-Je suis le gamin que tu aimais pendant ton enfance... là règle du silence, ton rire communicatif, et ton cadeau en forme de coeur pour la st Valentin. J'ai tout gardé et je me souviens de tout.
-Pourquoi tu me l'a jamais dit putain ! Dis-je en me levant de colère. Mes chiens commencent à aboyer fortement
Comment j'ai pu passer à côté, lui mon amour d'enfance, qu'est ce que je raconte c'est mon premier amour. La pression commença à me prendre la gorge, tout tourner autour de moi. Ce n'est pas possible que je puisse continuer à vivre avec lui, cet homme horriblement beau mais menteur !
-Yli écoute je..
-Ferme la ! Tu te souviens de la règle du silence !? Parfait applique là jusqu'à nouvel ordre, dis-je en le fixant de déception.
La règle du silence ? Une règle stupide que j'avais inventé étant petite, elle a pour but à ne plus lui parler quand je boudais et lui aussi pouvait plus rien me dire.
-Ça m'énerve fortement ta règle putain !
Je commençais à partir vers ma chambre les larmes aux yeux, qu'il me rattrapa par les poignets.
-J'ai d'autre façon de te faire crier, souffla t'il doucement dans mon oreille. Tout est de ma faute j'en suis conscients putain.
Je partais en lui tournant le dos, j'atteignis le palier de ma chambre.
-Eh puis merde putain !
Sans que je puisse m'y attendre il plaqua ses lèvres contre les miennes, ça me fessait l'effet d'une décharge électrique. Aaron ce putain de costaud était en train de m'embrassait.
Au bout d'un moment je réalisais la situation, que mes mains était déjà sur son torse nu. Par surprise je tentais de le repousser, mais ça le rendu encore plus fort dans son emprise. D'une main il renferma son emprise sur moi, il attrapa mes poignets qu'il remonta au dessus de ma tête d'une vitesse qu'un frisson me parcourra tout le corps. De ses lèvres affamées il me dévora les miennes en passant par mon cou. Il tira doucement ma lèvre inférieure et la mordilla, c'est comme si il demander l'accès à ma bouche. Son souffle était si lourd, en saccadée il se mélangea au mien.Il n'a plus aucun contrôl sur lui même, ses gestes dépassaient son esprit, ses pensées. Mon corps lui tremblait de plaisir, il était secoué d'envie, d'émotions, qui pour le coup que je ne maîtrise pas non plus. Pour la première fois ce n'étais pas la peur qui me faisait trembler mais bien l'envie de lui.
-Putain ! Aide moi bordel... j'en ai besoin, j'ai besoin de toi.. Mon coeur s'emballa à sa phrase.
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L'hiver est plus froid sans toi
AcciónMoi, c'est Yliana Jones. Je suis une fille normale, insociable, je vis ma vie uniquement avec ma meilleure amie Léa. A la fin de l'année scolaire je dois déménager de New York à Los Angeles, pour la cause que mon père a était muté soudainement là b...