𝐕𝐀𝐈𝐍𝐂𝐔 𝐃𝐄 𝐓𝐄𝐒 𝐌𝐀𝐈𝐍𝐒 | GIYU X OC

↳ 𝟭𝟲.

⋟                     ᏟᎻᎪᏢᎨᎢᏒᎬ 16                    ⋞
↳ Vaincu de tes mains.

          Combien de verre avais-je dis de ne pas boire déjà ? Putain, ma tête me faisait mal. Uzui, je te détestais, là. Tout ce que je voyais c'était de l'admiration sur tout ce qui bougeait. Les fleurs sentent bon, le lit était confortable, les draps étaient doux, ses yeux sont beau, son visage est beau,

          Son torse est beau.

        Je... quoi ? Où suis-je ? Je me levais d'un coup de se lit qui n'était pas miens, la vue de la chambre ne me donnait aucune idée de là où je disposais. Regardant par la fenêtre, je me voyais sur un deuxième voir un troisième étages. Le vent frais du matin me rappelait celui d'hier, le soleil planait dans le ciel alors que nous étions, à mes souvenirs, la nuit. Où était la cuisine dans laquelle j'étais ? Où était le Uzui qui me bourrait la geule ?

         Mais oui ! je buvais en compagnie de Giyu pour un jeu mais sa ne répond pas à ma question principal, où suis-je ? Me remémorant tout les événements précédents, je me rappelais de la douceur dans laquelle j'ai étais transportée. Mes souvenirs étaient tout flou. Uzui avait disparu lorsque je me suis faite transporter mais pas que, les bouteilles d'alcools étaient toutes vides. Je voyais Sanemi dormant sur son canapé ou alors Zenitsu ronflant me faisant toujours transporter. Dans la cuisine, que c'est-il passé lors de cette fête ? De mes souvenirs, je vois Giyu, et je m'approchais de lui...

           Pour l'embrasser.

           Sa bouche était toute douce, me suis-je dis. Je touchais ma lèvre toujours surprise de ce que je venais de découvrir. Il me fallait savoir ce qui c'est réellement passé. Je descendis alors les étages une par une découvrant les pièces de cette immense maison, rectification, de ce pavillon luxueux. Tout était neuf et moderne ne se caractérisant pas au style japonais de notre époque. Je me dirigeais dans la cuisine ouverte passant par le grand jardin du milieu, décoré par de belles roses et de divers plantes avant de remarquer de par ma réflexion qu'une personne avait mangé ici. En effet, sur la table se trouvait du jus d'orange frais, fait maison datant de ce matin.

Je me retournais ayant entendu une page de livre se tourner provenant de la terrasse. Le bruit de mes pieds nus ainsi que le chantonnement des oiseaux étaient la seule source sonore. Ce qui alerta l'homme de la maison, enfin, de ce que je me suis-je dis. Je le vis, lui, en train de lire un livre, les cheveux au vent, sur son fauteuil. Il ne quitta pas son livre malgré le fait qu'il savait que j'étais positionnée devant lui, le coupant du reflet du soleil. Maintenant dans l'ombre, celui-ci tourna sa tête vers moi voyant que je ne bougeais pas d'un centimètre. J'étais tétanisée de gêne, mettant tous souvenirs en collisions, je m'apercevais alors que mon transporteur était bel et bien Giyu.

— Tu ne manges pas ? Me dit-il d'un ton innocent. J'ai fais des œufs.

— Avons-nous fait quelque chose avant de dormir ? Hésitais-je à poser comme question.

          Il était vrai qu'on s'était embrassés, il était aussi vrai qu'il m'avait porté et ma ramené chez lui. C'est donc tout bonnement logique que je lui posais la question.

— Tu aime le jus, non ? Me souriait-il

         Il me faisait en plus de sa languir sous ma question quelque peu maladroite. Me narguait- il ? Voulait-il me faire attendre encore longtemps ?

— Réponds à ma question, j'ai le droit de savoir. Lui ai-je alors rétorqué voyant qu'il allait retourner à sa lecture.

         Je croisais les bras et pris le temps de scruter ce qu'il lisait. Un livre de romance, Giyu ? Lire ce genre de livre ? Décidément, cet homme est hors-norme.