À L'OMBRE DU PASSÉ..

Trente-cinp

Merida essuya une larme sur ses joues, comme elle avait pleuré ce jour là, elle avait même voulu le rattrapé mais il était déjà trop tard, il était parti, comment pouvait t'il entendre son :"Attend" puisqu'elle l'avait prononcée dans un sanglot cacher par la pluie qui tombait avec rage au moment de toute ses belles déclarations. Elle se maudissait de ne pas l'avoir écouté quand il avait voulu lui expliquer la vérité. Elle aurait voulu lui dire que la perte de leur bébé n'était pas de sa faute à lui, mais de sa faute à elle, d'avoir douté de sa confiance ? Était il trop tard? Non il le lui avait clairement dit, peu importe le nombre de temps qu'elle resterait fâché contre lui, il l'aimerait et il l'attendrait...

--Oh Mon Dieu qu'ai-je fais... Sursure Merida en se cachant le visage derrière ses mains.

-- Tu as commis une erreur comme tout être humain. Lui dit son père sur le seuil de la porte.

--Oh père! Sa fille se jeta dans ses bras en pleure.

--Pourquoi tant de douleur, ma chérie?

--Je lui ai pas donner le temps de s'expliquer...

--Mais tu as encore le temps de reprendre ou vous avez laisser.

--J'aurais dû attendre qu'il rentre à CHIPPING CAMPDEN  pour tout m'expliquer.. j'aurais pas dû partir sur un coup de tête.

-- Tu l'as fait parce que tu l'aime Merie. Alors sèche ses larmes et prépare toi. Je reviens te chercher.

Merida hôcha la tête, avant de refaire son maquillage.

Plus tard, la soirée se déroulait à merveille, les enfants étaient tous heureux, et le spectacle avait réussi comme un gant, elle avait sautée de joie, la reine ainsi que son mari admirait le spectacle les larmes aux yeux. Personne n'avait vu Euan, elle l'avait cherché partout mais rien, où pouvait il bien être alors que leur danse pour finaliser la deuxième partie de la fête allait tout juste commencer.

--C'est notre tour.

Une bouffée d'espoir envahie Merida, elle ferma les yeux et sourit, elle se tourna vers lui. Il était tellement beau.... Dans sa chemise bleu s'accordant parfaitement à ses yeux, son jeans bleu, et ses basket blanche, ses cheveux coller derrière sa nuque laissant échapper une mèche sur son front ce qui le rendait affreusement beau et irrésistible.

--Oui...

Il fesait mine de rien avant de lui offrir sa main tandis que la foule les réclamaient.

-- Tu es prête?

Timidement, et sans détourné le regard complètement,et toujours  hypnotisé par ses aigres marine, elle n'hésita pas à mettre sa main dans la sienne. 

--Oui, je suis prête.

Ils montrèrent sur scène et commençèrent à danser, Merida se laissait emporter par la douce musique dans les bras de son mari ils bougeaient au rythme de la mélodie. Comment pouvait elle ne pas aimer cet homme? Comment pouvait elle ne pas le pardonner ? Le pardonner pourquoi ? il n'avait rien fait! Cette maudite femme l'avait menti! Elle l'avait soudoyer et manipuler! Il n'était responsable de rien, il était la victime. Elle aimait cet homme, elle l'aimait plus que tout... La musique avait prit fin sans aucun d'eux ne puisse le remarquer, tout le monde était resté silencieux avant de sauter de joie tout en applaudissant. Euan s'écarta d'elle pour saluer le publique et descendre, elle était toujours sur le podium incapable de bougé, laissant partir son homme sa vie.... Son mari. NON! Leur histoire n'allait pas se terminer comme ça, elle n'allait pas perdre son homme pour de vieille histoire du passé. Remplie par la grande chaleur que pouvait exprimer une femme amoureuse, elle descendit les marches en courant derrière lui.

-- Euan! 

Elle ne le trouva point parmis les gens, tout à coup elle fût attirer pas sa silhouette dans l'allée, sans attendre une seconde de plus elle courue derrière lui.

-- Euan! Attend!

Essoufflée elle parvient à le rejoindre.

--Merida? Que fais tu ici ? Tu devrais être à la fête.

De loin, les feux d'artifices fesaient échos, ils étaient à quelques kilomètres de CHIPPING CAMPDEN, près du lac.... c'est là qu'il  l'avait secourue losrqu'elle voulait à tout prix s'échapper de se mariage qu'elle désirait pas... Mais, c'est aussi l'endroit où elle avait acceptée malgré tout de l'épouser, malgré son coeur noir ... Essoufflée par cette course inhabituel, de la ville jusqu'au lac, elle reprit son souffle.

--Je.... je veux....

Elle prit une profonde respiration avant de lâcher.

-- Je ne veux pas être à la fête, je veux pas être avec personne d'autre que toi, Doucement elle s'approcha de l'homme qui fesait battre son coeur.

-- Je veux être avec toi, Euan.. Je t'aime mon Amour...

Sans même terminer sa déclaration, Euan avait déjà capturer ses lèvres d'un baiser ardent et douce. Ses lèvres étaient si douce, pulpeuses tels un fruit juteux. Elle glissa la main sur son cuir chevelure ainsi que dans ses cheveux, Euan sentit ses ongles déchirés sa chair. Dans un gémissement qu'elle garda captif, Euan ouvrit la bouche, et ça langue avide de plus alla à la rencontre de celle de sa voisine, sans aucune timidité, elle s'abandonna à lui. Leur baiser était lent, tendre et leurs lèvres se mouvaient en harmonie, leurs langues se rencontreraient et se séparaient, puis s'enroulaient pour une valse. Avant de se séparer ..

-- Je ...

--Chutt. L'arrêta Merida, fait moi l'amour, Chéri, maintenant, ici.
Tout ce qu'elle avait envie, c'était de sentir sa chaleur contre elle, de sentir ses lèvres contre sa peau, sentir ses mains sur son corps... elle voulait le sentir en elle dans toute son ampleur ...c'est ici qu'elle voulait commencer, car un an plus tôt c'est ici que tout avait commencé... Ils furent l'amour comme pour la première fois, les éclats d'amours que lançait la lune en cette nuit étoilé furent les seuls témoins de leurs étreintes passionnés et ardent...

-- Je remercie le ciel, de m'avoir rendu ma vie. Sursure Euan en caressant la peau de sa femme nue.

-- Je t'aime beaucoup Euan, je suis tellement désolé de t'avoir cacher pour ma grossesse... J'avais peur de ta réaction suite....

-- Non bébé, arrête, ce n'est pas de ta faute ma chérie, ce n'est notre faute à tous les deux, on va en avoir plein d'autre, mon amour.

--C'est vrai ?Demanda Merida les yeux remplis d'amour.

--Bien sûr chérie! Tu veux pas fonder une famille avec moi?

Merida sourit.

--Oh que oui mon Amour! Je le veux !dit elle en l'enlacant. Combien tu en veux ?

-- On aura des tonnes d'enfants ma douce Merie! Dit Euan, caressant le visage de sa femme. Mais nous allons demander à Nicolas ce qu'il en pense.

--Nicolas? Ton fils ?

-- Oui chérie, Nicolas, notre fils, parce que maintenant tu es aussi sa mère, il viendra vivre avec nous, j'ai demandé sa garde, et je l'ai eu.

--Oh chéri! Et .....V....

Voyant où elle voulait en venir, il sourit.

--Définitivement partie de nos vie. Plus jamais tu n'auras à croisé son regard. 

--Heureusement, sinon je l'aurais tuée de mes propres mains.

-- On a des envies de meurtre maintenant?

-- Oui, surtout s'il s'agit de l'homme qu'on aime.... dit elle en l'embrassant...

-- Eh bien, moi je tuerais tout les hommes de CHIPPING CAMPDEN.

-- On a des envies de meurtre maintenant? Répéta Merida à son tour en joignant ses mains autour de son cou.

-- Oui, surtout s'il s'agit de la femme qu'on aime...