L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 20

Elle 

Je suis arriver en Espagne, il y à deux jours maintenant, je suis installer dans un petit hôtel au bord de la mer. La région est vraiment magnifique, Moraira est une ville magnifique, ou le soleil rayonne. Depuis quarante huit heures mon portable ne cesse de sonné, mais je n'es pas le courage de répondre. J'ai simplement envoyé un texto à ma mère pour lui dire que je vais bien. Hugo n'a pas essayé de me joindre une seul fois, et je dois avouer que sa me blesse. Qu'il ne prenne pas contact avec moi est une chose, mais qu'il renonce aussi facilement à son fils en est une autre. 

— Mama ! 

J'embrasse Julian et continue de marcher en le berçant dans mes bras. J'admire les couvertures des livres ancien installer sur les étagères d'une petite librairie de quartier. Nous passons nos journée ainsi Julian et moi, faire du tourisme, flâné dans les librairies ou à la plage. Et sa me fait un bien fou. Tandis que je scrute mon téléphone une nouvelle fois, j'écoute distraitement la conversation d'un homme à côté de moi. 

— Mais, je voie absolument pas ce livre Marie ! Oui, il y a orgueil et préjugés, et les hauts de hurlevent. Je prends quoi ? Marie ? Allô ?

L'homme peste contre son téléphone puis le fourre dans sa poche. Il à dû sentir ma présence car il se tourne vers et me lance un sourire ce qui fais ressortir ses rides. Ses cheveux gris ma  rappel ceux de Georges, mon estomac se tord à cette pensé.

— Je suis désolé, si je vous est déranger mademoiselle. 

Je secoue doucement la tête.

— Non, Non, pas du tout, je réponds. 

— Ma femme devais venir elle-même chercher le cadeau pour notre fille, mais elle a été retenue par le travaille. Et je dois avouer que la romance n'est pas vraiment mon domaine de prédilection. 

Il se gratte l'arrière de la tête visiblement mal à l'aise.

— Si c'est une mordu de romance Orgueil et préjugé ou bien les hauts de hurlevent sont parfait l'un comme l'autre. Vous avez également Roméo est Juliette, autant emporte le vent... 

L'homme Hausse les sourcils.

— Vous avez l'air calé dans le domaine, vous êtes passionné.

— J'ai travaillé plusieurs année dans une grande maison d'étions.

— Vraiment ? Ma femme et moi avons ouvert notre maison d'édition, il y a quelques année de sa, nous recherchons des personnes pour notre comité de lecture, vous seriez intéressé ?

J'ouvre la bouche ne sachant quoi répondre. Bien sur j'ai toujours aimer travailler, mais j'aurais l'impression de trahir Hugo en acceptant cette offre d'emploi. 

— Merci, mais j'ai arrêté pour resté près de mon fils.

L'homme pose les yeux sur mon garçon et sourit.

— Tempi pour moi, je vous laisse ma carte au cas ou. 

Il me tend la carte que je fourre dans la poche de mon jeans.

— Merci.

— Bon et bien, je vais prendre ses deux là, merci du conseil et j'espère à bientôt, dit-il avant de s'éloigner vers la caisse.

***

une fois rentré à l'hôtel, je donne son bain à Julian et il s'endors juste après allongé dans son petit lit pliant. Je m'installe sur le lit et regarde distraitement la télé en pensant à Hugo. Même si des milliers de kilomètres nous sépare, je ne fait que pensé à lui. Il me manque beaucoup, mais je suis toujours en colère contre lui et le fait qu'il ne prenne pas de nouvelle, n'aide pas à apaiser ma rancoeure. C'est comme s'il avais fait une croix sur notre couple, sur notre famille. J'espérais au fond de moi que se voyage arrangerais les choses, mais en faite je me demande si on ne devrais pas tout arrêté. Peut être que je devrais m'installer ici pour de bon et accepté l'offre de cette homme. Après plusieurs recherche sur le net j'ai découvert que sa maison d'édition est très réputé en Espagne et que sa femme est spécialisé dans la littérature sentimental. Peut être que ce serra l'occasion de tout reprendre à zéro, d'offrir une nouvelle vie à Julian et un nouveau départ pour moi. Mon portable sonne une nouvelle fois, c'est ma Raph encore. Je crois qu'il m'a appeler au moins trente fois depuis ce matin. Cette fois il à laisser un message vocal, j'hésite un instant puis fini par l'écouter.

— Brook, bordel répond moi ! C'est la merde ici, Hugo déraille grave il vraiment mal et....putain ou est tu ? S'il te plait rappel-moi c'est important. 

Sa voix est rempli d'angoisse, je le sent. Il dit qu'Hugo déraille, qu'il est mal, mais pourquoi il ne m'appel pas lui même dans ce cas ? Si Julian et moi lui manquons alors pourquoi il n'essai pas de prendre contact ? Je balance mon téléphone et me recroqueville sur le matelas. Je n'aurais jamais imaginé que ma vie puisse prendre un t'elle tournant en rencontrant Hugo. Sa n'a jamais été facile entre nous, mais nous avons toujours réussi à nous en sortir ensemble, la j'ai la sensation que tout part en éclat et sa me brise, sa me rend triste, mais peut être que c'est mon destin. Je ne me suis jamais imaginé devenir mère célibataire, mais j'assumerais j'y arriverais pour mon petit prince. Je ferrais tout pour lui et même si Hugo ne veux plus de lui, moi je serrais présente a chaque instant. Je ferme les yeux en s'entend la fatigue s'abattre sur moi dû à mes trop nombreuse nuit d'insomnie.