3 : Le cauchemar d'Aïla 😘❤️

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Il est 21h30.

-Moi : Je vais aller dormir. Bonne nuit à vous.

-Ariad : Moi aussi.

-Armed : Moi, je dois jeter un coup d'œil à mes dossiers avant d'aller dormir. Sinon, bonne nuit à vous.

-Moi : Merci, pareillement.

-Ariad : Merci, pareillement.

-Armed : Merci, bye.

Je monte dans ma chambre, puis je me jette directement sur mon lit... Dans les bras de Morphée.

-Moi : S'il vous plaît, ne me laissez pas, je vous en supplie, maman, papa, ne m'abandonnez pas seule !

-Maman : Ne m'appelle pas ta mère. Tais-toi.

-Papa : Tu es comme une malédiction à nos yeux. Mieux vaut qu'on te laisse ici.

-Moi : *en pleurant toutes les larmes de mon corps* S'il vous plaît, non, ne me laissez pas seule, je vous en supplie.

Oh, non, je me réveille brusquement, les larmes aux yeux. Je viens encore de faire un cauchemar sur mon passé, merde. Cela me rappelle tout ce que j'ai vécu. Je me mets à pleurer... Pourquoi fallait-il que cela m'arrive à moi, mon Dieu ? Qu'est-ce que j'avais fait pour le mériter ? Je pleure...

Qu'est-ce que j'avais fait pour le mériter ? Je pleure 😭😭

-Moi : Vraiment, j'ai mal.

Du coup, j'entends quelqu'un toquer à ma porte. Je crois que quelqu'un m'a entendu pleurer.

-Moi : Entrez.

Je vois Ariad qui entre. Quand il voit mes larmes, son visage se décompose. Il vient vers moi et s'assoit à côté de moi sur le lit.

-Ariad : Qu'est-ce qu'il y a, Aïla ? Vas-y, dis-moi.

-Moi : J'ai encore fait un cauchemar, Ariad. *En pleurant toujours* J'en ai assez.

Je me jette dans ses bras, il me serre contre lui pour me réconforter. Ses bras sont un refuge chaleureux, un havre de paix au milieu de la tempête de mes émotions.

-Ariad : Ne t'inquiète pas, Aïla. Ça va aller.

Il est très doué pour me réconforter. Il n'est pas seulement comme un frère pour moi, mais aussi comme mon meilleur ami. Je lui raconte presque tout, même mes peurs les plus profondes et mes rêves les plus fous.

-Moi : Non, Ariad, je suis fatiguée de tout ça. *En pleurant*

-Ariad : Calme-toi, calme-toi.

Plus le temps passe, plus je commence à me calmer. Je cesse de pleurer. Maintenant, je crois que ça va mieux. La présence apaisante d'Ariad est un baume pour mon cœur meurtri.

-Moi : Merci beaucoup, Ariad. *En le serrant fort contre moi*

Après, on se détache. Il essuie doucement mes larmes avec la tendresse d'un frère aimant.

Le Destin D'Aïla 💞💕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant