L'inconnu ma Grossesse et Moi

Chapitre 23

Elle.

J'ai enfin trouver mon rythme, enfin nous avons trouver, Julian et moi. Mon petit bébé adore la crèche, je dois avouer que c'est un gros soulagement pour moi de le voir s'épanouir autant. De plus depuis qu'il y va, je remarque qu'il fais d'avantage de progrès notamment au niveau de la motricité, il marche de mieux en mieux ! De plus Nathalie son auxiliaire puéricultrice à la chevelure couleur fauve est génial, je l'adore. Mon nouveau travaille me plaît beaucoup, je n'avais jamais réalisé à qu'elle point travailler me manquais, j'aime me sentir utile, déniché de nouveau talent, et puis sa m'aide à pensé à autre chose. Ce soir nous visitons un appartement juste à côté de mon bureau, ce serrais tellement plus pratique pour Julian et moi d'avoir notre cher nous. Je fais un dernier coucou à mon petit ange et monte les escaliers pour rejoindre mon petit sanctuaire. La porte du bureau d'Elisa est ouverte, elle me faire un signe de la main tout en parlant au téléphone. Je lui sourit et continue mon chemin. J'ai rencontré Elisa à la cafeteria, elle est nouvelle, elle aussi et nous avons toute suite sympathisé, nous mangeons ensemble tout les midis. Sa fille Aurore est la crèche avec Julian ce qui rapproche un peu plus. Elle ne pose pas vraiment de question sur ma vie et, je ne le lui en pose pas non plus sur la sienne, la seul chose que je sait c'est qu'elle à vingt-six ans qu'elle est maman d'une petite fille de deux ans et que son ex et donc le papa les abandonné pendant sa grossesse. Elle à donc déménager ici, pour être près de sa famille. Elle se rapproche de sa famille tandis que je fuit la mienne, mais on fond on n'est pas si différente l'une de l'autre. Je me stop net dans mes pensé en constatent que la porte de mon bureau est entre ouverte, les sourcils froncé, je pousse la porte et mon coeur rate un battement. Un homme se tient dos à moi et admire la vue. Ses larges épaules, son jean délaver, sa veste en cuir, je le reconnaîtrais entre mille. Mais que fait-il ici ? Comment m'a t'il retrouvé ? Je n'ai jamais répondu à ses appels et, je n'ai jamais dit à ma mère ou je me trouvais. En s'entend ma présence dans son dos Raph se retourne pour me faire face.

— Brook, souffle-t-il alors que j'ai envie de m'enfuir en courant. Je suis tellement contant de te voir. 

Il s'emble sincère, mais je ne peux pas en dire de même. J'ai toujours apprécier Raph bien sur c'est un peu comme un frère pour moi, mais il reste le frère d'Hugo et en ce moment, je n'ai pas envie de discuté avec les Crawford. 

— Qu'est-ce que tu fais ici ? 

Il est d'abord surpris par mon agressivité puis pousse un petit soupire. 

— Je suis venue te chercher, annonce-t-il les mains dans les poches.

Je ricane doucement.

— Pourquoi ? 

— Tu dois rentré ta petite escapade est fini, Hugo à besoin de toi. On à tous besoin de toi. 

Je secoue la tête et croise les bras.

— Tu n'importe quoi si Hugo avais besoin de moi, il serrais venue en personne. 

— Mais tu ne comprends pas dit-il en haussant le ton. Il ne peu pas venir bordel, il va mal ! De toute façon tu rentre avec moi ce n'es pas négociable. 

Cette fois je ris franchement, non mais pour qui il se prend à débarqué ici et me dire ce que je dois faire ?

— Franchement Raph tu ferrais mieux de partir, tu n'a rien à faire ici et tu est mal placer pour me dire ce que je dois faire et ou je dois aller. Pour ta gouverne j'ai un travaille ici, un appartement et je commence même à me faire des amies, il est hors de question que je parte. Si Hugo veux parler qu'il le fasse lui même. 

Il s'avance jusqu'à moi et me fixe droit dans les yeux. 

— Je ne t'ai jamais vue comme ça, dit-il. Tu à toujours été gentille et compatissante, pourquoi tu laisse tombé Hugo au moment ou il à le plus besoin de toi ? 

— Parce que lui n'étais pas là quand j'ai eu besoin d'aide. 

Raph continue de me scruter longuement dans le silence.

— Pourquoi tu ne répond pas à mes appels ? 

Je hausse les épaules, je ne sais pas vraiment pourquoi, peut être que j'ai peur, peur qu'il me fasse culpabilisé et que rentre par le première avion. 

— Je me sent bien ici Raph. J'essais de me reconstruire. Je n'empêche pas Hugo de m'appeler, il peux même venir voir Julian, jamais je ne me mettrais entre eux, seulement moi j'ai besoin de prendre mes distances avec lui. 

Raph rejette la tête en arrière en se pinçant l'arrête du nez. Puis son regard plonge de nouveau dans le miens.

— Je t'en supplie Brook, il n'y à que toi qui peux l'aider. Tu ne te rends pas compte, il souffre tellement. Il à besoin de toi.

— J'avais besoin de lui aussi, je lâche d'un ton implacable même si savoir qu'Hugo va mal me fend le coeur. 

Il hoche la tête visiblement déçu.

— Ok, comme tu veux. J'ai déposé une lettre sur ton bureau, c'est pour toi. 

Je l'interroge du regard, mais il ne dit rien de plus. 

— Est-ce que je peux voir mon neveu ? 

Je souris.

— Bien-sûr il est au rez de chausser à la crèche. 

— Je vais aller lui faire un bisous avant de rentré. 

J'acquiesce, il me fais un signe de tête puis s'éloigne vers la porte.

— Pour info, dit-il avant de sortir. Je suis à l'hôtel costa ballena jusqu'à demain, au cas ou tu change d'avis. 

 Je ne réponds pas et la porte se referme derrière lui. Une larme coule sur ma joue puis une deuxième suivis de plusieurs dizaines d'autre. Je sanglote quand je remarque la fameuse lettre, immédiatement je la saisit, mon coeur se serra quand je reconnait l'écriture de George.