Chapitre 40 Epilogue

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Elle 

Deux mois plus tard

C'est noël ! Ma fête préféré c'est ce soir, nous somme le vingt quatre décembre, je ne tient pas en place depuis ce matin. D'autant plus que pour l'occasion j'ai réussi à réunir tout le monde, Mes parents, la mère d'Hugo, Raph et Lexie, et même Antoine fais le déplacement. Le pauvre viens de perdre sa maman et nous somme chargé de lui changer les idées. Pour fêter ça comme il ce doit, j'ai décoré la maison de long en large sous les regards désapprobateur de mon mari. Nous avons commander un super repas au traiteur du coin et tout semble parfait. Hugo m'embrasse avant de filer chercher sa maman et Eric à l'aéroport, de me côté je termine le repas de Julian. Mon portable m'annonce l'arrivé d'un sms de Lexie. 

On serra là d'ici quinze minutes !

— Papi, mamie, tonton Raph et tata Lexie arrive mon bébé ! 

Julian souris et je lui débarbouille le visage avec une lingette en coton puis je le descend de sa chaise. Quelque minutes plus tard la sonnette retentie, j'enfile rapidement mon bonnet de père noël et file ouvrir en sautillant sous les exclamations joyeuse de mon fils. 

— Joyeux noël ! crie en coeur mes parents, Raph et Lexie sur le pas de la porte. 

Ma mère me saute dans les bras et me serre très fort contre elle, une larme s'échappe quand elle murmure à mon oreille ;

— C'est si bon de te voir. 

— Partage un peu, râle mon père en la poussant doucement.

Ma mère s'écarte à contre coeur et mon père me prend dans les bras à son tour, Lexie et Raph. Les petites mains de Julian agrippe  mes jambes.

— Oh, comme il à grandis mon petit coeur, dit ma mère la voix pleine d'émotions. 

— Il est trop mignon, s'ébahit Lexie. 

Je prend mon fils dans mes bras, mais il cache son visage dans mon cou. 

— Il est assez timide, mais entré ! 

— Tu à mis le paquet sur la déco, dit mon père en détaillant l'intérieur de la maison. 

— Comme toujours !

J'invite tous le monde à s'installer au salon avec un chocolat chaud et des biscuits, l'atmosphère est néanmoins tendu. même si les mois ont passées, pour eux nous les avons abandonner en venant vivre ici. 

— Votre maison est magnifique, constate ma mère. 

— Merci, maman. 

Mon père passe son bras autour d'elle sur le canapé et échange un sourire.

— Le salaire d'Hugo doit être confortable, affirme Raph en regardant Julian entouré de jouet. 

— C'est clair, passez d'un appartement à une villa avec piscine... 

— La vie est nettement moins cher ici, je réplique amèrement. 

Ma mère frappe dans ses mains, pour changer de conversation, je la remercie silencieusement. 

— Et Hugo ou est-il ? 

— Il ne devrais pas tarder, il est partie chercher Eric et sa mère. 

J'ai à peine fini ma phrase que la porte d'entrée claque et mon mari apparaît aux côtés de son oncle et de sa maman. 

— Salut, tous le monde ! lance joyeusement Eric. 

Je me lève pour lui faire la bise et tous m'imite. La tension s'emble moins présente tout à coup, tous le monte entame une conversation et Raph prend même Hugo dans ses bras ce qui est un grand soulagement. Avec le sourire aux lèvres je part à la cuisine chercher une autre fournée de biscuits. J'ouvre le four et sort la plaque au moment ou je sens une présence dans mon dos. Lexie est près du plant de travaille les bras croisée elle me regarde sans dire un mot. 

— Tu à besoin de quelque chose ? je demande en déposant les biscuits dans un plat.

Elle secoue la tête. 

— Non, je voulais juste te dire que tu me manque. C'est tellement dure de ne plus avoir de meilleure amie. 

Elle se mord la lèvre, pour se retenir de pleurer mais plusieurs larmes s'échappe de ses yeux. 

— Je suis désolé, de ne pas avoir su t'aider après Aria. 

— Oh, Lexie...

Je m'approche et la serre dans mes bras.

— Je t'en veux plus, c'est du passé, personne n'aurais vraiment pu m'aider au fond, j'étais simplement trop triste.

— Je comprends...

Nous restons enlacer un moment, jusqu'à ce que la maman d'Hugo m'appel. 

— Oui ? 

— Tu sait ou est Hugo ? Je dois lui parler ? 

Quelque chose dans sa façon de parler et de se trituré les doigts me fais penser qu'elle est stresser.

— Il est partie chercher les cadeaux avec Raph dans la voiture, répond Lexie à ma place. 

— Merci, souffle-t-elle avant de disparaître. 

Je fronce les sourcils.

— Tu ne trouve pas qu'elle est bizarre ? 

Mon amie hausse les épaules et attrape le plat de biscuit. 

— Allons grignoté, je te rappel qu'à noël on mange plus que ce qui est permis. 

— ça c'est sur ! 

Nous retournons au salon, Raph est ici il dépose les cadeaux au pieds du sapin, mais Hugo n'est pas là. Je trouve ça vraiment étrange le comportement de ça mère, j'espère qu'elle n'a rien de grave à lui annoncer, il commence seulement à se remettre de la mort de son père. 

— A ce merveilleux noël ! s'exclame Eric en levant son mug rempli de chocolat chaud. 

Nous faisons tous de même et trinquons gaiement sous les applaudissement de mon bébé. 

— Et si tu ouvrais un cadeau, mon bonhomme ? 

— Non Raph ! Les cadeaux c'est demain matin, proteste ma mère.

Raph lui tire la langue.

— Aller prend celui-ci mon chérie, dit Lexie en saisissant un énorme paquet. 

Mon père et Eric entame une conversation sur la météo d'ici, ma mère prend Julian en photo, Lexie et Raph l'aide à ouvrir son présent et moi je regarde ma petite famille. Il ne manque qu'Hugo et... Ah le voila ! Son expression fermer et la vitesse à laquelle il marche me fais perdre mon sourire. Il se passe quelque chose, tout va très vite, Hugo attrapa Eric par la chemise et le plaque contre le mur près de la cheminé. Quelqu'un pousse un crie, tandis qu'il menace son oncle avec son poing. 

— Hugo qu'est-ce que tu fou ? demande Raph en s'approchant doucement. 

— Tu le savais n'est-ce pas ? 

ça question sonne d'avantage comme une affirmation qu'une question. Eric hoche lentement la tête le regard impassible. 

— Pourquoi ? Pourquoi ? Vous ne m'avez rien dit, hurle Hugo fou de rage. 

Je ne croie ne l'avoir vue autant en colère. Cherchant à comprendre de quoi il parle, je cherche sa mère du regard, elle pleure dans un coin du salon. Mais enfin que lui a t-elle dit ? 

— Je suis désolé, dit Eric calmement.

Hugo pousse un rire sans joie, puis baisse son poing, mais maintient tout même son oncle contre le mur. 

 — Désolé ? Laisse moi rire ! Putain je pleure la mort de mon père depuis des mois, alors quant  réalité, mon véritable père n'es pas mort puisqu'il se tient devant moi !

La stupéfaction se lis sur tous les visages, c'est quoi encore ce bordel ? 

L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant