CHAPTER III

865 38 4
                                    

    On se retrouve devant un genre d'hôtel vieillot, j'arrive à lire dessus "Hôtel Obsidian", cet endroit m'inspire pas confiance mais bon on verra bien, les frères et sœurs parte dans une des portes qui tournent et moi je pris la deuxième, en rentrant dedans putain ça sent plutôt le vieux, une musique de jazz résonne dans les enceintes de l'établissement, et des râles aussi sûrement des frères et sœurs.

— Arrêtez de me foutre des coups, se plaint Luther.

    Luther passe en premier suivit ensuite de ces frères et sœurs, les gens de l'hôte nous regardent encore plus bizarrement qu'avant et des murmures se fit entendre sûrement pour nous jugés.

— Y a deux entrée pour info.

— Oh, Hôtel Obsidian. Tu m'as manqué, espèce de vieille salope ! s'exclame Klaus.

    Je me retourne et le regarde bizarrement, ouais en terme de discrétion peut mieux faire.

— Imprégnez-vous. Accueillez-la dans votre petit cœur. Pendant son âge d'or, elle a abrité des dirigeants mondiaux. Roosevelt, Gandhi, Staline, Gorbatchev, Castro, Olav V, le roi de Norvège, un des Kim Jong, Tito, le Dalaï-lama, Elvis, et non pas une mais deux Kardashian à ce qu'il paraît, récite t-il.

    Allison parti vers les cabines téléphoniques.

— Aujourd'hui, elle n'est plus qu'un hôtel sordide, une vulgaire salle des fêtes où viennent les âmes désireuse de ne pas être jugées selon les règles et normes de la société.

— La planque idéal, raccourcis Luther.

— Oui, elle est parfaite. Et elle veillera sur nous sans que personne nous demande rien de tout le séjour. C'est cool hein ?

    Il fait plus flipper qu'autre chose cette endroit, pire que dans les films d'horreur, je me sens mal à l'aise ici.

     On se dirige vers l'accueil, un petit bouledogue assis sur un petit cousin, il est trop mignon ! Klaus appui sur la sonnette ce qui fait un peu peur au chien, le pauvre ! Je caresse sa petite tête avec Luther et Diego. Un homme de la cinquantaine d'années arrive avec l'uniforme de l'hôte.

— Chet ! Mon frère ! Ça me fait plaisir de te voir. La même suite que d'habitude, por favor.

— C'est la première fois de ma vie que je vous vois, rétorque l'homme.

— Discrétion assurée, nous murmure Klaus.

     Le chien lâche un petit gémissement trop mignon, je fond, mes parents ont jamais voulu d'animaux de compagnie. On peut avoir quoi en échange de ça ?

— Arrêtez de faire peur à mon chien.

     J'arrête tous mes faits et gestes et me redresse lâchant pas le petit chien du regard.

— Il nous faudrait des chambres.

— Superbe. Puis-je savoir comment vous comptez régler ?

     Il sorti une pancarte inscrit dessus " Réglez à l'arrivée " en majuscule qui pose devant le petit chien.

— Ah...euh... Tout le monde vide ses poches.

    Je cherche dans mes poches de mon pantalon cargo gris, et trouve rien même pas mon téléphone bordel il a du tomber quand le portail m'a aspiré.

    Je regarde par terre et vis un truc scintiller au sol, je m'accroupis pour l'attraper mais Five l'avait vu aussi, c'est une pièce, merde je me dépêche de la prendre et lui pareil, nos deux mains se touchent, je la retire en oubliant de prendre la pièce, d'un sourire narquois, il l'a prit mais j'essaie de lui reprendre.

Apocalyptic LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant