vingt-deux

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--J'espère que vous êtes sur terre.

Merida cligna les yeux pour revenir à elle.

--Comment ça? 

--Depuis notre arrivé vous ne cessez pas de me regarder avec des yeux brillants.

--Oh vraiment....

--Cessez de mentir Merida, vous rougissez, et c'est facile à remarquer parce que votre jolie couleur de lait est tout à fait transparente. Sursure Euan en la prenant par la hanche.

--Peut être pas assez transparente pour voir mon coeur...

--Et qu'est ce qu'il a votre coeur ...

--Il.... Il bat fort... très très fort. Répondit elle le souffle court à mesure que ses lèvres étaient tous proches des siennes.

--Laissez moi vérifier cela ...

Enfin la bouche d'Euan fondit sur celle de sa femme, Merida accueilli son baiser avec tout son amour, elle attendait impatiemment que Euan l'embrasse, elle s'agrippa à son cou afin d'approfondir leurs étreintes, Euan s'arrêta un cour instant, afin de contempler sa femme,

--Ne vous arrêtez pas ... supplia Merida.

-- C'était pas du tout dans mes pensées!

Euan la porta jusqu'à leurs chambres, et la déposa avec une tendresse infini sur le lit, sans quitter les lèvres de son épouse, en premier lieu, il lui enleva cette petite robe bleue, qui mettait en valeur son corps et sa délicieuses peau, qu'il rêvait de goûter, il déposa un petit baiser sur son épaule nue, ensuite sur sa nuque, Merida soupira, les yeux fermés, elle se laissa aller par les douces caresses de son mari.... tremblante, elle déboutonna sa chemise noir, pouvant accéder enfin son torse si bien sculpter, de ses doigts, elle parcouru les courbes de son corps, Euan posa sa main sur les siennes, sans la quitter des yeux, il l'allonga ensuite sur le grand lit, au milieu de la chambre, touchant chaque petit parti de son petit corps, au goût de pomme, quand elle fût nue, il prit un court instant pour l'admirer, elle était magnifique, les cheveux étalées sur l'oreiller, son corps complètement offert à lui, pouvant faire tout ce qui lui plaisait, comme il en avait envie ...

--Tu es parfaite Merie.....

Les doigts de son amant, touchait son corps, ses seins, sa hanche ... la bouche d'Euan se fondit sur les seins dur et généreuse de la jeune femme, Merida frissonna, elle adorait sa façon de la toucher, de la caresser..... la bouche chaude d'Euan sur son sein lui fit perdre la tête, elle pouvait ressentir sa langue jouer avec ses tétons dur, elle pouvait sentir son souffle contre sa peau, et ses doigts dans le coeur de son intimité...

--Ah.... gémit elle,

Elle ferma les yeux s'abandonnant corps et âme au doux plaisir qu'il lui offrait...... Euan descendit plus bas, sans cesser ses vas-et- vient avec son doigt, se nourrissant des gémissement à la fois timide et prononcé de sa jeune épouse, elle était belle dans cette position, offerte à lui, tremblante, et toute mouiller sous ses doigts..... Voulant titiller beaucoup plus le désir, pour elle que pour lui, ses doigts furent remplacés par sa bouche, les sursauts de Merida, lui confirmait qu'elle adorait ce qu'il lui fesait avec sa langue, elle adorait cette façon qu'il avait de la tourner encore et encore jusqu'à la faire perdre toute notion du temps.

--Arrête toi,

Euan, s'arrêta immédiatement, il ne voulait pas la brusquer il voulait faire les choses bien, malgré son érection de dernier centimètre d'épaisseur, il voulait prendre son temps, et si il y avait quelque chose qu'elle n'appréciait pas, il allait arrêté, même s'il en était incapable.

---Est ce qu'il y a un problème?

-- Non ... je j'avais l'impression de ... de m'évanouir ...

Euan sourit, sa femme était plus innocente en la matière qu'il le pensait, elle venait de le lui prouver.

-- Je sais, et c'est normal.

--Vraiment? Oh...

La bouche gonflé, la pointe de ses seins toujours durci, Merida ne le quitta pas du regard, il toucha ses joues affectueusement, et elle ferma aussitôt les yeux, Euan l'embrassa à nouveau, sensuellement, elle y répondit comme si sa vie en dépendait. Il ne pouvait pas s'arrêter, il avait trop envie d'elle, il avait trop patienter, maintenant, il était impossible pour lui de faire marche arrière, tandis qu'ils s'embrassaient, tendrement, les mains de Merida se baladaient sur son corps, et atterrit sur son membre dur, Euan émit un grognement. Mais ce qui fût surprenant, c'est le plaisir que prenait sa femme, à le caresser encore et encore,

-- Bon Dieu,.... Merida.... gronde Euan.

Le désir s'intensifia au fur et à mesure qu'elle le caressait avec ses mains, son amant lui prit par les hanches et l'approcha un peu plus à lui, il prit sa main qui était poser sur son membre et la referma sur celui ci, l'indiquant les mouvements qu'elle devrait effectuer.

--Comme ça...

--Est ce que cela vous fait plaisir ?

--Si tellement que j'ai envie de me perdre en vous pour n'en faire qu'un ....

C'était là une réponse provocateur, Euan ne lui avait pas laisser le temps de répondre, qu'il avait continué à l'embrasser tout en la fesant pivoter sur lui, touchant son dos, ses fesses, et tout le reste, Merida accueillait ses caresses comme un antidote qui lui était indispensable, il savait comment et où la caresser, il savait ce qui la rendrait plaisir, il savait, comment la toucher pour que son corps n'obéit qu'à lui, il savait comment lui procurer un gémissement rien qu'en une minute. Il la tourna cette fois sur le lit, et s'arrêta le temps d'enfiler un préservatif, Merida était si choqué par son membre dur avec une longueur considérable si c'était le bon mots, qu'elle ne posa aucune question sur ce qu'il mettait, de tout sa vie c'était bien la première fois qu'elle voyait l'engin d'un homme et elle était presque sur que celui d'Euan était bien plus imposant que tout les autres, imposant, et féroce... se dit elle en rougissant de plus belle.

--Tu as peur ? Demande Euan en s'allongant à nouveau sur elle.

Elle secoua la tête.

--Devrais je?

Pour toute réponse, il passa sa main autour de sa taille pour la soulever un peu, puis soudainement elle le sentit entrer avec une lenteur calculer en elle, lui arrachant quand bien même un petit hurlement de douleur, quand il perfora enfin son hymen, Merida ferma les yeux en grimaçant, comme elle avait mal....

--Tu veux que j'arrête?

Qu'il arrête? Alors qu'elle mourait d'envie de découvrir la suite?  Hors de question, ce n'est pas une petite douleur de rien du tout qui va arrêter se moment d'intimité qu'elle partageait avec l'homme qu'elle aimait..

--Non.... continue s'il te plaît. Dit elle fermant les yeux de peur de ressentir encore cette douleur à mesure qu'il continuait, ce qui ne fût pas le cas, au contraire, c'était bien plus meilleure que les caresses qu'il lui fesait quelques minutes plutôt... se laissant aller par les vas-et-vient lent et dur de son mari, Merida se perdit dans le nouveau monde de l'orgasme, plus précisément dans le nouveau monde du plaisir de la chair .....

À L'OMBRE DU PASSÉ..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant