Chapitre 6

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Scott | Septembre, New York, USA

Tu as déjà fait ça ?, je lui demande, tandis que je lui tends la poire à lavement.

Elle fait "non" de la tête tout en riant nerveusement.

C'est là tout son paradoxe. Elle l'a écrit noir sur blanc sur sa liste: "me faire sodomiser". Mais maintenant qu'on y est, elle semble n'être que peur et excitation. À dire vrai, je trouve ça vraiment mignon.

Je sens la bataille qui fait rage en elle: succomber à ses désirs les plus sombres ou être une "fille bien". Féministe, mon cul. Son esprit est entravé par mille chaînes que je vais faire sauter une par une.

Regarde, elle est remplie d'eau. Tu dois t'accroupir et insérer l'embout dans ton anus. Puis tu appuies sur la poire pour faire sortir l'eau. Il faut en mettre une bonne quantité. Tu sentiras que tu as besoin d'évacuer, comme quand tu veux aller aux toilettes. Relâche toi et tout ce qui doit sortir sortira. Puis tu recommences jusqu'à ce que l'eau soit claire. Tu peux faire ça sur les toilettes ou dans la baignoire si tu préfères. Ça va aller ?

Oui, me répond-elle d'un air décidé.

Ok je te laisse. Appelle-moi si ça ne va pas.

Au bout de 30 minutes, je la vois revenir de la salle de bain. Je suis assis sur le lit:

Tout va bien ?

Ça va.

Approche, je lui dis. Baisse ton jean et ta culotte. Et penche-toi par-dessus mon genou.

Elle s'exécute. Son magnifique cul nu me fait face. Je peux voir les traces laissées par mes coups de la nuit dernière sur sa fesse droite.

Je commence à malaxer son cul à pleines mains et mes doigts s'aventurent insidieusement sur sa vulve à l'occasion.

Je masse toute cette zone délicieuse et viens lui titiller le clitoris pour l'exciter. Elle mouille pour moi et elle commence à onduler du bassin, signe qu'elle en redemande.

Je m'interromps et ouvre le coffre que j'ai posé à côté de moi sur le lit. Je choisis un plug. J'ai choisi le plus petit parmi ma collection mais ce n'est pas non plus un modèle débutant. Je l'enduis généreusement de lubrifiant puis je reporte mon attention vers elle.

J'ai le plug dans une main et de l'autre je recommence à la caresser pour faire monter son excitation. Je plonge deux de mes doigts dans sa fente trempée, maintenant ils sont couverts de cyprine. Je la sens se raidir lorsque j'approche mes doigts humides de son petit trou.

Détends toi ma belle, ça va aller.

Je masse son anneau ridé avec mon pouce pour commencer à l'écarter. Puis lentement j'y insère un doigt. Je reste immobile pour lui donner le temps de s'habituer à cette sensation nouvelle.

Puis je commence à faire des va et vient en elle avec mon index tout en poussant sur les bords extérieurs pour élargir son anus. Bientôt, je peux introduire un deuxième doigts en elle.

Elle gémit. La sensation est forte, plus forte que ce qu'elle a jamais connu. À cet instant, elle n'a jamais été proche de la ligne qui sépare plaisir et douleur.

Lorsqu'elle est suffisamment dilatée, je retire progressivement mes doigts pour les remplacer par le plug que j'ai préparé. Comme il est abondamment lubrifié, il vient trouver sa place en elle sans effort. Désormais je ne vois que le diamant à l'extrémité du plug briller entre ses deux fesses.

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