L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 1

Lui

— Comment, ça va entre brook et toi ? demande ma mère, jouit-elle de façon régulière ?

— Maman !

Ma mère vient à peine de sortir de l'hôpital, voila qu'elle joue déjà les sexologues.

— Mais, comprend moi Hugo, je ne t'es pas élever pour que tu sois un piètre amant !

Je souris, ma maman est de retour et ça fait un bien fou, elle retrouve son appartement qui est juste à côté du mien. Les psychologues ont tous été d'accord, elle est de nouveau sur pied, mais parler de mon père reste douloureux pour elle. Depuis que nous lui avons annoncé la grossesse de Brook, elle semble plus en vie que jamais.

— Je devrais peut-être passer voir brook plus souvent pour l'aider, reprend ma mère en sortant un album photo de sa valise, elle est seule ici sans ses parents...

Je lève une main pour l'interrompre.

— Maman, Brook refuse que notre vie change parce qu'elle est enceinte.

— Mais tous va changer, s'exclame-t-elle.

Elle a raison, rien ne serra jamais plus comme avant.

— Je c'est, mais brook n'est pas le genre de femme a rester au lit toute la journée, elle deviendrait folle.

Elle se renfrogne en continuant de déballer ses bagages.

— Continué a travaillé, à six mois de grossesse ! s'indigne-t-elle.

Je lève les yeux au ciel, elle en fait trop, Brook se porte à merveille, si on met de côté ses hormones complètement détraquées. Elle peut passer du rire aux larmes en un clin d'œil. Jeudi dernier, elle m'a réveillé en pleine nuit parce qu'elle voulait manger des carottes. J'ai dû faire le tour de la ville pour en trouver, et quand je suis enfin rentré victorieux, elle n'en voulait plus. J'étais hors de moi, pour me consoler elle a fini par sucer ma carotte. Je souris en repensant à cette nuit qui s'était plutôt bien finie.

— Pourquoi tu souris comme un guignol ?

Je soupire, elle gâche toujours les meilleurs moments.

— Pour rien, je devrais y aller Brook ne va pas tarder a rentré.

Elle acquiesce.

— Tu n'as besoin de rien ?

— Rien, file t'occupé de ma belle fille.

Je l'embrasse avant de traverser le couloir pour rejoindre mon appartement. La porte est déjà déverrouillée, j'entre à la hâte excité de retrouver ma petite chérie qui a passé sa journée avec Lexie. Je la trouve affalé sur le canapé un pot de glace posé sur son ventre arrondit, les rondeurs de la grossesse lui vont à ravir.

— Salut, je lance en la rejoignant.

— Salut.

Elle fourre une cuillère à soupe pleine de glace au chocolat dans sa bouche. Elle semble contrariée.

— Tous va bien ?

Je pose une main sur sa cuisse tandis qu'elle secoue vigoureusement la tête.

— J'ai encore pris une taille de pantalon, dit-elle avec une moue boudeuse.

Je réprime un sourire.

— C'est normal tu est enceinte. Et tu es toujours aussi magnifique bébé.

— C'est facile pour toi tu n'as pas pris un gramme !

Bon elle n'a pas tort. Je lui ôte des mains la cuillère et j'attrape le pot de glace.

— Tu devrais me laisser manger ça a ta place.

Elle me fusille du regard avant de marcher le pot.

— Ta fille en veut !

J'écarquille les yeux, est-ce que j'ai bien entendu ? Elle a dit ma fille ?

— Tu... tu es sur ? je demande hébété.

Elle éclate de rire devant mon air confus.

— Mais non ! Je n'en c'est rien, mais j'ai la vive conviction que se serra une fille.

— Pourquoi ça ?

— Parce qu'il vaut mieux qu'elle est mon physique plutôt que ton arrogance.

J'ouvre la bouche incapable de répondre, moi arrogant ? On aura tous vu Délicatement j'enlève le pot de glace, malgré sa désapprobation et je glisse une main sous ses fesses.

— Alors comme ça je suis arrogant ? Je susurre en m'approchant de son cou.

— Oui, rit-elle.

Sans prévenir, je mords dans sa peau fine et tendre, elle couine bruyamment de surprise. Je lèche la blessure non apparente, tendit qu'elle gémit. Mes doigts passe sous son pantalon pour atteindre l'endroit chaud et humide que j'apprécie t'en. La porte s'ouvre brutalement. Je retire ma main illico, Brook se redresse les joues rouges, le souffle court. Ma mère débarque au salon les sens en alerte.

— Est-ce que je dois appeler les pompiers ? crie-t-elle en posant sa paume sur le front de sa belle fille.

— Maman, qu'est-ce que tu fais ?

Elle pose son oreille sur le ventre de Brook.

— Je l'est entendu crier, dit-elle en se redressant, est-ce que ça va ?

Je me pince les lèvres, Brook me regarde morte de honte, je vais peut-être regretter son retour finalement