L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 13

Elle.

— Tu est sur que tout va bien se passer ?

J'acquiesce pour la dixième fois. J'ai convaincu Hugo de rejoindre son père et de tout lui dire. Gloria ne peux pas s'en tirer comme sa. Il ne voulais pas me laisser seul, mais nous ne savons pas de quoi elle est capable plus vite cette histoire serra réglé plus vite il pourra revenir près de moi pour la naissance des enfants. Il caresses mon ventre une dernière fois et dépose un baiser sur mon front avant de s'écarter le visage crispé.

— Hugo, ne t'inquiète pas je vais bien.

Il hoche la tête en avançant vers la porte.

— Je t'aime, je fais vite.
— Moi aussi, je t'aime.

Il hoche la tête.

—Je serrais de retour demain.
—  Reste avec ton père s'il a besoin de toi.
— Tu à encore plus besoin de moi.

Je souris.

—Je suis certaine que nous irons bien, je déclare en caressant mon ventre.

Il me fais un sourire, mais je voie bien qu'il est inquiet.

— à demain.
Puis il sort de la chambre. Je pousse un soupire. J'espère que tout va bien se passer. Le père d'Hugo risque de devenir fou en apprenant ce que sa femme a fais dans son dos. Mon père passe doucement la tête dans ma chambre.

— ça va ? demande-t-il en entrant.

— Oui..

Il lorgne la pièce du regard puis se tourne vers moi.

— Ou es Hugo ? 

— Repartie.

— Comment ça ? Il te laisse toute seul ? 

Mon père commence à s'emporter, alors je lui explique toute l'histoire. A la fin de mon récit, il se radoucit. 

— Qu'elle peau de vache ! Et ta mère qui me dit depuis le début que c'est une pourriture. Je croyais qu'elle exagérais ! 

Je sourit tristement.

— Et maman, ça va ? 

Les yeux de mon père se plante dans les miens.

— Les médecins ont réussi à la stabilisé, me rassure mon père.

C'est un gros poids qui s'enlève de mes épaules. 

— Je suis contente, dis-je en baillant. 

— Je vais te laisser te reposé, et surtout je vais aller dire à ta mère que tu va bien. 

Il m'embrasse sur le front et me fais un petit clin d'oeil avant de sortir de la pièce. 
Exténuée je me glisse dans mon lit. C'est difficile de se reposer ici, il y a toujours tellement de bruit dans les couloirs, sans parler des visites récurrente des sages femmes. Je ferme les yeux en mon concentrant sur ma respiration afin de trouver le sommeil plus rapidement.

***

Je suis réveillé par de violent mot de tête. Sa tambourine si fort que j'arrive à peine à ouvrir les yeux. Mon cœur palpite et je suis couverte de sueur. Je pose immédiatement ma main sur mon ventre et comme pour me rassurer je reçois un petit coup ce qui me fait sourire légèrement. Mais la douleur dans ma tête s'accentue d'avantage, je me sens vraiment très mal. Du bout des doigts j'appuie sur le bouton rouge afin qu'une sage femme vienne me voir. J'appuie, j'appuie plusieurs fois, mais personne je viens. J'ai chaud trop chaud j'étouffe. Je me redresse t'en bien que mal. Tout à coup tout ce met à tourner autour de moi, et je fini par m'effondrer sur le matelas.
j'entends la porte de m'a chambre s'ouvrir mais je ne réagis plus. Je sans que l'on bouge mon corps, j'étends une femme crier médecin, il me faut un médecin. Elle me demande d'ouvrir les yeux mais je n'en est pas là force ma tête me fais trop mal. La porte claque à nouveau.

- Sa tension est beaucoup trop haute.

Cette fois c'est un homme qui parle. Probablement le médecin qu'elle appelais il y a quelques minutes.

- Code rouge, on part au bloc il faut sortir les bébés.

Quoi ? Non ! Non ! Non ! C'est trop tôt ! Beaucoup trop tôt ! Et Hugo n'es pas là, non nos enfants ne peuvent pas venir au monde sans que leur père soit là c'est impossible ! Je me concentre pour ouvrir les yeux, mais je n'y parviens toujours pas cette douleur à la tête est si intense. Je voudrais hurler au médecin d'attendre encore, mais c'est déjà trop tard.
Je commence à m'endormir. Mes paupières pèse une tonne, sans compter que chacun de mes muscles semble fossilisé, malgré tous la seul chose à laquelle je pense c'est mes bebe. Mes petits anges vont naître sans personne pour les accueillir. Je sens que l'on me pose un masque sur le visage et je respire mieux tout à coup. Sa bouge au niveau du bas de mon ventre sa parle aussi autour de moi, mais je ne comprends pas. Je suis comme a des milliers de kilomètres. Et plus les secondes passe plus je plonge dans un sommeil profond...