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⋟ ᏟᎻᎪᏢᎨᎢᏒᎬ 7 ⋞
VAINCU DE TES MAINS






— Bahhhh, BAH ? Crit Tanjiro, tout en se réveillant de son énorme sieste d'une heure. Giyu et Nesrine !

Je me retourne surprise, dans le même rythme que Giyu qui était assis à coté de moi. Pendant une heure, lui et moi avions discuté des ohagi et de Sanemi, qui c'était barré du terrain en colère. Je lui avais expliqué que Sanemi m'apprenait la plus part du temps à faire son plat préféré pour que je puisse le reproduire lorsqu'il se rend chez moi. Le pilier de l'eau expliqua à Tanjiro que c'était simplement un entraînement. Tanjiro était si paniqué que sa voix tremblait, il avait peur de faire une erreur grave qui pourrait soudainement rayer la mince relation entre les deux piliers, il était si bienveillant que j'en souriais, encore une fois.

— Je ne savais pas comment lui parler et Shinazugawa était en colère... baissant le ton de sa voix. Mais je suis content de connaître un de ses plats préférés. Giyu nous avoua en chuchotant tout mal à l'aise l'un de ses secrets. Dorénavant je garderais toujours un ohagi dans ma poche... continua Tomioka en regardant Tanjiro.

C'était ce que m'avait avoué Giyu la dernière fois, il désirait si ardemment devenir ami avec Sanemi. Cependant, la tâche était très compliqué. À mon avis, bien plus compliqué que celle de Genya et le pilier du vent, car le sang ne les lie pas. Après plusieurs minutes de discussions, nos corbeaux, à eux 3 hurlèrent.

— CONVOCATION D'URGENCE !

— LA RÉSIDENCE D'UBUYASHIKI EST ATTAQUÉ !

À ces mots, nous nous levons en cœur tout en fonçant dans la direction de la résidence de notre maître. Mon cœur palpitait, notre maître était si faible par sa maladie qu'à peine mon cerveaux prit conscience de cette information, que mon énervement fiévreux me prit par les tripes. Toute paniquée, je me rappelais en cour de chemin l'une de nos réunions de pilier.

« — Notre chef devrait être garder en permanence par deux piliers, au moins. Dit Sanemi.

— Ça va faire huit ans que j'insiste, mais il refuse d'écouter... ajouta Himejima. Il s'entête à dire que la puissance des combats des piliers est bien trop précieuse pour ne servir qu'à lui... c'est vraiment embêtant. Fini t-il.

Il parait qu'à travers l'histoire, aucune chef du clan ubuyashiki n'a jamais accepté d'avoir une garde personnelle. Dit Shinobu toute triste ce qui n'est pas dans ses habitudes.

— Comment va t-il faire si Muzan venait à le tuer alors qu'on est loin de notre maître ? Continuais-je angoissée à l'idée de la mort de celui-ci.

— Voyons Shinazugawa, Muzan ne viendra jamais se laisser à découvert seulement pour tuer ubuyashiki. Me résonna Obanai.

Je tirais une mine réfléchis puis je regardais Giyu qui fixait le sol, celui-ci sentait ma présence, je le sais.

Je revins à la réalité lorsque je découvris la demeure d'ubuyashiki exploser. J'étais tétanisée à l'idée de voir le corps dispersé de mon maître. Une aura surpuissante fit son apparition, j'en tremblais. Tanjiro le vit et me pris la main. J'avais les larmes au yeux, le pire était arrivé bien plus tôt que prévue, et ce n'était point par sa maladie qu'il aura succombé.

𝐕𝐀𝐈𝐍𝐂𝐔 𝐃𝐄 𝐓𝐄𝐒 𝐌𝐀𝐈𝐍𝐒 | GIYU X OCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant