CHAPTER VII

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     Nous arrivons dans une allée rempli d'arbre, plusieurs hommes femmes et enfants passent près de la voiture tous habillé d'une façon très étrange, arriver au bout du chemin, Klaus s'arrête, nous sortons tous les trois, des enfants courent un peu partout.

— Putain de merde, Klaus était Amish ! s'exclame Five.

— Ça explique beaucoup de chose.

— Comment ça ? Je demande.

— Mais si, regarde ! Regarde autour de toi ! C'est tout ce qui m'a manqué !

— Attend Klaus ! Five se rapproche de lui ; Ton double est peut-être pas loin. Tu ressens rien de particulier ? lui demande t-il. Démangeaisons, sueurs, gaz, ce genre de chose ?

    Il parle de la psychose du paradoxe, j'avais pas compris le temps que ça monte dans mon cerveau aussi, des hommes barbus passent à côté de moi, un en particulier me regarder étrangement mais je n'y fit pas attention.

— Non, je me sens bien. À part mes rougeurs sur le paquet mais ça, je peux rien y faire.

    Je fronce les sourcils, c'est bizarre cette réponse, j'aurai voulu rien savoir, Klaus commence à partir.

— OK, bonne chance, encourage Five.

— Quoi ? Vous venez pas avec moi ? demande t-il d'un air triste.

— Pour le coup, t'es tout seul.

— T'es sûr Five ? Faudrait pas qu'on l'aide un peu ?

— Ne t'inquiètes pas pour moi Kara, je pense y arriver, je vais y arriver.

     Je lui souris pour l'encourager avant qu'il se retourne puis partir tout seul, ce qui me rend un peu triste.

— Pourquoi tu voulais pas qu'on l'aide, il a l'air triste ! je m'exclame un peu trop fort puisque des femmes se retournent vers moi.

     Il me prit par le bras en marchant vite, je peine à suivre avec lui, on est à côté de la voiture afin d'éviter que tout les Amish nous entende je suppose.

— On doit parler de ce qui c'est passé avec le poteau.

— Pourquoi ? Il y a rien à expliquer. Je comprend pas.

— Je sais pas comment te dire ça mais je pense que tu as des pouvoirs, avoue t-il.

    Je le regarde avant d'exploser de rire jusqu'à me tenir le ventre. C'est la meilleure celle là.

— Y a quoi de drôle dans ce que j'ai dis ?

— Moi ( je me pointe du doigt ) avec des pouvoirs... Hilarant !

— Écoute moi ( Il prit mes épaules de ses deux mains ), je vois bien qu'à chaque fois qui se passe quelque chose tu es dans tes pensées, comme tout à l'heure tu étais dans tes pensées et toutes ces pensées te fait sentir un sentiment fort qui grandit, grandit jusqu'à éclaté comme pour se poteau, tu as le pouvoir de l'électricité. Toutes t'es surplus de pensée te font passer des sensations forte et se transforme en énergie électrique ce qui provoquerait ce genre de dégât et quand tu cesse cette sensation forte l'énergie disparaît. Tu serais comme nous, tu es née quand ?

— Le premier octobre, mais et pour le bruit aigu alors ?

— Nous sommes tous né le même jour, et pour le bruit cela doit être une énergie électrique puissante qui te fait perdre le contrôle, mais d'où elle vient ça je ne sais pas.

— Ce n'est pas possible, mes parents me l'aurais dit.

— Justement, ils te l'auraient pas dit parce que cette énergie peut être dangereuse voir destructive si l'on réagi mal, on que l'on maîtrise pas.

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