Lui
Hugo,
Ses douze dernier moi ont été compliqué pour nous deux. Nous avons bien sur connu des moment de bonheur avec notre fils, mais la disparition d'Aria est compliqué à géré pour moi. J'aurais aimer que t soit plus présent pour moi, mais je ne t'en veux pas au fond je sait que tu en souffre aussi même si tu prétend le contraire.
On se déchire, on dit des choses que l'on regrette ensuite, on ne peux pas continué ainsi.
Je comprends que tu soit en deuil, mais me reproché la mort de ton père étais la goutte d'eau pour moi.
Je part quelque temps, j'ai besoin de me retrouvé, de vivre ma vie de maman sans les disputes et les reproche.
J'espère que tu comprendra et que tu profitera de ce temps pour faire ton deuil. J'aurais aimé être la pour toi dans ce moment difficile, mais comment t'aidé alors que je suis au plus bas moi même ?
Julian viens avec moi, tu pourra nous contacté à partir de demain, je ne veux pas de séparé de ton fils tu peux prendre de ses nouvelles quand tu le souhaite.
Tout sa n'est que temporaire, le temps pour toi et moi de se retrouvé. Enfin c'est ce que je souhaite.
Je t'aime et je t'aimerais t'aimerais toujours.
Brook.
La lettre entre mes mains, je relis encore et encore ses mots. Comment on n'a pu en arrivé la elle et moi ? j'ai été si con qu'elle a préféré s'enfuir plutôt que discuté de nos problème. Je comprends complétement son besoin de se retrouvé, ce que je ne comprends pas en revanche c'est qu'elle est pris notre fils, elle me l'a carrément arraché. Je froisse la lettre dans ma main et la balance à travers la pièce. La mère de Brook pousse un sanglot quand, de colère je jette une chaise. Après la découverte de la lettre j'ai tout de suite appeler sa mère pensant qu'elle serrais avec Brook, mais elle ne savais visiblement rien du plan tordu de sa fille.
— Hugo, calme-toi, gronde Raph. Elle va revenir.
Je me retourne vers mon frère fou de rage.
— Je m'en fou qu'elle revienne pas, ce que je veux c'est mon fils.
Ma belle mère continue de pleuré dans les bras de Lexie tandis que cette dernière me lance un regard noir.
— Arrête tes conneries, tu tient à elle et elle à toi elle a juste besoin d'un peu de temps.
— Comment tu arrive à la défendre ? Notre père ce suicide à cause d'elle, elle se barre avec ton neuve, mais malgré tout tu est de son côté ?
— Comment ? demande la mère de Brook en se levant. George à mis fin a ses jours a cause de Brook ? Mais pourquoi ? C'est insensé.
Je lui lance un regarde assassin et elle se tut.
— Putain vous me faite tous chier ! je gronde en sortant en trombe de l'appartement.
Je claque la porte et dévale les escaliers, dehors il fais une chaleur écrasante, mais la pluie s'emble enfin se montré. Raph crie mon nom dans mon dos, mais je ne me retourne pas. Marre de leur connerie bordel ! Je marche sous la flotte pendant un bon moment, jusqu'à ce que la nuit tombe et commence à me donné froid. Je suis trempé et complétement déphasé quand j'entre dans le premier bar qui se trouve sur mon chemin.
Deux heures plus tard, l'alcool rend la situation un peu plus supportable, mais je suis encore trop conscient pour réfléchir c'est pourquoi je commande un nouveau verre. Le barman, me lance un regard désapprobateur, mais je m'en moque totalement. J'ai besoin d'oublier toute cette merde qu'est ma vie. Je ne suis qu'un pauvre type qui tombe dans l'alcool en plus de sa, pas étonnant qu'elle soit partie. Une femme d'une trentaine d'année s'assoit près de moi. Je ne le regarde, je préfère de loin fixé mon verre.
— Alors tu traîne dans les bars maintenant ?
Sa voix me fais relevé la tête immédiatement. Bordel, c'est bien elle.
— Sa fais longtemps, que l'on ne s'est pas vue.
Ma bouche s'entre ouvre sou le choc. Une chevelure bleu, des ongles rouge éclatant et un sourire malsain.
Mélissa.
— Remet toi Hugo ! rit-elle en buvant une gorgé de son cocktail.
— Qu'est-ce que tu fais ici ? je demande incrédule.
Mélissa est partie vivre en France après la mort de Greg elle voulais quitter la ville, chose que je comprends, après tout elle a tuer quelqu'un.
— Je suis venue rendre visite à la famille, dit-elle en souriant. Et toi ? Depuis quand Hugo Crawford traîne seul dans les bars.
Je hausse les épaules.
— J'avais besoin d'air.
Elle hoche la tête en faisant glisser ses ongles le long du bar.
— Tu est papa à ce qu'on raconte.
Oui, même si à l'heure actuelle, je ne sais même pas ou se trouve mon fils.
— Ouais...
— Comment va Brook ?
En entend son nom la rage surgit de nouveau. C'est comme du poison qui se repends dans mes veines. Je serre si fort mon verre que mes jointure blanchissent.
— Waouh, j'ai posé la question qu'il ne fallait on dirait.
Je ne réponds pas, j'essais de me calmé en regardant l'heure. Trois heures du matin d'ici quelque heures, je pourrais la contacté et lui ordonné de me ramené mon fils. La main manucuré de Mélissa se pose sur mon épaule.
— Tu est sur que tout va bien ? demande-t-elle en s'approchant de moi.
— Très bien, j'articule tandis qu'elle agite son décolleté provocateur juste sous mon nez.
Mes yeux ne peuvent s'empêché de lorgné sa poitrine. Merde depuis combien de temps je ne me suis pas envoyé en l'air ? Bordel je me rappel même plus la dernière fois. Depuis la naissance de Julian et la mort d'Aria Brook et moi on n'est plus vraiment dans ce genre de relation. Tout à coup je réalise. J'ai pensé à Aria, j'ai pensé à elle en l'appelant par son prénom. Je sens quelque chose se brisé en moi, et la rage fut remplacé par la tristesse. Je recule faisant comprendre à Mélissa de s'éloigné. Celle ci se rassoie sans un mot.
— Tu veux qu'on sorte marcher un peu ? propose-t-elle.
Je secoue la tête. Non je ne veux pas être en sa compagnie, je ne veux pas, je voudrais juste serré ma fille dans mes bras. Mais je ne peux pas. Tout à coup poussé par une envie irrépressible de me trouvé proche d'elle, je sort du bar en courant. Je cours encore et encore je suis essoufflé et trempé par lui battante. Mais je ne m'arrête que lorsque je pousse la barrière du cimetière. Je parcours l'endroit en quelque minutes et puis une fois devant la pierre tombale de ma fille, je m'effondre à genoux. Je pleure, je hurle la tête entre mes mains pour la première fois je pleure la mort de ma fille.
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L'inconnu ma Grossesse et Moi
RomanceBrook et Hugo auraient pu vivre le parfait amour, loin de cette sordide histoire. Greg est mort, et pourtant, les messages énigmatiques sont de retour. Qui continue de les harceler, et surtout, pourquoi ? Entre les problèmes de santé de la mère de B...