[VKook] Rock'n Valentin

Lune de miel

Hello mes petites plumes, avec un peu d'avance, je vous poste le nouveau chapitre. Je sais que j'en ai frustré certaines la semaine dernière, c'est pour ça, vous avez assez patienté.

D'ailleurs je m'excuse s'il y a beaucoup de fautes, en ce moment je n'ai plus de temps pour le corriger correctement, alors n'hésitez pas si vous en voyez. J'en profite pour remercier celles qui les ont signalées sur le chapitre précédent.

Merci pour tout, bonne lecture.

...........................

Dans mes souvenirs, jamais je n'avais ressenti autant avec si peu de contact, semblables à des effleurements.

Cependant, lorsque sa bouche rejoignit le tout en se plaquant contre l'un de mes tétons, je compris que j'étais presque à la limite de mes capacités.

Celle-ci le titillait avec sensualité et mes sens étaient en ébullition à cause de toutes ces nouvelles saveurs que je découvrais avec lui.

- J-je...Humm...Je v-vais...

- Je n'attends que ça Monsieur Kim Jungkook, de pouvoir me délecter de votre goût savoureux. Souffla-t-il à mon oreille avant de la mordre.

Cette action aussi bien brutale qu'enivrante fut le coup de grâce pour mon pauvre corps, et sans retenu, je jouis sur mon torse.

Ma voix se libéra avec un son limpide, alors que des petits tremblements de bien-être m'animaient, me donnant l'impression que mon âme flottait parmi les cieux.

Son agréable torture qu'en à elle continua tout le temps de ma béatitude, avant de s'arrêter, notamment les vibrations dans mon antre et toutes les caresses sur mon corps.

Néanmoins, la sensation de vide qui s'était installée fut vite rompu lorsque ses croissants saumonés vinrent m'embrasser avec convoitise, ce à quoi je répondis difficilement du fait de mon souffle rapide.

- Tu as été parfait Jungkook.

Ses doigts soulevèrent délicatement mon crâne qui était jusqu'à là fermement ancré dans l'oreiller, et délièrent sa cravate, me permettant de sortir mes orbes de leur prison obscure.

L'afflux de lumière pourtant tamisé m'obligea à papillonner des cils afin de m'y acclimater et une fois chose faite, par magnétisme, mon regard croisa le sien.

Instantanément, j'y plongeais profondément, y lisant tout l'amour qu'il me portait. Amour qui ne faiblissait jamais, bien au contraire. La lueur dans ses prunelles semblait augmenter de jour en jour, et à chaque fois elle avait pour conséquence de lâcher des millions de papillons dans mon estomac et de revigorantes décharges électriques.

Grâce à ses iris, je me sentais invincible.

- Tu es beau mon mari. Chantonnais-je en venant effleurer sa joue, captivé par sa magnificence.

- Pas autant que toi mon mari. Rétorqua-t-il avant de m'embrasser.

À l'inverse de l'ambiance fiévreuse qu'il avait instauré depuis notre arrivée, celle-ci contrastait par sa douceur, comme une trêve que je consommais en enroulant mes bras autour de sa nuque.

Lentement, mes doigts se faufilaient dans ses cheveux soyeux jusqu'à ce qu'il ne rompe le baiser, un sourire coquin au visage.

- Maintenant laisse-moi savourer mon œuvre.

Sur le coup, j'avais du mal à déchiffrer son intention. Toutefois, lorsque je vis sa bouche descendre le long de mon corps, je craignis d'assimiler ce qu'il entendait par là.