Trente-trois

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Euan signa les derniers papiers de sorti, Merida ainsi qu'Aliyah était assise dans la voiture, Sutton était parti le premier afin de régler les derniers détaille pour le voyage.

-- Tu veux vraiment divorcé? Lui avait demandé sa meilleure amie,

-- Oui, je l'ai vu embrasser cette Femme, je ne sais même pas qui s'était!

-- Tu pourrais lui demander non? Tu lui a caché ta grossesse pendant deux mois, et s'il est venu à New York il a bien une raison.

Merida ferma les yeux, elle se sentait fatiguée avec toute cette histoire, elle s'endormie peu à peu oubliant les mauvais jours qu'elle avait passé à New York. Quand ils furent enfin à CHIPPING CAMPDEN, Euan fit porter ses bagages ainsi que ceux de sa femme dans leur chambre, quand à Merida, elle avait les mains posés sur son ventre, imaginant que si son bébé était encore là.... la façon dont elle allait le lui annoncer... L'expression de son visage quand il aurait tout découvert....

-- La chambre est tout à toi si tu veux te reposer. Lui dit son mari en la rejoignant.

Silence, Merida était perdu dans le miroir en face d'elle à se regarder surtout son ventre comme si elle regrettait ce qui c'était arrivé... Et pourtant il était le seul fautif, si elle voulait le punir elle pouvait le faire mais jamais il accepterait de divorcer.

-- Je serai avec Sutton au bar, si toute fois tu....

-- Tu seras avec Sutton ou ta maîtresse? Celle que tu embrassais passionnément dans ton appartement à New York.

Euan ferma les yeux en gardant le silence, cette Femme était  agaçante et si elle venait pas d'avoir un accident, il l'aurait fait l'amour dans se salon pour la fatiguée comme ça elle aurait gardé le silence, elle ne voulait pas qu'il lui explique quoi que ce soit mais ne s'empêchait pas non plus de le reprocher d'avoir embrassé une autre volontairement... Alors que .....

-- Si tu as besoin de quelque chose tu m'appelles. Ordone Euan avant de s'en aller mais elle l'arrêta.

--Inutile de t'appeler je serais absente.

--Merida... supplia Euan afin qu'elle puisse calmer ses crises de jalousies.

--Quoi, tu veux pas qu'on divorce mais tu ne vas pas non plus me retenir prisonnière ici. Je vais chez Anne. C'est ça ou le divorce.

Sans attendre une réponse, elle se dirigea à la sorti le laissant planter là dans la maison tout seul.

Une fois arrivée chez sa soeur Aînée, Merida ne put s'empêcher de tout lui raconter les larmes aux yeux. Il y a quelque mois, sa relation avec sa soeur avait prit une autre tournure. Alors qu'elle gardait Wernston, le fils d'Aliyah, Anne était venue la voir, ce jour là, les deux soeurs avaient fait la paix, Anne lui avait fait part de ses prises de jalousies parce que sa benjamine était la préférée de tous, elles avaient longuement discutées et Anne lui avait annoncée son mariage avec Lord Fisher, leurs relations avaient commencés deux jours après le mariage de Merida, le couple allait se marier en janvier, lui avait dit Anne, et depuis ce jour, elle s'étendait bien, qand à Diane, elle était à Londres accompagner de son mari, et ne rentrait que dans deux ans. Elle voulait dire à personne la raison de sa disparition si long.

--Boit ça cela te fera du bien, lui dit Anne en lui offrant un peu de thé.

--Merci.

--Jamais je n'aurais pensée que Lord CRAWLEY pouvait te tromper ainsi, je le connais depuis si longtemps..

-- C'est normale ... j'ai moi même sacrifier ma vie pour le faire plasir... Pour attendre ce jour où il me dira qu'il n'aime que moi ... Mais on dirait que mes efforts son en vain...

-- Tu lui as demander qui était la femme avec qui il était?

Elle secoua la tête.

-- Non, et j'ai pas envie de le savoir, je suis pas aveugle, j'avais bien vue comment elle l'avait rattrapé et embrassé, il avait même répondu à son baiser. Répondit Merida ne voulant pas repenser à la scène qui avait causer la perte de son enfant...

--Oh ma chérie, tu ne penses pas que tu commets une grave erreur en ne le laissant pas le temps de s'expliquer?

--S'il voulait le faire il l'aurait déjà fait.

--Mais tu lui a donner l'occasion?

Sa benjamine ne répondit guère, elle se leva tout simplement et entra dans la chambre que sa soeur lui avait donner quelques minutes à son arrivée. Celle ci se laissa choir se le lit, que fesait il A New York? Qui était cette Femme? Pourquoi l'avait il embrassé?  Tant de question sans aucune réponse.

--C'est donc ça la vie ? Aimer aveuglément pour ensuite finir par avoir le coeur briser ....

Une semaine plus tard.

--Allez les enfants! Non charles! Pas comme ça les hanches !allez oui! Bien ! Eloïse! Bon Dieu que fais tu ? La roue allez ! voilà!

Noël était pour demain et elle avait comme l'impression que les enfants répétaient pour la première fois, elle était déjà anxieuse car elle voulait que tout se fasse à merveille.

--Pose. Fit une voix derrière elle.

--Weyyyyeyeyeyeeyy les enfants couraient sur la scène avant de descendre se recréer, Cela fait près d'une semaine que Merida  Ignorait complètement Euan, que pouvait elle bien faire d'autre? Il ne l'aimait pas, il ne l'avait jamais aimer, s'il avait ne serait ce qu'une petite lueur d'amour en lui pour elle, il ne l'aurait jamais tromper avec une autre.

--Pourquoi t'as fait ça?

--Ils sont fatigués, en plus le spectacle est pour demain et se sont des enfants de cinq ans, tu penses vraiment qu'ils vont perfectionnés?

Merida horrifiée fonca les cils.

-- Tu sous estime mes élèves?

Euan eut un petit rire devant son air. Aujourd'hui il la trouvait plus belle que jamais dans cette robe ne soie blanche, on aurait dit une princesse tout droit sortit d'un royaume. Avec ses cheveux doré parfaitement relâché sur son dos, elle était irrésistible.

-- Si tu as terminer tu peux aller te rincer l'oeil.

Euan secoua la tête.

--Comment pourrais-je empêcher mes yeux de te regarder, même en colère tu me sembles bien plus belle.

Sa femme roula les yeux avant de s'apprêter à s'en aller.

--Attend.

Merida resta complètement stoïque, le dos tourner à lui, elle sentait déjà son parfum lui chatouiller les narines, et son souffle  qui frôlait de temps à autre son épaule nue. Elle ferma les yeux si fort de sorte à calmer ses frisonnements qui naissaient déjà sur sa peau mais en vain. Elle frémit quand les doigts de son mari effleura son avant bras encore et encore, comme s'il prenait le malin plaisir à la torturer ainsi.

-- Tu ne peux pas cacher ça Merie, tu peux bien m'envoyer balader tous les jours pendant une semaine, mais comment peux tu résister à cette chaleur que je provoque sur toi et en toi .... tu peux bien jouer la méchante en m'ignorant tout les jours mais impossible de faire l'indifférente quand je te touche ou que tu sens ma présence aussi proche de toi .... dit moi, Merie cela ne te fait rien?

Elle s'était laisser aller par sa voix suave, avec le calme et la lenteur de ses mots, comment résister? Impossible, mais il fallait qu'elle se défait de son emprise sinon elle allait céder, elle voulait pas céder, pas maintenant, oui elle l'aimait, plus que tout même, mais lui quand n'est-il de lui ? Quand n'est-il de son amour pour elle ? L'aimait il ? Évidement que non alors comment expliquer sa liaison avec l'incconue ?

-- Désolé de te décevoir mais tout ce baratin n'aboutira à absolument rien. Répondit elle le souffle court en se dégageant plus vite de ses mains,

-- Merida... tu vas me rende fou.

--Ah vraiment? Eh bien j'en suis ravie Euan très ravie!

-- Tu s'obstines à penser que je t'ai trompé mais ce n'est pas le cas! Cette femme avec qui tu m'a vu ce jour là, ce n'était pas ma maitresse, ni mon amante peu importe comment tu l'appelle, ce n'était pas non plus une amie, c'était Victoria, mon ex épouse.

À L'OMBRE DU PASSÉ..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant