Sebastian X T/p

Une idiote trop courageuse

Après avoir fini toutes les tâches que monsieur m’a confiées. Il est temps de partir retrouver l’assassin.

Je vais enfin pouvoir me faire ce Shinigami. Cependant, ça reste un dieu. Je ne pourrais pas le tuer. À part si monsieur m’en donne l’ordre.

Il me reste quelque chose à régler avant de partir. 

T/p.

Je suis sûr qu'elle est devant sa fenêtre en train d’essayer d’attendre que l’on parte pour nous suivre. Malheureusement pour elle, monsieur m’a donné l’ordre de faire en sorte qu’elle ne nous suive pas.

Il le soupçonne d’être complice de Jack l’éventreur. Personnellement je trouve cette supposition absurde. Une femme comme elle ne peut pas être complice de tels crime. Elle ne sait pas mentir, je l’aurais déjà deviné. Pourtant je suis obligé de l’empêcher de nous accompagner. Je ne me plains pas, au contraire ça m’arrange, elle n'aurait été qu’un poids en plus pour moi. Elle ne sait même pas se défendre. Je ne pourrais pas la protéger elle en plus de monsieur.

La protéger ? Depuis quand je pense une seule seconde à la protéger. Ça doit avoir un lien avec le fait que je ne l’ai toujours pas baiser comme elle le dit. Ça me frustre. J’en ai connu des femmes qui me résistaient mais elle c’est un cas à part entière.

J’ouvre discrètement la porte. J’avais raison. Elle attend devant sa fenêtre.

Sebastian : T/p, sort de là.

T/p : Pourquoi ?

Toujours à me contredire, qu’est ce qu’elle m’énerve.

Sebastian : J’ai besoin que tu sorte de ta chambre.

T/p : Si tu veux me parler, entre juste.

Entrer ? Elle joue avec le feu. Soudain ses yeux s'écarquillent et elle devient aussi rouge que son sang qui coule dans ses veines. Je peux entendre son coeur battre très rapidement. 

T/p : Euh, tout compte fait j’arrive.

En la connaissant elle a dû penser à des choses perverse. Elle s'est rendu compte qu’elle aurait eu du mal à me résister si nous étions seuls dans une chambre.

La voilà devant moi. Quel homme pourait résister à une femme ? Si je le voulais, j'aurais eu le temps de la plaquer contre le mur, de lui chuchoter à l’oreille quelque chose de subtile mais assez fort pour qu’elle comprenne et l’emmener dans la chambre pour la voir nu et sans aucun contrôle sur son corps. 

Mais elle ne se laissera jamais faire aussi facilement. Tant pis.

Je m’approche d’elle.

Sebastian : Tu ne pourras pas venir.

T/p : Quoi ?! Pourquoi ?

Elle ne se rend même pas compte que je ne lui ai jamais parlé de où nous allons et pourtant elle réagit comme si elle savait déjà tout. Madame,”je sais tout” est de retour parmi nous.

Sebastian : Monsieur te l'interdit.

T/p : Sebastian, s’il te plait je dois venir ! C’est une question de vie ou de mort.

Comme je m’en doutais, elle ne va pas lâcher aussi facilement. Je n’ai pas le temps pour ces caprices je vais devoir faire une chose que je n’avais pas envie de faire.

Sebastian : Pour les maux de tête au réveil tu auras le droit de m’en vouloir.

T/p : Comment ç…

Elle tombe dans mes bras. J’ai frappé sa nuque assez fort pour l’endormir mais pas pour la tuer. Je vérifie quand même son poul. Tout est intact. Je la porte. Elle est si fragile. Quand elle dort elle est si insouciante qu'on dirait que tout son stress a disparu. Je me demande ce qui la rend aussi nerveuse.

Je la pose délicatement dans son lit. Je voudrais bien la regarder encore un peu mais le devoir m'appelle. Monsieur dois m’attendre.

Ciel : Tout est prêt.

Sebastian : Oui monsieur.

Ciel : Il est temps d’arrêter Jack l’éventreur.

PDV T/p :

Mon lit. Je l’aime tellement ça fait du bien de pouvoir se reposer. D’ailleurs, je ne me souviens pas d’être rentré dans mon lit hier.

Merde ! Je me m’assois d’un coup. Ma tête se met à tourner légèrement. L’enfoiré ! Il m’a fait ça ? Je le déteste.

Je me lève et cours dans toute la demeure.

T/p : Il y a quelqu’un ?!

Putain ! Je ne connais pas la ville. Seulement la ruelle dans laquelle ils sont. Je cherche la seule personne qui pourrait savoir où ils se trouvent exactement. Lorsque je me rends dans une salle de billard, je le trouve enfin !

T/p : Lau !

Lau : Tiens, je pensais que tu était parti avec monsieur.

T/p : Non, enfin si. Ce n’est pas le moment ! Dis-moi où ils sont exactement. Dans quelle rue et dans quel quartier ils sont !

Lau me dit la rue. Je cours à l'extérieur de la maison et sans m’arrêter je tourne à droite. À moins que cette rue soit à gauche. Pourquoi faut-il que j’ai un sens de l’orientation aussi merdique !

Je demande aux passants et certains me répondent avec la plus grande gentillesse du monde. Des amours ces gens, sauf que d'autres ne daignent même pas me regarder.

J’arrive vers des ruelles sombres, ça commence à ressembler à la rue sombre de l'anime. J’entend des voix. Et une tronçonneuse. Non ! Pas ça !

Quand je tourne je tourne j’aperçois Madame Red en train de pleurer devant Ciel et Sebastian l’épaule à moitié trancher.

J'accours en passant à côté de Grell, mais je n’en ai rien à faire.

T/p : Sebastian ! Ça va ?

Sebastian surpris de me voir. Détourne le regard. Trop tard j’ai aperçu tes yeux de démon mon cher mais je vais faire semblant de n’avoir rien vu.

T/p : Monsieur, que s'est-il passé ?

Ciel : Qu’est ce que tu fais ici T/p ?! Si je t'interdit de sortir du manoir c’est pour une bonne raison !

Grell : Sebastian, à sacrifier son bras pour sauver son maître. Par contre vous, vous ne méritez pas de porter du rouge.

Grell s’avance tronçonneuse allumer.

T/p : Madame Red !

Je me mets devant elle et c'est inattendu. C’est moi qui me prend la lame dans le dos. Le regard de Sebastian ne trompe pas. Il voulait dire : Espèce d’idiote ! Pourquoi as-tu fait ça ?

J’aperçois une sorte de film. Alors même sur moi ça marche…

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Alors ? Qu’a-t-il dans la lanterne cinématique de T/p ?

Question : Vous préférez que je sois régulière (un chapitre toutes les semaines ou 2 fois par semaine) ou que je continue à poster dès que je fini d’écrire ?

En sachant que je sort beaucoup de chapitres lorsque j’ai le temps mais quand je n’en ai pas, ça va être compliqué. Vous pouvez vous retrouver sans rien pendant deux semaines voir plus.

Comme vous le voulez.