DJEFA: dilemme ?

18 - chercher un mari

Partie 18 _________________

Ou se trouve la limite entre mentir et cacher une vérité ?

Ne pas dire quelque chose qu'on sait, sachant que le personne face a nous mériterai de savoir, mais du moment où elle l'ignore et ne demande pas a savoir, est-ce mentir ?

Je pense pas, selon moi ne pas dire, ce n'est pas mentir, vu qu'on ne m'a rien demandé.

Et puis, si dire la vérité ne vas que ramener des problèmes ou faire souffrir, mieux vaut ne pas le dire non ?

Djamila: dit moi je dois faire quoi a ton avis ?

Moi: je suis... très mal placé pour donner un conseil mais laisse le temps faire les choses, tu verra bien qu'il fais des efforts alors ça va s'arranger.

Elle: ça s'arrange trop lentement surtout depuis un certain temps, parfois il rentre du travail, il dîne et après il s'isole sur le balcon avec son téléphone, a défiler je ne sais quoi, des photos sûrement, et il ça le rends pensif, quand je me rapproche il éteint son téléphone.

Je lui aurai bien dit de fouiller son téléphone en son absence, mais j'ai bien peur que ça se retourne contre moi, alors j'ai préféré écourter la discution.

Moi: *en regardant l'heure* bon je vais devoir y aller avant de subir sa colère à mon tour, on en reparlera.

Elle: d'accord, bonne journée.

Moi: a toi aussi.

Elle est descendu et je suis repartie.

J'arrive à l'entreprise, je me gare et me dirige pépère vers le bâtiment quand je sens une main me tirer en arrière, j'ai voulu crier mais sa main à étouffé mon cris.

?!: reste calme c'est moi.

Moi: lâche moi

Lui: tu jouais a quoi tout a l'heure, tu crois que...

Moi: orh ferme la et lâche moi, je te dois rien du tout.

Lui: j'ai bien réfléchis, si tu veux je t'épouse

Moi: ceci dit tu a réfléchi tardivement tu vois et ça ne m'intéresse plus, j'espère que c'est clair maintenant, à quel heure je vais épouser un incapable comme toi, vu comment tu traites ta femme. Et bizarrement c'est que quand tu me vois avec un autre que tout d'un coup, la tu veux bien m'épouser, t'es bien drôle toi.

Lui: tu te mens a toi même, et tu le sais très bien.

Moi: oui et alors c'est mon soucis ça, toi reste avec ta femme et arrête de la faire souffrir, elle demande juste ton amour, rien de plus.

Lui: et je fais comment si je t'aime toi ?

Moi: force toi, ça va te passer.

Lui: tu sais très bien que ça passera pas, autant pour moi que pour moi.

Moi: alors fallait pas commencer ce petit jeu, maintenant assume, moi je suis bien décidé à tourner la page. Bref lâche moi ou je crie.

Lui: on en arrivera pas jusque là.

Il allait m'embrasser, mais j'ai profité du fait qu'il a lâché prise pour partir, ou plutôt fuir, j'ai clairement pas envie de retomber bêtement dans ses bras.

Je me suis enfermé dans mon bureau le cœur battant encore très fort.

[...]

Quand j'ai pris la précaution d'avoir une chambre en plus chez moi, je savais bien pourquoi.