L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 38

Elle

Après l'anniversaire surprise d'Elisa, Hugo et moi somme rentré à l'appartement et pendant qu'il couche Julian pour la sieste, je profite de ce moment pour réservé notre billet de retour. Il y à un vol pour demain soir dix neuf heures, je dois encore emballer mes affaires, mais je n'est pas grand chose en quelque heures tout serra ranger. Hugo me rejoins en soupirant.

— Il dort, je demande en fixant l'écran de mon portable.

— Oui, enfin ! Il étais vraiment énerver, j'ai crue qu'il ne trouverais jamais le sommeil. Qu'est-ce que tu fais ? 

Il se penche quand je valide nos billets.

— Tu commande déjà nos billets ? 

— Oui, ce serrais fais. Il y à un vol demain soir...

J'allais cliqué sur paiement quand Hugo m'arrache le téléphone des mains.

— Mais !

— C'est si urgent que ça ? On ne pourrais pas rester encore ? 

— Tu veux dire quelque jours ?

Il secoue la tête.

— Non, je veux dire qu'on pourrais resté ici de façon permanente. Par contre ont doit absolument trouver un autre appart c'est beaucoup trop petit ici.

Il détaille la pièce du regard tandis que je le regarde incrédule.

— Tu veux resté ? 

Il hausse les épaules.

— Tu toi tu le veux. 

— Mais pourquoi est-ce que tu veux resté, enfin je veux dire, je croyais que...

Sa main se pos sur ma cuisse. 

— Je voie à qu'elle point tu est heureuse ici, je crois que c'est à mon tour de déménager. A mon tour de te suivre.

— Mais, je n'est même plus de travail ! je proteste.

Hugo lève son index dans les airs.

— Justement à ce sujet, j'ai discuté avec Antonio et il est près à te reprendre. Il m'a même offert le poste de bras droit. On pourrais rester quelque temps.

Mes yeux s'écarquillent, alors c'est pour cette raison qu'il parlais avec Antonio tout à l'heure, je comprends mieux. 

— Je ne veux pas t'imposer ça et puis il y  à ta mère et ton frère et...

Il se lève et attrape une feuille et un crayon, je fronce les sourcils ne comprenant pour ou il veux en venir. Sur le papier, il fais une ligne vertical et ecrits "RAISON DE RESTER" d'un côté et "RAISON DE PARTIR" de l'autre. 

— Tu va vraiment faire un tableau du pour et du contre ? je lui demande hilare.

— Tu peux rire autant que tu veux, mais ça va nous aider à faire notre choix ! Alors pourquoi voudrais tu rester ici ? 

Je n'ai même pas besoin de réfléchir !

— J'aime mon travail, j'adore la ville, Elisa, et Julian aime beaucoup aller à la crèche. 

Hugo note tout ça dans la colonne des pours puis me regarde et attend.

— Je voudrais rentré pour... pour mes parents !

Il écrit et attend, mais je ne voie pas d'autre raison de rentré. Lexie et Raph me manque aussi, mais notre relation n'es plus vraiment au beaux fixes ses derniers temps... 

— C'est la seul raison ? demande  Hugo en me fixant.

Je me triture les doigts. 

— Oui, j'avoue. 

— Alors je crois que notre décision est prise !  Nous restons ! 

Mon coeur fais un bon dans ma poitrine et je saute du canapé pour l'embrasser. Il me soulève dans ses bras et j'enroule mes jambes autour de ses hanches. A bout de souffle je m'écarte de ses lèvres. 

— Je dois prévenir Elisa ! je m'écrie en essayant de descendre. 

Mais mon mari en à décidé autrement et ne me laisse pas m'échapper. 

— Avant on va faire les petites annonce, hors de question que je reste une nuit de plus dans cette appart. 

Je lève les yeux au ciel. 

— Vous êtes capricieux monsieur Crawford. 

— Mais, je n'ai jamais dit le contraire, j'ai grandis dans le luxe que veut-tu !

Je ris et l'embrasse une nouvelle fois, il tourne sur lui même et nous nous écroulons sur le canapé en riant. Ce moment est magique, s'est un nouveau départ, une nouvelle vie qui s'offre à nous. Même si annoncer à ma mère que je reste en Espagne serra compliqué, je sait qu'elle comprendra et puis je pourrais toujours lui envoyer un billet pour qu'elle vienne nous rendre visite. 

— Je vais devoir prévenir Raph, dit Hugo pensif.

— Et moi ma mère, je répond sur le même ton.

Il claque sa main sur ma cuisse.

— Mais avant ça au boulot ! déclare-t-il.

Il saisit l'ordinateur posé sur la table basse et lance un site de petite annonce. Nous passons plusieurs heures ainsi à chercher notre futur cher nous. Mais Hugo est tellement exigent, s'ait épuisant ! Pas trop loin du travail, mais assez éloigné du centre ville, minimum cent mètres carré avec un balcon. Bref ses exigences sont-elles que même après deux heures de recherche rien ne lui conviens. 

— J'abandonne, dis-je en me levant du divan.

— Tu est vraiment défaitiste ! 

— Et toi trop exigent ! Le dernier qu'on à vue avais l'air top.

— Il y à un bar juste en bas, je suis certain que des pochtrons vont traîné dans la rue le soir, c'est beaucoup trop dangereux. Imagine que tu rentre tard du travail et qu'un deux t'agresse. 

Je lève les yeux au ciel, c'est ridicule. 

— Tu c'est quoi, je vais aller directement en agence, dit-il en levant. 

— D'accord, je vais lever Julian.

— Non, reste ici avec lui, je reviens vite.

Il m'embrasse, attrape sa veste et sort de l'appartement. Eh bien, jamais de la vie je n'aurais imaginé ça en me levant ce matin. Je suis tellement heureuse, je suis sûr que ça va nous faire du bien de resté ici et puis je suis reconnaissante à Antonio de me laisser reprendre ma place. Tout s'emble parfait pour une fois. Je regarde Julian dormir un long moment quand je reçois un sms d'Hugo. 

J'ai trouvé la maison parfaite, j'arrive ! Je t'aime. 

Je souris, il est vraiment parfait mon mari. Et même si nous avons vécu une épreuve difficile, et que nous n'avons pas encore vraiment mis les choses à plats, je sait maintenant que nous arriverons à tous surmonter temps que l'on est ensemble. Notre force c'est notre couple, notre fils, notre amour.