Chapitre 37 ⛔️

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Dans moins de cinq minutes, Valentino va venir me chercher pour retourner sur le campus.

Je suis très excitée, mais aussi triste de devoir quitter mon père. Ces deux dernières semaines m'ont permis de me ressourcer à ses côtés.

Lorsque l'on sonne à la porte, je devine sur l'horloge que ça doit être Valentino. J'ouvre la porte et me jette dans ses bras.

- Salut, bébé, dit-il d'un sourire.

Il m'embrasse d'un chaste baiser, ensuite il rentre saluer mon père.

- Fait attention à ma fille. Je veux qu'elle rentre saine et sauve sur le campus.

- Oui, vous pouvez me faire confiance, William, annonce-t-il d'un ton sérieux.

Mon père lui serre la main, puis vient me prendre dans ses bras.

- Tu vas me manquer ma princesse.

- Moi aussi, papa.

Nous quittons la maison, je me tourne une dernière fois vers mon père et me jette dans ses bras, en lui donnant un baiser sur sa joue légèrement barbue.

- Je t'aime, papa.

Il m'observe d'un sourire, les yeux brillants.

- À très vite ma fille, je t'aime.

Nous montons dans la voiture et d'un dernier signe de main, Valentino démarre le moteur en direction de l'autoroute.

La route est longue et après deux heures de trajet, nous arrivons enfin à destination. Valentino gare sa voiture sur le parking du campus. Je remarque que plusieurs places sont libres, la plupart des étudiants viendront sûrement dans la nuit, étant donné que nous sommes samedi.

Valentino se tourne vers moi avec un sourire en coin.

- Tu dors avec moi cette nuit ?

Je souris.

- Oui, bien-sûr.

Nous sortons de la voiture et Valentino sort nos valises du coffre. Il me toise de haut en bas, puis lâche nos valises pour m'agripper par la taille et me coller à son torse.

De sa main droite, il attrape une de mes fesses et me presse contre son entrejambe.

- Putain bébé, j'ai tellement envie de toi. Tu vois l'effet que tu as sur moi ?

Je sens effectivement la grosseur sous son pantalon, ce qui me donne également des idées plus que perverse.

Je m'approche à mon tour et lui réponds sensuellement :

- Comment puis-je t'aider ?

Il hausse les sourcils avec un sourire plus qu'espiègle.

- On monte, dit-il d'une voix rauque.

Après que Valentino claque la porte de sa chambre, il laisse tomber nos valises sur le sol et me plaque le dos contre le mur, en m'embrassant d'un baiser sauvage.

Tous ces jours sens se toucher était une véritable torture pour nous deux. Je frotte mon bassin contre son membre en érection et un gémissement sort de sa délicieuse bouche.

Valentino me soulève dans ses bras et j'enroule immédiatement mes jambes autour de sa taille, sans détacher nos lèvres. Il n'y a plus que lui et moi et cet amour qui brûle entre nos deux corps. Il me pose doucement sur le matelas, pour ensuite se débarrasser de son pantalon et de son caleçon.

Mon cœur bondit dans ma poitrine, lorsqu'il se place au-dessus de moi, complètement nu. Je me redresse pour toucher son torse musclé à la perfection.

Valentino ( En Pause ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant