Chapitre 31

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Lui

Qui aurais pensé que je viendrais vivre cher ma mère, à mon âge en plus... Mais mes affaires étant resté a la clinique, je n'est pas vraiment d'autre solution. Ce serra temporaire, je vais retourner chercher mes affaires, rapidement j'ai besoin de mon téléphone. Mes clés, j'avoue que je ne suis pas presser de les récupérer. Retourner dans notre appartement sans Brook, sans Julian, je ne m'en sans pas capable. Ma mère entre dans le salon avec quelque chose dans les mains, elle me jette l'objet que je récupère de justesse.

— En attendant que tu récupère le tien.

Entre mes mains un téléphone s'allume. 

— Merci, maman.

Elle me fais un clin d'oeil avant de sortir pour rejoindre la cuisine. Je parcours le répertoire... Bingo Le prénom Brook, apparait sur l'écran. J'appui et le colle à mon oreille. Répond, s'il te plaît. Et merde messagerie, fait chier ! Elle ne réponds jamais à mes appels. Je lance le navigateur internet et me presse de me connecter à ma boite mail. J'ai reçu deux mails de Brook.

De : Brook Darras Crawford 

A : Hugo Crawford 

Objet : Coucou

Message : 

Un petit coucou, je pensais avoir un message ce matin, mais comme tu ne l'a pas fait, je me suis dit que c'est moi qui pourrais faire le premier pas cette fois.

J'espère que tu n'est pas encore fâché pour hier, je te promet qu'il n'y a pas d'autre homme dans ma vie. 

Ta femme


De : Brook Darras Crawford

A : Hugo Crawford

Objet : 

Message : 

Bon, tu n'a pas répondu à mon précèdent mail, je suppose que tu est fâché.

Je comprends que ce soit difficile pour toi que je soit partie loin, mais je pensais que tu avais compris. Et puis je pensais qu'on resterais en contact pour Julian.

Bref, j'en est assez de me torturé l'esprit, assez de m'en vouloir constamment. 

Je n'est rien fais de moi, je fais simplement mon deuil.

Brook. 

Génial, avec tout ça elle pense que je l'évite. Qu'elle galère ! Je tape une réponse rapide pour lui expliqué que j'ai perdu mon téléphone, inutile de lui raconté toute l'histoire, je ne veux pas qu'elle s'inquiète. J'aimerais que mon séjours à la clinique reste secret enfin pour le moment, je lui dirais tout une fois qu'on se serra retrouver. Je m'allonge sur le canapé en regardant l'écran toute les cinq minutes quand on sonne à la porte.

— Hugo, tu peux y aller ! crie ma mère depuis la cuisine.

Je me lève en soupirant, dans l'entré j'ouvre la porte. Je suis surpris et assez agacé de tombé nez a nez avec Raph, qui d'ailleurs à la joue légèrement violette. Je me décale pour le laisser entré et sans un mot, je retourne au salon. Ce petit merdeux me suis de près, il croise les bras quand je me laisse tombé sur le divan. 

— Tu va resté ici toute la journée ? demande-t-il.

— En quoi ça te regarde ? 

Il hausse les épaules.

— J'ai besoin de toi.

Je lance un rire amer.

— Tiens, je pensais qu'on ne s'aidais plus ?

Il lève les yeux au ciel.

— J'ai besoin que te représente l'entreprise lors d'une soirée la semaine prochaine. 

Je fronce les sourcils, je lui est laisser les reines de la société, il y a des moi de ça.

— Ce n'est pas plutôt à toi d'y aller ? 

— Je croule sous le boulot, je n'est pas le temps, ça me rendrais un grand service. J'ai reçu l'invitation ce matin et j'ai déjà des rendez-vous de prévue ce jour là.

Je fais non de la tête.

— Hors de question, je n'ai aucune envie de me retrouver entourer de guignoles et leur pouf. Tu n'a qu'a envoyé Antoine.

— Il est toujours cher sa mère. Je n'ai que toi !

Le fais qu'Antoine ne soit pas rentré m'inquiète, il est partie il y à quelque mois en demandant à Raph de lui accorder de faire du télétrail, sa mère est gravement malade et il voulais rester au près d'elle. Je suis un ami pitoyable, je n'est pas pris de ses nouvelles depuis trop longtemps.

— On dirais que tu va devoir renoncé à y aller. 

— Tu ne veux pas y aller pour moi ?

— Non, je répond catégorique. 

Il hoche la tête avec un calme olympien, mais je sans qu'il bouillonne intérieurement. Qu'elle culot de venir me demandé de l'aide après avoir refusé de m'aider hier. Bon, ok, c'est moi qui est commencé en le frappant, mais c'est mort je ne rendrais pas ce service. 

— Donc tu va resté là à ne rien faire plutôt qu'aider ton seul frère, cool. 

— Ouais, je réplique en croisant les jambes.

— Comme tu veux, c'est juste dommage la soirée à lieu en Espagne, je suis certain que Brook y serra, mais puisque tu t'en fou.

Sur ses mots, il quitte la pièce. Je me lève rapidement comme si le canapé étais en feu et je poursuit Raph jusqu'à la cuisine ou il embrasse notre mère.

— Comment ça en Espagne ? Quand ? Tu est sur qu'elle y serra ?

Mon frère soupire las.

— Elle y serra forcément puisque c'est son patron qui organise l'évènement. 

— J'y vais, je réponds.

— Je croyais que je devais me débrouillé ? dit-il en souriant. 

Je lui envoie mon majeur. Ma mère nous regarde en riant. 

— On dirais que vous avez de nouveau seize ans ! Je vous préviens cette période ne me manque absolument pas ! 


L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant