𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝕯𝖎𝖝 𝕳𝖚𝖎𝖙

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Le brun fait signe à ses amis de se rendre à la grande salle sans lui

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Le brun fait signe à ses amis de se rendre à la grande salle sans lui. May ne pouvait cacher son inquiétude mais Charlus lui sourit pour lui signaler qu'elle n'avait pas à s'inquiéter. Depuis l'accident du Gryffondor, la brune était plus que nerveuse, elle voyait le coupable à chaque coin de couloir surtout quand il portait un uniforme vert et argent.

-Monsieur Potter, le cours est terminé, est-ce vous vouliez me parler de quelque chose? Demande Dumbledore en rangeant les livres présent sur son bureau

-Je suis désolé de vous importuner sur votre pause monsieur mais je n'ai pas trouvé d'autres moments pour vous parlez.

Le vieil homme se tourne vers le brun avant de lui offrir un sourire réconfortant. Charlus ne pouvait imaginer une année à Poudlard sans le professeur Dumbledore. C'était un homme sain d'esprit, ouvert à la discussion et qui avait un profond intérêt pour le bonheur de ses élèves. Alors le choix de mêler ses inquiétudes à ses réflexions l'avait poussé à se tourner vers son professeur.

-J'ai eu vent de ce qui vous est arrivé monsieur Potter, j'en suis navré. Le monde est bien triste en cette période. Prononce le vieil homme comme une note qu'il se disait à lui-même

-Cela tombe bien monsieur car... J'étais venu vous parler de cet accident. La personne qui m'a fait ça n'a pas jugé bon de m'effacer la mémoire, pensant que je ne parlerai pas.

Le vieil homme était plus que surpris de voir qu'un élève allait enfin lui parler droit dans les yeux de ses véritables problèmes. Cela faisait bien des années qu'un sorcier n'avait pas été honnête avec lui. May comme Swan s'étaient terré dans un silence plus qu'inquiétant pour le vieil homme et il était évident que ces deux sorcières n'allaient pas bien. Et pour cause, l'élément perturbateur était toujours le même.

-Je vous écoute jeune homme. Reprend le vieil homme

La porte de la salle de classe se ferme, il entend le loquet faisant comprendre au brun que personne d'autre que lui n'entendra la conversation qu'ils allaient avoir.

-Ce sont Tom Jedusor et Thomas Rosier qui m'ont tendu une embuscade. Ils voulaient surement me donner une bonne leçon pour me dissuader de compromettre leurs plans.

C'était la première fois que quelqu'un admettait oralement que Tom Jedusor était impliqué dans une sale histoire. Les deux seules personnes qui avaient eu l'audace de le dire étaient Dumbledore et Têtenjoy. Le témoignage d'un jeune comme Charlus pourrait être d'une grande aide pour le vieil homme. De ce fait, Dumbledore pourrait assurer une surveillance optimale sur le serpentard.

-Qu'ont-il fait pour que vous vous retrouviez dans cet état là? Demande le vieil homme dérouté par les marques sur le brun

-Un sort impardonnable. Doloris monsieur, je ne l'ai pas entendu de la bouche de Jedusor mais je sais que c'est lui qui me l'a lancé. Commence le gryffondor

𝕿𝖍𝖊 𝕯𝖗𝖆𝖌𝖔𝖓'𝖘 𝕳𝖆𝖓𝖉 I ~ 𝔱𝔬𝔪 𝔧𝔢𝔡𝔲𝔰𝔬𝔯 𝔢𝔯𝔞 ~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant