Elle
Hugo et moi somme repartie rapidement de la soirée après notre petit "tour" dans devinez quoi un vestiaire ! Nous avons beaucoup quand il allumer la lumière et que nous avons vue des manteaux et des sacs à main partout. ça nous à rappelez l'époque ou nous nous somme rencontré. C'est plus proche que jamais que nous avons récupéré Julian et foncé à mon appartement, une fois là, je me suis endormie dans les bras de mon mari assez rapidement. Cette sensation de sécurité m'avais énormément manqué. Ce matin, je me suis réveillé très tard, Hugo jouais avec Julian dans le salon ce qui m'a permis de me reposer. Nous avons traîné dans l'appartement toute la matinée puis vers Treize heures Léo m'a envoyer un sms pour m'annoncé que tout était installer dans la salle de réception pour la fête d'anniversaire surprise d'Elisa. C'est donc en famille que nous marchons vers les locaux de l'entreprise, mon fils dans les bras de son papa.
— Tu lui à beaucoup manquer, dis-je en remarquant le sourire de Julian.
— Il ma manquer aussi.
Je me blottie contre Hugo.
— Je te promet de ne plus partir comme ça.
Il passe son bras autour de moi.
— Je ne t'en veux pas, je comprends, répond-t-il d'un ton sincère.
Sa réponse me réconforte et j'espère que nous ne serrons plus jamais séparé. Même si me être seul ma aider à me retrouver, je réalise que je vais beaucoup mieux en sa présence. Nous arrivons au bureau et nous filons directement jusqu'à la salle ou à eu lieu la soirée d'hier. Plus rien ne laisse deviné qu'il y à quelques heures des centaines de personnes mangeais et buvais ici. Tout à été débarrasser, et l'immense table de réunion à été remis en place au centre de la pièce. Dans le fond de celle-ci se trouve une table avec quelque gobelets en plastique, des bouteilles et un gâteau au centre avec écrit Joyeux anniversaire dessus. Léo se tient d'arrière la table et quelque collègue son déjà arrivé. Je salues plusieurs personne et présente Hugo. Antonio nous rejoins également et fonce en direction d'Hugo quand il nous aperçoit.
— Hugo, je ne savais pas que vous faisiez partie de la fête.
— Je me suis laisser entrainer, dit-il en me regardant.
Antonio sourit puis Léo nous ordonne de ne taire.
— Elle arrive, dit-il en courant pour éteindre la lumière.
Les stores sont baisser et l'obscurité s'installe. Hugo viens chuchoté à mon oreille.
— Je ne savais pas qu'on étais ici, pour se genre de pratique, nous aurions peut-être dû déposer Julian avant.
Je le frappe sur le torse en riant. La porte s'ouvre et la voix d'Elisa retenti.
— Léo, tu est là ?
Tout à coup la lumière s'allume et nous crions tous SURPRISE ! Elisa surprise plaque sa main sur sa bouche et se met à rire en marchant vers nous. Julian hurle, le pauvre à eu peur de tous ses cries. Hugo le berce doucement dans ses bras.
— Tu veux que je le prenne ?
Il me fais non de la tête.
— Profite, dit-il simplement en s'éloignant pour que les pleures de notre fils ne gâche pas le moment.
— Vous êtes fou ! Mais merci !
Sur le gâteau Léo installe les trente bougies, puis les allumes.
— Sérieusement, il commence à y avoir beaucoup trop de bougies à mon goût, dit-elle en grimaçant.
Nous rions tous puis Léo l'incite à soufflé.
— Brook, vient m'aider !
Je la rejoins derrière et elle me serre brièvement dans ses bras puis elle compte jusqu'à trois et nous éteignons les bougies ensemble. Les applaudissements retentissent et Elisa remercie Léo en lui offrant un câlin, ce dernier me regarde son pouce levé vers le ciel, je lui fais un clin d'œil et Elisa s'écarte lentement de lui.
— Je tien vraiment à tous vous remercier, pour cette surprise, mais également pour m'avoir accepté parmi vous. Merci Antonio de me permettre de faire le métier de mes rêves. Et puis merci mon petit Léo pour tes petites attentions chaque jours. Et le meilleure pour la fin ! elle se tourne vers moi et ses yeux s'emplirent de larmes. Merci Brook d'être une amie aussi génial, tu va beaucoup me manquer.
Une larme glisse sur ma joue, je la serra aussitôt dans mes bras.
— Tu va me manqué aussi.
— Bon on peux le manger ce gâteau ? crie quelqu'un dans la salle.
Nous nous séparons et Léo commence à distribué les parts. Je cherche Hugo du regard, il me fixe depuis l'autre côté de la pièce. Je l'incite à venir d'un geste de la main, mais il me fais non de la tête et rejoins mon patron enfin mon ancien patron un peu plus loin. Il suit Antonio dans le couloir, je trouve ça étrange, mais en même temps, Raph lui à demander de représenté Crawford éditions pendant son séjour, ils parlent probablement affaire. Mon portable vibre dans ma poche le prénom de ma mère d'affiche, j'ai envie de refusé l'appel, mais je c'est qu'elle s'inquiète pour moi donc je décroche et m'éloigne doucement.
— Coucou, maman.
— Bonjour, ma chérie ! Est-ce que ça va ?
— Je vais bien.
— C'est quoi ce bruit ? demande-t-elle en parlant plus fort.
Autour de moi les rires sont si fort que je suis obligé de quitté la pièce une seconde.
— Je suis à l'anniversaire d'une amie.
— Ah, d'accord. Je voulais prendre des nouvelles et puis savoir si, enfin si tu est prête à rentré.
J'ai envie de lui dire non, mais oui je dois rentré à la maison avec Hugo.
— Oui, maman. Nous rentrons demain Hugo et moi.
— Quoi ? Hugo ? Il est avec toi ?
Je ne réponds pas, je suis trop absorbé par la scène qui se déroule devant moi. Antonio donne un papier à Hugo et mon mari le fourre dans sa poche. Il se serre la main et Hugo remercie Antonio. Il se trame quelque chose.
— Brook ?
— Oui, oui maman. Hugo m'a rejoins, mais on en parle plut tard, d'accord je dois te laisser.
Je raccroche sans lui laisser le temps de répondre et fonce vers ces deus hommes qui ont été tous les deux mes patrons. Je voulais surprendre leur conversation, mais Julian annonce ma présence.
— Mama !
Hugo se retourne aussitôt et Antonio disparaît vers la salle de réunion.
— Qu'est-ce qui se passe ?
Hugo hausse les épaules.
— Rien du tout, je prenais simplement quelque info pour Raph. Si je reviens sans rien il va pensé que je ne suis venu ici que pour toi.
Je sent qu'il me cache quelque chose, mais je n'insiste pas.
— Et, ce n'est pas la cas ?
— Bien sûr que si, mais il n'a pas besoin de le savoir.
Je souris et il dépose un léger baiser sur mes lèvres.
— On va le manger ce gâteau ? demande-t-il contre ma bouche.
— Et comment !
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L'inconnu ma Grossesse et Moi
RomanceBrook et Hugo auraient pu vivre le parfait amour, loin de cette sordide histoire. Greg est mort, et pourtant, les messages énigmatiques sont de retour. Qui continue de les harceler, et surtout, pourquoi ? Entre les problèmes de santé de la mère de B...