CHAPTER VIII

788 29 0
                                    

     Five remet ces cheveux bruns à la normal, en s'asseyant dans la voiture, puis le même bruit aigu parvient à mes oreilles, je souffle en essayant de pas y penser mais elle me fait toujours autant mal à la tête près à me transpercer le crâne. Mon nez se remet à couler du sang mais beaucoup plus, je stoppe le saignement du revers de ma main.

— C'était quoi ça ? demande Five en sortant de la voiture qui avait bouger.

-—C'est le bruit dont je te parle. Et pourquoi y a plus de vache dans ce champs ?

— Putain, c'est mauvais signe.

— Je le savais, je le sentais pas.

      Five prit le marqueur rouge et commence une série de calculs sur la carrosserie de la voiture, on va dire quoi non à l'accueil pour ça ? Five ça va pas. J'essaie de comprendre ce qu'il écrit mais c'est des maths, je suis une grosse merde en math vaux mieux pas que je comprenne.

— Five ! Kara ! Démarrez ! s'écrie Klaus.

     Je le vois courir dans le champs où des hommes avec des fourches couraient après lui.

— Démarrez la caisse ! cri t-il.

—  Five, vite, monte dans la voiture ! Je m'exclame.

— Pourquoi t'énerves toujours les gens ? demande Five en asseyant à l'avant.

— Je sais pas, j'ai fait un effort !

— Attendez ! Attendez ! s'écrie la boix d'une femme.

      Bordel qu'est qu'il fait, les Amish arrivent là !

— Klaus monte dépêche toi !

— Klaus c'est maintenant ou jamais !

     Klaus monte enfin avec une sorte de livre dans les bras, Five démarre en trombe, pour échapper aux Amish.

— Cette ligne temporelle déconne complètement. Ma mère est morte avant même que je sois venu au monde ! s'exclame Klaus.

    Five freine d'un seul coup, me projetant à l'avant, merci petit ceinture bordel Five veut vraiment nous tuer ou quoi !

— Qu'est que tu viens de dire ?

    C'est la merde, je l'avais dit d'ailleurs.

☂︎☂︎☂︎☂︎

    On rentre de nouveau à l'hôtel, bon ce petit séjour à été plus court que ce que j'avais imaginé, et on a un tas de problème à régler avec leurs mères biologiques, des trucs dont je comprends rien. Five marche beaucoup trop vite, j'ai mal aux jambes, nous retrouvons vers le bar où il y avait Allison, Viktor et Diego.

— S'il vous plaît approchez ! demande Five. Où est... Où est Luther ? 

— Je l'ai pas vu.

— Personne sait où il est ? OK, tant pis. On a un problème plus important à gérer.

      Il ouvre le livre où contenait des photos, des bouts de journal arrachés, toute sorte d'information en papier.

— C'est qui ? demande Viktor en regardant plusieurs photos de femme.

— Ce sont nos mères, elles sont toutes mortes, et elles sont toute mortes le même jours le premier octobre mille-neuf-cent-quatre-vingt-neuf.

     Il tourne les pages, où Klaus montre la sienne en expliquant qu'il a les même yeux fin bref, Five tourne l'autre page, je reconnais cette photo, c'est ma mère, qu'est qu'elle fait dans ce journal ?

Apocalyptic LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant