L'hiver est plus froid sans toi

14. Lui et uniquement lui

Sur le chemin du retour un silence de mort régné dans la voiture, même une mouche n'oserait pas volée. Serrant ses doigts sur le volant, il appuya sur la pédale d'accélération, on atteint les 270Km/h en un espace de secondes. Je déteste la vitesse punaise, j'ai envie de vomir. Le paysage défiler trop rapidement pour moi, ça commence à tourner la
-Alors comme ça tu m'aimes ? Il coupa le silence avec une question pour laquelle je voulais vraiment pas répondre. Car je n'es moi même, pas la réponse.
-Disons que c'était plutôt un choix de parole, répondais-je sans trop d'élément. Je compte fortement alléger ma peine de mort, car le canapé m'attendais... non j'avais pas nettoyé c'est impossible..
-Tu veux dire que tu m'a dis ça pour me stopper ? Commença t'il a dire en haussant le ton. L'ignorance ? La meilleure des réponses. Je savais qu'on était plus qu'à 2min de la maison, je devais juste tenir ce silence qui me rendait mal à l'aise. A peine arrivée, j'ai pris mes jambes à mon cou et je fila fort m'enfermer dans ma chambre.
-Oh putain... YLIANA PUTAIN MON CANAPÉ !!! Hurla t'il.
Allons à la douche hein, c'est bien ça. Après cela j'irais lire ça me fera du bien.

Tout était calme dans la maison (chose suspect venant de la part d'Aaron), je venais de finir mon livre qui était tellement parfait ! Après avoir envoyé un message à mes parents en leur disant qu'au Maldives il fessait chaud et que tout allait bien. Je m'allongée pour m'endormir, mais certain en ont décider autrement. La porte de ma chambre s'ouvrît lentement, je sentais le One million de paco rabanne, signe que monsieur costaud était dans la chambre.
-Sors de la, je veux dormir. Dis-je à moitié dans les vapes.
-Pas avant que j'ai eu mes réponses.
Eh ? Quelles réponses ?
Il s'approcha de mon lit, me pris sur ses jambes, me retrouvant sur lui. Je pouvais sentir sous mes mains, son corps nu et chaud. Ses cheveux humides, ses lèvres douces viennent trouvées mon cou. M'embrassant le cou, nos corps se rapprocha de plus en plus jusqu'à se coller. Son souffle devenait si lourd et le mien accéléré. Une tension s'installa, et le désir nous dévora. Nos lèvres brûlèrent d'envie, ses mains me touchées la poitrine pendant que moi je le pousser sur le lit.
-Alors est ce que tu m'aimes réellement Yliana jones ? Me demanda t'il le souffle coupé.
Qu'est ce que je pouvais aimer quand il m'appelait ainsi. Ma tête tourner tellement car je me retenais, je voulais le consumer, je voulais que nos corps se touche. Je le voulais lui et uniquement lui.
-Non, dis-je le souffle court.
D'un coup de bassin il me retourna, et me porta. Il se dirigea vers ma coiffeuse, il jeta tout de cette dernière et me déposa dessus. Il commença à passer près de mon entre jambe, m'embrassant avec passion, nos corps se collèrent encore plus.
-Je répète ma question, est ce que tu m'aimes réellement Yliana Jones ?