Xérès

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13 octobre 2022

Les garçons le regardèrent choqué par ce qu'il venait de dire, l'homme à qui cette phrase était adressée serait les poings on pouvait voir ses phalanges blanchir a vu d'oeil. Il avait la tête baissée vers le sol, ça machoir tellement contracter qu'on entendait ses dents grinçais puis il se dirigea rapidement vers lui et attrapa le col de sa chemise et lui cria.

- Attends tu te fous de nous la, c'est toi qui voulait qu'on la surveille pour qu'il lui arrive rien et la tu nous dit que t'aimerai bien qu'elle crève !

- Il a raison sur ce point la, je trouve que le surnom qu'elle te donne te va bien. T'es qu'un pauvre connard qui pense qu'a sa gueule. Venait les gars on s'en va, il n' en vaut pas la peine.

Trois des cinq garçons partent, deux prennent une voiture chacun tandis que l'autre prend une voiture.

- Ils ont raison, ta bien merdé sur ce cou mec.

- Tu viens Stan, il faut qu'on la retrouve au plus vite.

- J'arrive ! dit-il en montant dans une voiture.

J'étais maintenant seule avec lui, à mon plus grand malheur. Comment me sortir de là ? Je regarde autour de moi, je trouve une pierre je l'envoie à l'opposé de moi. Quand il entend le bruit, il se dirige vers la provenance du bruit, j'en profite pour sortir de ma cachette et partir. Mais dans ma précipitation je n'ai pas remarqué qu'il avait tourné la tête vers ma direction, je sentit sa main autour de mon cou, il me plaque violemment contre le mur le plus proche.

- Alors comme ça on était caché là, dit-il froidement.

Bordel ça fait mal, je veux bien qu'il soit en colère mais c'est de ça faute et non la mienne. Je n'ai rien demandé, surtout pas à me faire du mal.

-A cause de toi, je viens de m'embrouiller avec eux. Je suis sûr que de ta cachette tu devais te délecter de ce spectacle.

Mais de quoi il parle ? Je ne sais même pas qui sont ses personnes, d'habit il est toujours seul.

- Bordel parle ! Dit-il en serrant ça prises sur mon cou.

Pourtant me demande t il de parler ? Il à toujours détesté que je l'ouvre dans ses moment-là.

- Je t'ai dit d'ouvrir cette putain de bouche, comme tu aime si bien le faire d'habitude !

Essaye t'il de me tester ? Si je l'ouvre, il me le fera regretter car je n'ai pas respecté ses reg mais si je ne l'ouvre pas il va s'énerver et me le faire regretter. Quoi qu'il arrive, il passera ses nerfs sur moi. L'oxygène commence à se faire de plus en plus rare, ma vue commence à se troubler. Mais je ne dois rien montrer, sinon il me le fera payer.

- Ta choisi de ne pas l'ouvrir, et bien je vais te montrer ce qui se passe quand on ne m'obéit pas.

Il ne lâche pas sa prise qu'il a sur mon cou, et avance dans les couloirs. Quelque minutes plus tard nous arrivons devant une porte il l'ouvre et me balance dans cette pièce. Je dévale les escaliers, je retiens un crie de douleur quand je touche violemment le sol, je l'entends fermer la porte à clés. Il descend les escaliers, j'essaye de me relever mais il m'empêche en me donnant un coup dans le dos.

- T'a vraiment cru que j'allais te laisser te relever ? Rêve toujours, ta place est au sol t'elle la chienne que t'es.

"Non mon cœur tu reste au sol ça te fera réfléchir ou est ta place dans ce monde"

Je dois pas pleurer ou il s'énerveras encore plus, je ne dois pas non plus montrer que j'ai mal, aucune émotion ne doit apparaître sur mon visage ou il me fera regretter. Je l'entends s'approcher de moi, il tire mes cheveux encore une fois, aller tu peut le faire c'est pas bien compliquer tu la déjà fait un nombre incalculables de fois. Quand il ne voit aucune émotion sur mon visage, je peux voir de la surprise passée dans ses yeux le temps d'une seconde avant qu'il ne reprenne le contrôle sur ses émotions.

L'émeraude (réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant