FEODOR KOVALENKO

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FEODOR KOVALENKO

Pendant ce temps sur le yacht, moi, Féodor KOVALENKO, je commençais d'immerger d'une nuit imbibée d'alcool, beaucoup d'alcool et surtout de sexe. Je me redressais brutalement, regardais autour de moi, personne. Pourtant, j'étais persuadé d'avoir fait l'amour avec une femme, mais ce n'était pas Tatiana, puisque j'avais découvert, celle-ci, vautrée dans la cabine voisine, dans les bras de l'un de mes associés, pensais-je amèrement.

Il souleva le drap et aperçut la tache de sang mêlée à ses fluides corporels. Non, ce n'est pas possible, je n'ai pas pu faire l'amour à une vierge que je ne connais pas et sans me protéger. Quel idiot !

Je me souviens d'un corps chaud et délicieusement parfumé, qui se cambrait sous mes doigts et sous ma bouche. Quel délice cette nuit, malgré les souvenirs agréables qui refaisaient surface, si cette personne n'était pas consentante, et même si mon état alcoolisé ne me permettait pas de réfléchir, je l'avais sûrement forcé à avoir des relations intimes contre son gré. Mais pourquoi n'a-t-elle rien dit ? Que dois-je faire ?

Je doute que se soit l'une mes invitées, d'hier soir. Je connaissais la plupart d'entres elles, et, elles avaient toutes dépassées la majorité, c'étaient la condition « sine qua non » pour être invitée sur mon palace flottant, je ne voulais pas avoir de problème avec des mineures. Je suis certain qu'elle avait plus de la vingtaine.

J'avais besoin d'une douche froide pour remettre mes idées à leur place, le front contre la paroi de douche, je cherchais à comprendre ce qu'il s'était passé cette nuit. L'idée de s'être conduit, la nuit dernière, comme un voyou me mettait en colère, je devais calmer cette colère dirigeait contre moi, qui m'envahissait progressivement.

LAYAL AL-BAKKARIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant