XVIII : Bonne carapace ?

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Rose :

J'essaie de rester neutre face à Ao'nung pendant qu'il me faisait "visiter" l'île.

Le cadavre de spider a disparu tout comme le dessin qui l'accompagnait.
Étrange.
Mais j'essaie de ne pas trop me poser de questions, pour ne pas intriguer Ao'nung.

- Et la je comptais la faire descendre ici pour lui dire. En espérant qu'elle ne me rejette pas. Stressait-il.

- Mais ça va carrément le faire Ao'nung ne panique pas tu vas tout faire foirer. Rigolais-je.

- Oui tu as raison. Tu veux rentrer ? Tu m'as dis que ton père souhaitait te voir.

- Oui Jake voulait me voir.

Nous marchons direction l'unique sortie, quand une grande main m'attrapa la bouche et me soulève.

Ao'nung n'as encore rien entendu. J'essayais de crier au plus fort, mais cela ne servait à rien.

- Alors par apport à Neteyam tu v-

Et un coup de bâton, on le sonna puis il tomba dans les pommes.

Les mains qui m'étranglaient se détachent pour me laisser apercevoir le monsieur bleu qui était de mèche avec Spider auparavant.

- Qu'est ce vous me voulez à la fin ? Criais-je en courant vers Ao'nung qui était à moitié conscient au sol.

- On te veut toi ma cocotte.

- Je n'ai rien à vous dire et je vous l'ai déjà dis de ne jamais m'appeler comme ça ! M'énervais-je.

Ao'nung a maintenant sa tête posé sur mes genoux, quand le colonel à ce que j'ai compris, ordonna à ses hommes :

- Emmenez la tout de suite sur le bateau.

- Oui colonel. Répond un des hommes présent. Qu'est ce qu'on fait de son copain ?

- Laissez le ici.

Avant qu'un des soldats ne me touche de leurs sales mains, je leurs...

( Attendez pose petite nda même si je déteste faire ça en plein milieu beurk. Mais je voulais vous demander comment vous appelez ça vous ? Vous savez quand ils sortent les crocs et grogne je sais pas et bien imaginez que Rose vient de le faire ! )

- Mais c'est quelle sort les crocs la demoiselle. Je vais lui apprendre les bonnes manières. Ça lui apprendra à ne pas laisser de jeunes enfants morts sur une île. Dit-il en me frappant violemment la joue.

Il faisait probablement référence à son traître d'associé.

- Je l'ai tué ton ami. Me manifestais-je avec la lèvre fendue d'où mon sang commençait à couler tout en rigolant.

Puis à mon tour, un énorme coup de bâton m'assomma.


Tsireya :

Lo'ak est vraiment un spécimen !

Il me racontait ses souvenirs vécus avec Rose quand ils étaient plus petits :

- Et nous avons courus les bêtes à nos poursuite, et la ! Je la vois monter dans un arbre. Elle m'avait abandonné cette hypocrite sans cœur. Et moi je continuais de courir comme un cinglé à la recherche des mes parents.

- Et tu les a retrouvés ? Demandais-je absorbée dans son anecdote.

- Oui moi je les ai trouvés au bout d'une course interminable. Je pensais être le premier, mais Rose était tranquille dans les bras de mon frère à croire qu'elle était là depuis 1 heure.

Suis moi je te fuis, fuis moi je te suis. N.ROù les histoires vivent. Découvrez maintenant