trois

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Merida secoua la tête pour la énième fois. Aujourd'hui était un nouveau jour et elle n'allait pas la gâché! Elle avait trop pensée au Duc et pourquoi était-il si ancrée dans sa mémoire! Boff il n'avait rien à voir avec le genre d'homme qu'elle voulait ... Il était l'opposer... elle le comprenait car c'est pas facile de perdre l'amour de sa vie et son enfant le même jour .....

---Milady Merida, le thé est servi. Lui informa Valy.

--Merci.

Tout en descendant l'escalier, Merida entendait les rires de sa soeur aînée dans le salon, Anne était stupide se dit elle, quand elle arriva enfin, elle fût bloquer à l'entrée de la porte, Le Duc CRAWLEY était ici ? Comment était ce possible? Il est venu demander sa main? Pourvu que non supplia t'elle. Il fallait qu'elle sorte d'ici au plus vite ...

-- Oh Merida! Fit Diane devant son piano.

Merida ferma les yeux maudissant sa soeur par tout les Dieux , Anne avait cessé son rire affreusement désagréable.

--Ah vous êtes afin debout! Lord CRAWLEY, voici Merida, la benjamine de la famille CHELMSFORD dit Diane.

Merida voulait crier qu'ils se connaissaient déjà...enfin un peu.

-- Tout le plaisir est pour moi, lord CRAWLEY, mais vous pouvez m'appeler Euan. Dit celui ci en lui fesant une baise main sans son accord, Merida lui rendit son sourire faussement radieuse avant d'enlever sa main des siennes rapidement.

--Elle est la plus petite et la plus têtue, Merida avez vous rendu visite à vos chevaux ce matin? Lance Anne avec son sourire espiègle. Merida préféra la toiser du regard avant de reporter son attention sur Duc qui avait prit une mine non enjoué par les blagues de Anne.

-- Vous aimez les chevaux? Demanda t'il à Merida.

--Qui n'aime pas les chevaux? Répliqua t'elle sur la défensive prête à sauter sur sa soeur.

Euan regarda la jeune femme qui avait foncé les cils, on dirait qu'elle allait passé à l'attaque dans quelques minutes, une vrai délinquante vu son air.. Rien de la jeune femme qui avait faillit tomber hier... A ce propos, Andrew CHELMSFORD l'avait invité à prendre le thé ce matin avec eux, jamais il n'avait penser revoir la fameuse Merida CHELMSFORD, s'il avait su lors des présentations qu'elle allait dire le mots CHELMSFORD, il aurait rapporté son étole, elle l'avait oublié dans le salon .... il avait comprit pourquoi elle s'était enfuie... Les coutumes de CHIPPING CAMPDEN n'avait pas changer ... interdiction à une dame de se retrouver dans un lieu intime avec un gentleman.. Euan secoua la tête.. les traditions.... encore! Dans les nombreuses pays qu'il avait visité aucune dame n'avait droit de s'abstenir ... elle rencontrait qui elle voulait où elle voulait, la seule chose s'était de bien se comporter... En voyant la jeune femme au cheveux doré, Euan sût qu'elle ne respectait aucune règle et fesait que ce qui lui plairait, tout le contraire de ce qu'il recherchait ... Cette jeune femme était non seulement trop petite pour lui, mais aussi vu son comportement elle attend peut être le prince charmant... Malheureusement aucune histoire d'amour n'a de fin heureuse ... l'amour, il l'avait connu, avec elle et il avait souffert.....

--Pourriez vous m'y enmenner j'aimerais les voir.

Anne courue vers Euan lui prenant la main.

--Lord Euan, c'est pas un endroit pour un homme comme vous, vous allez vous salir, en plus nous allons prendre le thé....

--Ne vous inquiétez pas lady Anne, vous êtes loin de connaître les désirs d'un homme comme moi.. Sans attendre une réponse de sa part, Euan quitta le salon, Merida sourit malicieusement à sa soeur avant de suivre le Duc... Ils avaient marché jusqu'à l'écurie et aucun d'eux ne parlait depuis l'incident avec Anne. Merida s'arrêta et se tourna vers lui.

--Pourquoi vous êtes venu ?

-- J'ai un faible pour les étalons de CHIPPING CAMPDEN, ceux d'Écosse sont différents.

-- Je ne parle pas de mes chevaux lord CRAWLEY.

--Et bien, lady Merida soyez plus clair.

--Très bien, je vais être clair et précise. Un, si vous m'aviez vu hier dans votre bal sachez que j'étais pas venu pour vous... je passais par là et la curiosité m'y a conduite, ensuite je m'ennuyais, deux, je m'excuse de vous avoir importuner en tombant dans votre jardin, d'ailleurs je n'vous avais pas vu, trois, désolé de vous avoir fait perdre votre temps et de vous avoir donner de fausse espoir....

Euan l'écoutait sans comprendre ses mots.

--Attendez Miss Merida, je vous suis pas, comment ça de fausse espoir?

-- Je sais que votre femme est morte il y a peu... et que vous êtes venue chercher une autre femme digne de vous, mais je ne suis pas celle que vous recherchez, j'aspire à des choses romantiques et tout le reste et déjà je ne désir pas me mariée...

-- Vous pensez que je suis ici pour demander votre main ?

Merida parût gêner.

--N'est ce pas le cas?

Euan sourit nerveusement, rendant ainsi la jeune femme ridicule face à ses propos farfelue.

--Navré de vous décevoir, je ne suis venu demander la main de personne encore moins la votre, vous avez raison ma femme est morte et je recherche sans doute une épouse ici à CHIPPING CAMPDEN mais ... vous êtes loin de mes attentes Milady. Et s'il vous plaît veuiller laissez repsoser la mémoire de ma femme dans le respect et la loyauté qui lui est dédiée. Je suis venu car j'ai été invité par votre père que j'ai connu il y a fort longtemps alors que vous étiez qu'une gamine et que sans vous offensez, vous êtes toujours, pour prendre le thé, et si je savais que j'allais créé en vous une confusion aussi farfelue, J'aurais sans doute refusé aimablement l'invitation de votre père.

Honteuse d'avoir mit dans sa tête une chose carrément impossible, Merida bafoullia.

--Je.... enfin je suis...

Euan leva la main.

--Ne cherchez pas d'excuse. Si vous le permettez, je me retire j'ai été ébloui par la beautée et la bonne manière de vos.... chevaux.

Merida n'avait rien dit, ils savaient tout les deux qu'il ne parlait pas des chevaux mais d'elle, elle le regarda s'en aller, elle se sentit vraiment mal... Pourquoi avait elle pensée une telle chose? En plus elle savait pertinemment qu'elle n'était pas le type de femme qu'il recherchait, il n'avait pas de quoi faire un drame... Les larmes remplissaient ses yeux, en plus elle n'avait pas de mouchoir.. elle dû les séchées avec les pans de sa robe .... Quand elle fût de retour dans le salon afin de s'excuser, le Duc n'était pas présent .

--Où est le Duc CRAWLEY? Demanda t'elle a Diane qui sirotait son thé.

-- Il est parti, il a reçu un appel important il s'est excuser puis est parti, pourquoi? Il était bien avec toi, non ?

--Euh... oui... bien sur... je l'ai laissé prendre l'appel quelques minutes et j'ai pas remarqué son absence....

-- Cette appel à dû être important il viendra s'excuser t'inquiète pas.

Si Diane savait que c'était à elle de s'excuser...

À L'OMBRE DU PASSÉ..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant