Chapitre 35

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Lui 

Cela fais plusieurs minutes de Brook est arrivé, elle salue plusieurs personnes, elle souris, elle discute, bref elle est heureuse. Et moi, je suis la comme à con à me demander pourquoi j'ai fais ce voyage jusqu'ici. Je ne pensais pas la retrouvé si épanouie et merde sa me fais grave chier qu'elle soit heureuse de cette façon sans moi, ça me rend complètement dingue ! Elle ne m'a pas encore aperçu, il faut dire que je prends soin de rester loin d'elle le plus possible. Je ne veux pas qu'elle me voie, pas maintenant en tout cas. Je reste donc dans ce coin à l'ombre à observer ce qui se déroule devant moi. Brook, discute maintenant avec son patron, le petit merdeux à lunette est partie je ne sais ou et temps mieux, juste à le voir j'ai envie de lui coller mon poing. Respire, Hugo, respire. Un type me bouscule, je lui lance un regard noir, celui-ci s'excuse avant de s'éloigné rapidement. Tien voilà cet hypocrite de Salva, avec son faux sourire. Merde ou est-elle passé ?  Elle étais là il y a une seconde et voilà qu'elle à disparue dans la foules. Je sort de ma cachette et cherche autour de moi, mais je ne la trouve nul part. Le bigleux aussi à disparue, coïncidence ou pas ? Je me précipite d'un pas rapide dans l'entrée, elle est là, elle monte les escaliers avec cette abrutie. Je les suis à distance pour ne pas me faire .

— Est-ce que tu est sûr ? demande le type.

— Mais oui, aller j'en est tellement envie ! Depuis que tu m'en à parler ce midi je ne pense qu'a ça.

Ma mâchoire se contracte et je dois prendre sur moi pour ne pas entré dans ce bureau et le démolir ce petit con. 

— Humm... c'est délicieux ! 

Les gémissements de Brook son le coup de grâce cette fois c'est trop, j'entre en trombe dans la pièce.

— Hugo ? s'étonne Brook une cuillère dans la main.

Merde, elle mange une part de gâteaux et ce petit con aussi. 

— Je peux savoir ce que vous faite tous les deux ? je gronde. 

Le merdeux se redresse le visage écarlate. 

— Euh, je vais vous laisser, dit-il en sortant aussi vite que possible. 

Brook le regarde partir, pose sa petite cuillère et me rejoins.

— Mais qu'est-ce que tu fais ici ? 

— Quoi ? Je te dérange peut-être ?

Elle fronce les sourcils.

— Attend, tu ne crois quand même pas que Léo et moi ? 

Je la regarde sans répondre et elle se met à éclaté de rire.

— Mais enfin Hugo s'est le stagiaire, il est amoureux d'une amie que je me suis fait ici et nous étions simplement en train de goûté un échantillon du gâteau d'anniversaire qu'il lui à commander. Nous voulons lui faire une surprise en lui offrant un petit gouter sympa demain. 

Et voilà, je me sens débile une nouvelle fois. Brook souris et pose ses bras sur mon torse. 

— Quoi qu'il en soit, je suis contente de te voir.

Je la serre aussitôt dans mes bras et enfouie la tête dans ses cheveux elle sent si bon.

— Tu ma manquer, soufflai-je. 

— Toi aussi. 

Ses mains glisse dans mon cou son visage se rapproche et nos lèvres se touche enfin, c'est si bon de la sentir près de moi de la toucher de l'embrasser. Sa langue caresse la mienne et le baiser se fais de plus en plus profond quand un crie strident retentie.  Nous nous écartons à bout de souffle, une femme nous regarde un doigt pointé dans notre direction.

— Bordel, Brook ! crie-t-elle. Et ton mari tu pense à lui ? 

— Calme toi Elisa...

— Que je me calme non, mais attend tu m'annonce vouloir rentré cher toi pour être près de ton mari et voilà que tu le trompe juste avant de partir, mais...

— Elisa ! Je te présente Hugo, mon mari.

La jeune femme ouvre grand la bouche puis pose sa mains sur celle-ci.

— Oh, merde. Pardon, je ne voulais pas...

— Ce n'est rien, souris Brook.

— Je vous laisse. 

Sur ses mots elle disparaît. 

— Je peux s'avoir qui est cette énergumène . 

— Cette fameuse amie dont je te parlais. 

Je hoche la tête, mais fronce les sourcils, Brook s'éloigne de moi et je me sens mal de ne plus la toucher.

— Tu ne m'a pas dit ce que tu étais venue faire ici ? demande-t-elle en s'asseyant sur un bureau.

— Tu veux la version officiel ? Je là pour représenté Crawford édition. 

— Et la vrais version c'est ? 

— Je suis venue pour toi et Julian.

Elle croise ses bras sur sa poitrine et ses yeux vert se plante dans les miens.

— C'étais inutile, comme viens de dire Elisa, je rentre à la maison.

Je devrais être heureux de l'entendre dire une chose pareil, mais quelque chose dans sa façon d'être me fais penser que ce n'est pas ce qu'elle veux réellement. 

— Pourquoi tu à changer d'avis ? 

Elle hausse les épaules.

— Je ne sais pas, tu n'a pas quelque chose à me dire ? 

Son ton accusateur me prend au dépourvue.  

— Non.

Elle ris amèrement.

— Arrête de me mentir, Hugo ! Je suis au courant pour la clinique, je sait que tu à été interné en psychiatrie. 

— Qui ta dit ça ? 

Je suis certain que c'est Raph !

— Ma mère.

Comment ça mère peut-elle savoir ça, ah oui Raph !

— Je suis sortie, je vais mieux.

Je ment, je ne vais pas bien, mais ici avec elle tout me paraît plus facile tout à coup. 

— Tu est sûr que ça va ? 

— Oui, dis-je en m'approchant. 

Je glisses mes mains autours de ses hanches et ses jambes entour ma taille. Je me baisse pour l'embrasser quand elle murmure contre mes lèvres.

— Et si on allais voir Julian ? 

— Je te suit ! 

Elle saute du bureau, saisit ma main et m'entraîne dans le couloir. Cette sensation de ses doigts entrelacé au miens m'avais énormément manqué. 

L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant