-Tu m'aimes ?

-Si tu savais Charlie...

Il s'approcha

-Tu serais prêt à mettre de coté tes chances de rencontrer ton ames soeur pour avoir un avenir avec moi?

-Je serais prêt à tout pour toi. Si mon ames soeur pouvait être humaine, ça serait toi. J'aime penser qu'au fond c'est toi, même si je sais que c'est quasi impossible. Ce n'es arriver que quelque fois dans l'histoire, mais ça me donne espoire. Et même si ce n'est pas le cas, mon ames soeur ne pourrait pas être plus parfaite que toi.

-Comment on sait?

-Des médiums peuvent voir ce genre de chose, mais je n'ai pas envie de savoir. Ça n'a aucune importance. C'est toi que je veux.

-Tu es vraiment sur de toi?

Il rit et prit mon visage dans ses mains

-Charlie, Je t'aime. Je t'aime comme un fou bordel.

Il m'embrassa fougeusement et je sus qu'il le pensais vraiment. Il m'aimait vraiment et était prêt à tout sacrifier pour moi. Personne ne m'avais jamais fait passer en premier comme lui et je ne voulais pas perdre ça. Malgrés moi, je pense que je l'aimait aussi. Il me souleva et me plaqua contre le mur, encore une fois, mon corp s'enflamma et je ne pus résister plus longtemps.

Je passais mes mains sous son t-shirt et je senti ses abdos parfaitement dessiner se contracter à mon toucher. Ses mains, qui me soutenait, me brulait à travers mon jeans et me torturait agréablement. J'avais besoin de lui, maintenant.

Je fit passer son t-shirt par dessus sa tête et ne perdit pas de temps pour retirer le mien. Il me décolla du mur, et toujours en supportant tout mon poids, me transporta vers le lit, sans jamais enlever ses lèvres des miennes. Lorsque mon corps rebontit contre le matelat, je levait les yeux vers lui. Son regard était voilé par le désir. Un désir animal qui m'excita à un plus haut point. Il s'agenouilla par dessus moi et se mit à embrasser mon cou. Ses lèvres étaient un vrai suplice. Il descendit lentement le long de mon ventre jusqu'à atteindre mon jean. Il le déboutona mon et le fit lentement descendre le long de mes cuisses. Il remonta et m'embrassa violement. Tout à coup, il se détacha de moi, le souffle court

-Dit moi d'arrêter.

Je froncait les sourcils.

-Si ce n'est pas ce que tu veux, dit le tout de suite. Parce que je ne sais pas si je vais pouvoir...

Je le coupait en l'embrassant. Ce fut le signe qu'il avait besoin pour retirer son pantalon à son tour. Sans vraiment comprendre comment, je me retrouvait completement nue, son corps chaud collé contre le mien. Ses mains étaient partout sur moi et me brulait littéralement. Il se remit à embraser mon cous et à le mordiller sensuellement. Je ne tenait plus. Je serrais mes cuisses l'une contre l'autre pour tenter de contenir mes sensations. Tout mon corps était à fleur de peau. Son touché provoquait quelque choses que je n'avais jamais ressenti auparvant 

-Mord moi

Kay se figea un moment

-Charlie...

-Fait le

Il sembla hésiter un moment, mais recomenca à embrasser mon cous. Alors que je pensait qu'il avait abandonner l'idée, une douleur explosa dans mon coup

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