Chapitre 28

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Lui 

Ma psy me regarde attentivement et analyse chacune de mes réponses. 

— Est-ce que vous avez pris contact avec Brook.

J'acquiesce.

— Ouais, je l'es appeler d'abord, mais elle n'a pas répondu alors je lui est envoyer un mail.

— Bien, très bien. Cela va prendre du temps, mais je suis convaincu que vous allez parvenir à trouver une solution ensemble. 

— J'espère. 

— Et à propos de votre frère, pourquoi l'avoir frapper ? 

Je soupire, et voilà le sujet que je voulais justement évité.

— En fait, je ne sais pas vraiment, je me suis mis hors de moi je n'arrivais plus à contrôlé mes émotions.

— Qu'avez vous ressenti après ? 

— J'étais vraiment mal.

— C'est une bonne chose.

Elle est sérieuse ? Devant ma mine défaite elle explique : 

— Vous avez des remord, c'est bien d'en avoir, c'est humain. Pour ce qui est de vos excès de colère, je vous conseil de bouger, de vous mettre au sport. 

Je ricane.

— Vous allez me proposez de faire de la boxe comme ma mère.

Elle me regarde sérieusement.

— Pourquoi pas ? ça pourrais vous aidez à évacuer votre colère. Je vous laisse y réfléchir, on en reparle demain. 

Je fais un rapide oui de la tête en me levant. 

— Bonne journée Hugo. 

Je la remercie et sort de la pièce pour rejoindre ma chambre. Je longe le long couloir blanc d'un pas rapide pressé de récupérer mon portable. J'ai hâte de voir si Brook m'a envoyé un mail, depuis sa réponse hier, nous communiquons pas mal, notre principal sujet de conversation est Julian, mais c'est déjà bien qu'elle accepte de me répondre. 

— AAAHHH !!!

Je sursaute en entends des cries dans mon dos, c'est tout le temps comme ça ici. Des gens hurle sans raison, certains frappe contre les murs d'autre refuse de manger. Au final je dois m'estimé heureux, je suis l'un des patient le plus normal. 

— Je vais vous tuer, je vous jure, je vais vous tuer, arrêtez de me drogué !

Je me stop net en reconnaissant cette voix. Je me retourne et je la voie, elle se débat tandis qu'un infirmier essais de la poussé dans une pièce. Elle est à l'origine de tout mes problèmes, elle la cause de la mort de ma fille, du suicide de mon père, du départ de Brook. Elle à foutu toute ma vie en l'air. Une nouvelle fois la rage envahit chaque cellule de mon corps, en un rien de temps j'écrase les quelques mètres qui nous sépare. Quand j'arrive à sa hauteur Gloria pose ses yeux entouré de cernes violacé sur moi. Elle s'immobilise aussitôt, puis son sourire malsain fend son visage.  D'un geste je la posse violement sur le sol, je ne peux pas m'arrêté et lui assène une gifle au visage. J'entend l'infirmier hurler, il essais de me retenir tout en appelant du renfort mais je suis incontrôlable. Gloria continue de sourire la joue rouge, je lui attrape les épaules et la secoue avec rage, sa tête heurte le sol à plusieurs reprise, mais cette salope continue de sourire, qu'elle garce ! Je vais la tuer ! Mes mains s'enroule autour de son cou, mais je n'est pas le temps de serré que je suis projeté en arrière. Deux infirmiers et un gars de la sécurité nous sépare. 

— Bon sang c'est quoi ton problème à toi ? demande l'un d'eu.

Je ne réponds pas, je continue de fixé Gloria avec une rage folle, j'entreprends un pas vers elle, mais deux hommes me saisissent par les bras. 

— ça suffit !

Elle continue de sourire, bordel ! L'infirmier qui à assisté à la bagarre l'aide à se relevé et la pousse dans sa chambre. Les deux hommes qui me tienne les bras ressert leur prise et m'escorte jusqu'à la mienne.

— Je peux marcher seul, je gronde en essayant de me libéré.

— A ouais ?  Franchement tu viens de frapper une femme, mec, je n'ai aucune confiance en toi.

— C'est pas une femme, c'est le diable. 

Ils ne m'écoute pas et nous continuons de marcher. Une fois dans la pièce, L'un d'eu me lâche, mais l'autre me saisit les deux poignées et les mets dans mon dos, comme s'il allais me menotté. Après tous sa voila qu'on me prend pour un criminel. On m'allonge sur le lit et les deux hommes me mettent des bracelets en cuir attaché au lit. 

— Sérieusement ? Vous allez m'attaché ? 

— Ouais au moins le temps que tu te calme.

— Mais c'est quoi ce délire ? C'est elle qui à foutu ma vie en l'air et c'est moi qui suit attaché.

— Ouais, ouais, aller à tout à l'heure. 

Les deux hommes quitte la pièce me laisser la, attaché comme un animal. Non en fait même pire qu'un animal, mes bras et mes jambe sont écarté en croix. Je ne peux pas bouger du tout. S'ils pensent que c'est comme ça que je vais me calmer, ils se trompent. Mon portable vibre sur la table à côté de moi. J'ai reçu un mail, c'est surement Brook, putain ! Je ne peux même pas l'attrapé. Décidément ma vie est de plus en plus chaotique chaque fois que je pense touché le fond je m'enfonce un peu plus comme si j'étais dans des putain de sables mouvants. Est-ce que tous ce bordel va s'arrêté un jour ? Les minutes me semble des heures, le temps s'écoule lentement, mes poignées me font souffrir tout comme mes chevilles. La colère quitte mon corps et la fatigue commence à m'envahir, j'ai arrêté de me débattre à quoi bon ? Je me fais plus mal qu'autre chose. Au moment ou mes paupières se ferme, la porte s'ouvre. J'ouvre les yeux, une infirmière d'une quarantaines d'années d'approche de moi et sans un mot défait mes liens. Je suis si soulagé de pouvoir enfin bougé. 

— Merci, dis-je en frottant mes chevilles rouge.

— Un conseil, prenez vos médicaments, sinon vous ne sortirez jamais d'ici. 

Je jette un regard à la table ou se trouve un gobelet d'eau à coté de plusieurs gélules. Je ne les est pas pris pour avoir les idées clair en discutant avec Brook. Sur ses mots elle sort de la pièce, mais le clique de la serrure se fais entendre. Je suis coincé dans cette pièce, je m'en fou, au moins j'ai accès à mon téléphone maintenant. 

L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant