Chapitre 18

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Elle 

Hugo à pris la fuite durant notre dispute laissant la bombe qu'il m'a lancer en suspens. C'étais il y a deux jours et depuis, il n'est pas rentré cher nous. Ce matin nous avons enterré son père évidement les médias ce sont emparé de l'évènement. Il y avais tellement de monde, j'avais gardé une place au premier rang pour lui, juste à côté de moi, mais sans un regard dans ma direction, il s'est installé près de sa mère. Raph aussi s'emble m'en vouloir ainsi que Lexie d'ailleurs. Alors que tout le monde bois un verre en l'honneur de George dans le hall de l'entreprise familiale, je m'éclipse pour récupéré mon fils, ma mère a fait le déplacement pour le gardé le temps de la cérémonie. Hugo ne me demande même pas ou est Julian, on dirais que ça lui est complètement égale, alors à quoi bon resté. Sur le trottoirs,  j'appel un taxi d'un geste de la main tandis que les rafales de flash crépite autour de moi. Le suicide de George fais beaucoup de bruit et c'est compréhensible, il étais l'un des hommes les plus riche de la ville. 

Une voiture jaune s'arrête à ma hauteur, je m'engouffre dans le véhicule  aussitôt dans l'espoir de faire cessé ses flashs. Le chauffeur un jeune homme du trentaine d'année rempli de tatouage ce retourne vers moi. 

— Ou je vous déposé ? 

Je lui indique l'adresse de cher moi. Durant  le trajet, j'en profite pour regardé mon téléphone, aucun appel ni sms, preuve que je ne manque à personne. C'est décidé j'ai besoin d'espace, Hugo ne sait pas ce qu'il veux, je ne lui en veux pas vraiment, au fond il souffre et moi aussi. Seulement ses accusation sont trop dure. Quand je le regarde je ne voie plus celui que j'ai aimé. Est-ce que je l'aime encore ? Bien sur, cette question n'a même pas lieu d'être, mais j'aime celui qu'il étais avant pas cette homme froid et distant qu'il est devenue.  J'ouvre l'application de ma banque à distance et transfère un peu d'argent de notre compte courant sur mon compte personnel, juste de quoi faire le voyage et me reposé quelque semaines. Je veux reprendre ma vie loin d'ici, me reconstruire, faire un break, bref vivre. Je regarde les vols de dernière minutes, l'ile Maurice ? Non.  Miami ? Non. L'Espagne ? Pourquoi pas ! Après tout je parle couramment l'espagnole depuis le lycée,  et j'ai toujours rêvé d'y aller. C'est l'occasion de réalisé un rêve. Je  réserve mon billet, mais une fois le paiement accepté, je me sens coupable de partir comme ça. Prise de remord je fouille dans mon sac à la recherche d'une feuille. J'écris une lettre à Hugo, je la laisserais dans notre appartement de façon à ce qu'il ne s'inquiète pas. Le taxi s'arrête je lui donne un billet avant de descendre. Bon, je dois me dépêché maintenant de faire nos valise la vol décolle dans quatre heures. Il faut que je me débarrasse de ma mère rapidement, je n'est aucune envie de lui dire pour mon voyage, je lui enverrais un sms quand je serrais arrivé de cette façon, elle ne pourra pas me faire changer d'avis. J'ai besoin d'air et je suis convaincue que sa peux nous faire du bien à Hugo et moi d'être séparé quelques temps. Quand j'ouvre la porte, je tombe nez à nez avec ma mère, Julian est installer dans sa poussette et sourit en me voyant.

— Tu est déjà de retour ma chérie !

— Euh... oui tu c'est l'ambiance la bah...

Elle me fais un petit sourire compatissant en caressant mon bras.

— Je comprends, Julian et moi allions faire un petit tour, tu te joins à nous ? 

— Non, merci maman, mais je ne me sens pas d'aller ma balader, mais allez y profite de ton petit fils, dis-je en rentrant dans le salon.

— Bon, d'accord. On pourrais diner ensemble ce soir ? Je doit rentré à la maison seulement demain. Lexie à proposé que je dorme cher elle pour ne pas vous dérangé Hugo et toi.

— Je préfère me couché tôt, je mens.

Julian s'impatiente et commence à pleuré dans sa poussette.

— Tu devrais y aller.

Elle hoche la tête, mais ses yeux me scrute attentivement elle sent qu'il se passe quelque chose, mais ne dit rien et sort. Ok, j'ai un peu de temps pour préparé nos affaire. Une valise pour moi et une pour Julian ainsi qu'un sac pour le vol. Nous avons environs dix heures de vol et avec un bébé de cette âge sa risque d'être mouvementé, j'espère que sa balade avec ma mère l'aura fatigué et qu'il dormira pendant le trajet. 


Trois heure trente plus tard.


Julian et moi somme enfin installé sur notre siège. L'avion est presque vide, temps mieux Julian pourra pleuré sans que sa ne pose de problème. Le siège à côté de moi est vide parfait, je n'est aucune envie de discuté avec qui que ce soit. Comme je l'avais espéré mon bébé s'endort très rapidement, je le dépose dans son petit sac de couchage à mes pieds. Je trouve sa aberrant qu'il n'y est pas de siège pour bébé.  Enfin de toute façon nous devons faire avec. Je regarde distraitement un magazine tout en imaginant la réaction d'Hugo quand, il va découvrir que je suis partie.   J'espère qu'il ne serra pas trop fâché et qu'il comprendra ma décision. Qu'il comprendra que je fais sa pour nous. Notre couple est sur le point d'exploser, la distance ne peux nous faire que du bien, ou du moins je l'espère 

L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant