Chapitre 36

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Elle 

Hugo et moi regardons notre fils dormir paisiblement dans les dortoirs de la crèche. Les auxiliaires puéricultrices sont génial, d'avoir accepté de travailler une samedi soir, sans elle je n'aurais pas pu assisté à la soirée. Mes yeux remonde sur mon mari à mes côté, son bras enroule ma taille et son sourire en dit long. Nous lui avons manqué. Mais cette séparation a été bénéfique, quelque chose à changer en lui, je ne s'aurais pas vraiment dire ce que c'est, mais il est différent. Nathalie nous rejoins doucement.

— Vous pouvez, retourné à la fête, je veille sur lui. 

— Merci, Nathalie. 

Hugo, lui fais un simple signe de tête et nous nous éloignons pour retourné dans le hall principal. Mon mari traîne les pieds visiblement mal à l'aise de voir Julian loin de nous. 

— Il viens ici chaque jours, il adore Nathalie, le rassurais-je. 

— Je suis surpris que tu est décidé de le faire garder finalement.

— Le fait que je puisse travailler à l'étage juste au dessus aide. 

Autour de nous les gens discutes, mange, boivent. Hugo et moi nous suivons le mouvement en prenant chacun une coupe de champagne. Je salue Elisa qui me fais de grand geste depuis le fond de la salle. Quand, je me retourne vers Hugo, je remarque qu'il me fixe un petit sourire aux lèvres.

— Quoi ? 

Il fais non de la tête et bois une petite gorgé. 

— Mais enfin, dit-moi ce qui te fais sourire. 

— Toi, souffle-t-il. 

Je pose une main sur ma hanche. 

— Je peux savoir pourquoi ? 

Son sourire s'élargie d'avantage.

— Tu à l'ai tellement épanouie, tellement plus heureuse ici. 

Je me sens mal, tout à coup devant cette constatation. 

— Je... j'essais d'avancer.

Je baisse les yeux honteuse, je me sens si mal d'aller bien alors que lui va si mal. Je culpabilise de commencer à aller mieux alors que je ne reverrais jamais ma fille et que George est... mort. Son index se pose sur mon menton et d'un mouvement doux, il remonte mon visage vers le siens.

— Ne t'en veux pas, Brook. Je trouve ça génial, je retrouve enfin celle que j'aime. 

— Je ne devrais pas aller, bien. 

Il fronce les sourcils. 

— C'est n'importe quoi ! Tu à assez souffert tu mérite, de connaître le bonheur.

— Mon bonheur est parfait, parce que tu est là, d'admet. Depuis que je suis arrivé je me sens comme incomplète, mais maintenant c'est parfait. 

Pour toute réponse, ses lèvres s'écrase sur les miennes. Je retient de justesse un gémissement et je le repousse doucement. Ses yeux brillent d'excitation, je n'ai qu'une envie passer des heures à l'embrasser, mais pas maintenant, pas ici.

—  Je vais te présenté, mon patron ! Et le reste on verra plus tard.

Je pivote sur moi même pour être face à Antonio qui passais justement devant nous.

— Antonio, je l'appel.

L'homme se retourne vers moi un verre à là main.

— Je vous présente mon mari, Hugo Crawford.

Mon boss serre la main d'Hugo.

— Enchanté, dit-il poliment.

— De même.

Mon patron fixe Hugo une seconde puis articule :

— Crawford comme Crawford édition ? 

Hugo acquiesce et les yeux d'Antonio s'élargisse. 

— Je suis vraiment très heureux de vous avoir parmi nous, j'admet vous avoir envoyé une invitation sans vraiment pensé vous rencontré un jour. Je ne vous est encore jamais vue à l'une de nos réception.

Hugo sourit.

— Il est vrais que mon frère et moi même, n'aimons pas vraiment les réceptions, mais je me suis que pour une fois, je pourrais faire un effort.

Il termine sa phrase en rivant ses yeux sur moi. Antonio se tourne également vers moi puis sur la main d'Hugo posé sur ma taille. 

— Je suis d'autant plus heureux que vous ayez fait le déplacement pour notre soirée. Je me sens flatté. Si vous avez besoin de quoi que ce soit surtout n'hésitez pas ! Je dois vous laisser, je n'est pas encore salué tout le monde, mais vraiment Hugo je suis heureux. 

— C'est gentil, merci Antonio.

Mon boss souris en s'éloignant, mais il se retourne plusieurs fois pour regardé Hugo comme si un ange étais apparue dans la pièce ce qui me fais rire.

— On dirais que tu fais de l'effet à mon patron. 

— T'en que ce n'es pas toi qui lui fais de l'effet ça me va. 

Je le regarde incrédule. 

— Quoi ? réplique-t-il. Je te rappel que tu à déjà couché avec ton supérieur. 

Je plisse les yeux tandis que ris tous seul de sa remarque. 

— Franchement ce n'es pas drôle du tout !

Il se penche et m'embrasse dans le cou en riant. 

— De toute façon, maintenant tu n'es plus mon patron n'est-ce pas ? 

— Techniquement, non pourquoi ? 

— On est donc libre de coucher ensemble. je déclare. 

Ses yeux s'assombrissent immédiatement, il avale sa coupe de champagne cul sec, m'arrange la mienne des mains et la dépose sur la table derrière nous avant de me tiré par la main dans un couloir obscure. Je le  suis t'en bien que mal, avec mes talons. Tout à coup, il s'arrête et je lui fonce dedans, il ouvre une porte au hasard et me pousse à l'intérieur de la pièce. Une fois à l'intérieur, il m'embrasse brutalement comme s'il ne pouvais plus attendre une seconde plus, avec son pied, il referme la porte et me plaque contre celle-ci. Cette fois je ne peux retenir mon gémissement, Hugo remonte ma robe sur mes hanches et me mordille l'épaule pendant que je m'affaire à enlever sa ceinture. Tout va très vite nos mouvement sont dans l'urgence, et quelque seconde plus tard, j'enroule mes jambes autour de lui et il pénètre en moi m'arrachent un crie de plaisir. 


L'inconnu ma Grossesse et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant