CHAPTER XIII

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    On attend finalement Viktor et Harlan pour descendre, les garçon toujours entrain de boire. Diego et Lila sont parti depuis un moment, par ennui j'avais pris une cuillère et essayer de la tenir debout sur mon nez, c'est débile mais je m'ennuie donc j'ai trouvée que cette idée pour garder mes esprits.

— Viktor, appelle Five. C'est l'heure. Où est Harlan ?

     Je tourne la tête et Viktor se trouvais au milieu du hall sans Harlan, je l'avais dit que j'avais un mauvais pressentiment, Viktor a faut un coup en douce pour pas donner Harlan aux Sparrow au même temps ses personnes sont pas fiable du tout.

— Il est parti, avoue Viktor.

— Avec ta permission, je présume, dis-je.

— Si Harlan meurt, ça n'arrêtera pas le Kugelblitz. Ce sera jamais qu'une tragédie de plus, et je suis sûr que je peux trouver une autre façon de faire.

— Toutes mes félicitations, Viktor. À toi seul, t'as réussi à tout détruire. Encore.

— J'ai surestimé ton intelligence, fini par dire Five.

     Le regard de Viktor devient triste, j'ai de la peine pour lui, je sais pas trop quoi en penser de cette histoire de qui faut tuer pour arrêter cette boule de lumière, je veux pas trop me mêler à leur problème de famille, mais je suis sûre d'une chose c'est que Viktor peut importe son choix, ne devrait pas être humilier de cette façon, même entre frères ça se dit pas. Ils ont de la chance encore d'avoir une famille tous, même si elle est tordu.

    Je trouve qu'il n'y a pas assez de compréhension dans cette fratrie, je suis entrain de faure ma psychologue moi, je n'ai pas à me mêler de ça.

     Five et Klaus commencent à boire, pour changer, avant que Five ne parle  de son vieux lui mort. C'est super leur discussion quand même. Jusqu'à ce qu'il pose la peau de son vieux lui sur le comptoir, c'est quel genre de personnes à faire ça !

— C'est un morceau de toi, ça ? demande Klaus en touchant la peau.

     C'est dégoûtant ! Comment peut-il touché ce bout de peau, en plus y a du sang séché autour.

— Plutôt crever que d'être enterré avec ce tatouage de merde.

— Si tu veux pas finir comme ce mec, fais quelque chose de complètement différent. Barre-toi dans le nord pour devenir éleveur d'alpagas et tu peux le faire avec Kara, dit-il en rigolant.

— Ouais, c'est une idée. Le cour du temps est malléable, on en a la preuve. Je pourrais essayer de briser le cycle.

— Éloigne tes bras et autres extrémités des objets contondants et n'entre pas dans les Mères de l'agonie.

     Le nom donne envie de pas du tout y aller, je préfère mourir que d'y aller enfaite. Y a des gens vraiment bizarre dans ce monde, fin, leur monde. Je ne sais pas quel est mon monde.

— Quoi ?

— Le tatouage. C'est le symbole du gang de bikers les Mères de l'agonie.

— Tu les connais ? je demande.

—  Y a quoi, deux époques en arrière, c'était eux mes...comment dire...mes farmacistas.

Merci Klaus, Kara.

     Je lève à peine la tête que je senti plus le sol sous mes pieds. C'est pas vrai, il vient vraiment de me téléporter encore une fois, il en a pas marre ? On rejoint enfin la terre ferme.

— On est où ? je demande.

— Au club dont Klaus vient de parler.

— Sérieusement ! Pourquoi tu m'as fait venir ! Je m'exclame.

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