L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 34

Lui

Plus que deux petites heures et je la verrais enfin, j'ai tellement hâte ! Je lui est pas parler de ma venue en Espagne, j'ai trop peur qu'elle ne soit pas à la soirée si elle apprend que j'y assiste. Je suis si stressé, d'ailleurs pour la première fois depuis année, je n'arrive pas à faire mon nœud de cravate.  J'ai enfilé un smoking noir, une chemise blanche et une cravate noire également. Je sort mes chaussures de ma valise et les enfiles, je suis en avance, mais je ne tient pas en place. La soirée commence tôt, je serrais dans les premiers pour être certain de ne pas la louper. De nombreuses pensé négatives envahisse mes pensées : Et si elle ne voulais pas me voir ? Ou pire si elle est avec un autre homme ? Mon estomac se révulse, non. Brook m'a affirmé qu'elle m'aimais et je la crois ! Je suis aussi excité à l'idée de retrouvé Julian, après toutes ses semaines sans le voir. Une fois habillé, coiffé et près à partir, je descends dans le hall de l'autel. Raph, à réserver un hôtel, très chic la façades est tout en verre et la mer n'est qu'a quelque mètre de là. Je m'installe au bar et commande un verre pour patienté. Dans une heure, je commande un taxi et dans une heure et trente minute, je serrais sur plus. Je boit mon verre lentement en regardant autour de moi, les principaux occupant de l'autel, son des vacanciers venue ici pour visité la costa blanca. Mais parmi eux, je reconnaît certaine tête du monde de l'édition, notamment Salva notre principal concurrent, je baisse la tête quand il tourne son regard  vers moi. Ce type est un vieux prétention, je le déteste, j'espère qu'il ne m'a pas vue. Et merde, trop tard il approche. Son ventre est comprimé dans son pantalon visiblement trop petit pour lui et sa chemise est sur le point d'explosé, je vous jure si je me prends un bouton dans l'oeil, je l'étripe. 

— Hugo Carwford ! s'exclame-t-il en prenant place sur la tabouret près de moi.

— Salva. 

Je le salue sans même le regardé. 

— Je ne pensais pas te voir ici, je croyais que c'étais ton frère qui avais pris la tête de société.

— C'est le cas, je ne fais que lui rendre service, il avais a faire ailleurs.

Et surtout, je viens retrouvé ma femme, mais ça sa ne le regarde pas !

— Je voie... et ton père comment va-t-il ? demande-t-il d'un ton faussement dégagé. 

Mon poing se serre autour du verre. Je suis certain qu'il s'ait pour mon père, le monde entier est au courant de sa mort, merci les médias !

— Il est décédé, je grogne les dents serré. 

— Oh, mon dieu ! S'est arrivé quand ? Je suis sincèrement désolé, pour ton frère et toi.

Mais bien sûr, qu'elle hypocrite. Je fini mon verre cul sec et me lève.

— Désolé, mais je dois y aller, je suis attendu. 

Je le plante là sans même lui dire aurevoir, ce connard m'a foutu en rogne. J'ai besoin de voir Brook tempi pour mon plant qui étais de la surprendre à la soirée. Je dois la voir maintenant ! J'appel un taxi et en quelque minutes, je me retrouve devant des locaux  assez classe je dois avouer. Deux hommes de la sécurité son posté de chaque côté de l'entrée et vérifie les invitations, je suis surpris qu'il y est déjà une vingtaines de personnes devant. Je regarde une nouvelle fois ma montre ; dix-huit heures. Les mains moites, je rejoins la file et patiente jusqu'à ce que ce soit mon tour.  Le type me demande mon invitation puis s'écarte pour que je puisse entré. Le hall d'entré est assez grand pas autant que cher Crawford édition, mais quand même. Je suis les autres invitées et je me retrouve dans une grande salle de réception qui doit être à l'origine une salle de réunion. Des serveurs slalome entre les gens des plateaux à la main. Il y à beaucoup de monde, mais je ne cherche qu'une personne et je ne la trouve nul part. J'attrape une coupe de champagne et regarde partout autour de moi. Certaine personne me reconnaissent et me serre la main. D'autre m'évite délibérément, jaloux ! Le succès de mon père à toujours attiré la jalousie donc je ne prête pas attention aux chuchotement sur mon passage. Nos roman sont commercialisé dans le monde entier, je suppose que sa rend dingue quelques personnes ici, mais peu importe je ne suis pas venue ici pour ça.  Je me met dans un coin à l'abrie des regards et j'attends. J'attends un long moment, Antonio l'hôte du jour fais son arrivé sous les applaudissement et les crépitements des flashs des photographe venue immortalisé l'instant. Alors, c'est lui le nouveau patron de ma femme, j'admet que je me suis inquiété pour rien, Brook ne partirais jamais avec un homme comme lui. Je ris tous seul de ma bêtise, j'ai vraiment été con de m'imaginé des trucs entre eux. Bref j'avale une gorgé de champagne quand mon regard tombe une petite femme brune, ses cheveux son lissé son corps fin s'est glisser dans une petite robe noir et ses pieds son pris au piège dans une magnifique paire  d'escarpin rouge vif. Ma femme, je souris et fais un pas en avant quand je remarque une main posé sur son épaule, une main d'homme. Je remonte les yeux vers le type que se tient à ses côté, il est jeune porte des lunettes et je voie d'ici des boutons d'acnés sur ses joues. Brook le regarde affectueusement et ris à l'une de ses remarques. Bordel c'est qui ce type ? 

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