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Merida sauta sur le balcon de sa fenêtre, dans sa chute elle atterrit les fesses en l'air, elle eu doit a un petit hurlement de douleur... Par dessus la fenêtre qui donnait sur le grand jardin, elle pouvait entendre sa soeur Anne pleurer. Elle eut un pincement.

--Jamais le Duc n'accepterait de m'épouser... je lui ai complètement répugner... C'est la deuxième fois que j'agis stupidement !

-- Non Anne que dites vous, dit Diane, vous avez été parfaite lors du dîner avec sa majesté.

--Ça compte pas ! Répondit Anne en sniffant. À chaque fois qu'il se présente ici, chez nous, tout part toujours en fumée! Et il repart toujours en colère ou nerveux... ai-je un problème à faire fuir les hommes? Vais-je rester vieille fille éternellement? Je suis complètement sûr que le Duc CRAWLEY BLACKBURN va refuser de continuer à me courtiser... Il va se retourner vers une autre et je serais la risée du village...

-- Que dites vous là! Lance Caroline.

Merida se sentie coupable elle avait regardé sa soeur pleurer et s'appitoyer sur son sort à cause d'elle, elle avait de la peine...

-- Ne t'inquiète pas Anne, je vais tout résoudre... dit elle comme ci sa soeur pouvait l'entendre.. Décidée, Merida se rendit chez le Duc, La nuit commençait déjà à tombé, heureusement qu'elle avait prit Zad, son cheval avec elle, à l'aide de sa capuche et ses habits d'homme personne ne pouvait remarquer qu'elle était une femme, alors elle pouvait entrer et sortir du manoir sans se faire remarquer. Quand elle arriva enfin au manoir elle cacha son cheval derrière la grange, et s'introduit dans le manoir, il fesait noir, le Duc dormait il ? Si oui, elle allait le réveillé juste pour lui dire que si son intention était d'épouser sa soeur il fallait qu'il le fasse sans faire attention à elle, elle allait ensuite lui promettre de ne pas les rendrent la vie impossible... la salle d'attente était toute noir, sans personne, la cuisine, rien, le salon non plus, une vive lumière de l'autre côté de la pièce attira son attention.. Elle traversa le salon et poussa la porte, une grande flamme était allumée dans la cheminée, devant se tenait un grand fauteuil et sur la table basse une bouteille et un verre d'alcool à moitié remplit, mais personne était assit sur le fauteuil. Où était il Bon sang! Se dit Merida nerveusement alors qu'il commençait vraiment à se faire tard.

--Savez vous que ce n'est pas une heure pour une dame de se retrouver chez un homme? Célibataire qui plus est? Entendit elle.

Le souffle fort du Duc sur son dos la fit frissonner, le coeur de Merida cessa tout fonctionnement. Elle fit volte face pour ancré son regard au sien, mais s'abstient à la vue de ses vêtements... Il était torse nu ! Avec un pantalon qui recouvrait ses hanches mais qui laissait voir la naissance de sa toison brune sur son bas ventre....Bon Dieu ... on aurait dit un chevalier tout droit sorti de la guerre....vêtu ainsi, elle le trouvait robuste et imposant.

--Pardonnez mon intrusion dans votre manoir...mais il fallait que je vous parle, absolument.

-- Humm, je suis pas vêtu pour m'entretenir avec une dame, lady Merida. Lance Euan en s'asseyant à nouveau sur son fauteuil vidant le reste de sa boisson.

Oh ça elle le voyait parfaitement!

--Cela ne m'importe guère. Dit elle en se plaçant devant lui soutenant son regard fesant comme ci le voir ainsi, torse nu et si beau, ne l'intimidait pas, il était pourtant le premier qu'elle voyait ainsi...

--Si vous êtes venue vous excusez sachez que je joue pas aux enfantillages, je suis un homme qui a des devoirs, et certaines choses ne m'importent guère. Alors, je vous en prie, partez chez vous avant que quelqu'un ne nous surprennent et m'oblige à vous épousez. Dit Euan en se levant de son fauteuil, la tenant par le bras pour la pousser dehors,.

--Lâchez moi ! Sans s'en rendre compte, Merida avait les mains posés sur le torse de celui ci, comprenant enfin son erreur, il la relâcha, et elle s'écarta aussi vite, les joues rouges.

--Vous êtes soul ?! Demande Merida furieuse.

-- Peut être...

--Comment osez vous donc me tenir de la sorte?!Elle était si en colère qu'elle ne s'était pas rendu compte que son chignon s'était défait et que ses longs cheveux escaladaient son dos ..

--Vous êtes chez moi, vous êtes entrer sans mon autorisation est ce donc moi le fautif ? Demande Euan sur le même ton, à son tour en s'avancant vers elle. À chaque pas, Merida reculait tellement qu'elle heurta le mur.. Elle pouvait plus reculer complètement à sa merci... Euan quand à lui continuait à s'avancer pour s'arrêter à quelques centimètres d'elle.

-- Que me voulez vous Miss Merida?

Ses lèvres étaient si près des siennes qu'elle eut des picotements et préféra détourné le regard, quand ses yeux se posa sur la petite boîte sur la table, elle se dégage de l'emprise du Duc et toucha la petite boîte. En l'ouvrant elle fût ébloui par la beauté de la bague de fiançaille qui s'y trouvait à l'intérieur.. c'était vraiment beau..

--Vous... Vous .... vous aviez l'intention d'épouser ma soeur? Ne pût  elle s'empêcher de demander le coeur battant toujours dans l'attente d'une réponse positive.

--J'avais.

Merida cessa de sourire.

--Comment ça?

--C'est à moi de vous le demandez Miss Merida, vous aviez supposé que je voulais me marié avec vous alors que c'était pas le cas, vous aviez même penser que je rendais visite à votre père dans le but de vous voir et quand je vous demande vote avis sur les goûts de votre soeur, vous m'aviez menti en disant qu'elle rafolait des chocolats alors qu'elle en était allergique, alors dites moi lady Merida si vous êtiez à ma place allez vous continuez à courtisée un membre de la famille CHELMSFORD?

Personnellement, Non elle allait abandonnée sans aucun doute,  mais là il s'agissait de sa soeur aînée, Anne, et il était son seul espoir ...

-- Oui... répondit Merida gêner.

--OUI? Vous dites cela parce que c'est votre soeur.

--Exactement c'est ma soeur, alors je ne voudrais pas que sa vie soit gâcher par ma faute.

--Alors pourquoi vous comportée comme un enfant?

Merida devient soudainement silencieuse.

-- Vous avez donnez votre langue au chat Miss Merida? 

-- Non. Je suis consciente que je vous ai certes menti, à propos des goûts de Anne, je suis sincèrement désolé.. Ce jour là j'étais furieuse de tout le temps vous croiser sur mon passage et j'ai pas réfléchi aux conséquences de mes actes ...

-- Vous étiez furieuse de me croiser sur votre passage à tout moment ? Mais je parie que vous ne l'êtes pas quand il s'agit de pénétré dans ma demeure sans y être invitée?

À L'OMBRE DU PASSÉ..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant