Je me sens un peu sonner et j'ai froid aussi, ma tête tourne, j'ai l'impression de me noyer alors que je suis sur la terre ferme, la sensation la plus bizarre de ma vie.
— Kara ! s'exclament deux voix au loin.
Je sens quelqu'un me redresser, une main sur mon dos et un sur ma joue. Je cligne plusieurs fois des yeux afin de voir plus nettement et la tête de Five apparaît en face de moi, ainsi que celle de Lila.
— J'aurai du te laisser à l'hôtel, ton pouvoir t'a beaucoup trop épuisée.
— Non, non, ça va aller.
Five m'aide à me relever, et mes yeux voient enfin le paysage, qu'est que c'est que cette merde ? Ou est où là, je regrette tellement mon top à ce moment là. De la neige partout au moins j'en vois, c'est rare maintenant d'en avoir mais je suis pas assez couverte pour. Je me tiens mes bras en les frottant pour redonner de la chaleur.
— Putain de nous a fait peur Kara.
— C'est bon, c'est rien, je vais bien.
— Pourtant ton nez saigne beaucoup, avoue Lila.
J'enlève le sang qui coulait, à oui c'est vrai que je saigne énormément.
— On est où enfaite ?
— La Commission, répond Five.
Je regarde le bâtiment couvert de glace, on se dépêche de rentrée à l'intérieur mais plus de débris si trouver que d'humain, qu'est qui c'est passé ici ? Il fait toujours aussi froid, bordel au moins Lila a prit la peine de prendre une veste. Je senti une chaleur chaude sur mes épaules et un parfum de vanille.
— Garde ma veste, tu vas être malade sinon.
— Mais et toi ? je demande.
— J'ai ma chemise plus mon veston, que toi avec ton top sans manche tu risques d'attraper encore plus froid.
Je le remercie en mettant mes bras à l'intérieur, sa veste est bien sur dix fois trop grande pour moi, je savais pas que Five sentais aussi bon parcontre, avant d'avancer vers l'escalier principal, tout est détruit, des briques traînent un peu partout.
— C'est quoi, cette histoire ? Ça fait si longtemps que ça ?
— Le paradoxe du grand-père a tout contaminé. Même les endroits hors du temps.
— C'est possible ça ?
— J'ai arrêté de savoir ce qui était possible ou non.
Je marche devant avant qu'un bruit résonne avant que des débris tombent, la main de Five m'agrippe le bras et me ramène contre lui, mes joues chauffent encore, bordel, qu'est que j'ai moi !?
— On devrait pas rester là. Je vais voir le standard perpétuel.
— Et moi et Kara, le bureau de Herb. Ce cafard survivrait à n'importe quoi.
— Non, Kara vient avec moi, contredit Five.
— Pourquoi ? Je l'as connais depuis longtemps.
— Tu vas lui mettre tes sales idées dans la tête, et je dois lui parler de ses pouvoirs.
— D'accord, cède Lila ; Bye les amoureux !
— Lila ! nous exclamons en même temps Five et moi.
Je suis Five qui monte les escaliers pour aller à l'étage.
— Tu vas me manquer Kara !
— Toi aussi Lila ! je lui répond.
— Vous êtes bizarre.
— On est amies c'est pas pareil, dis-je en allant dans le couloir.
— Enfaite, je suis désolé pour tout à l'heure avec tes pouvoirs, j'aurai pas dû t'embarquer là dedans.
— C'est pas grave Five, c'est seulement que mon souvenir était bizarre ce qui a dû m'épuiser d'avantage.
— Comment ça ? demande t-il.
— J'étais entrain de jouer dehors comme n'importe quel enfant, quand mon père m'a ramené de force chez moi, je me rappelle de ce souvenir puis ça à dégénéré.
— Comment ça "dégénéré" ?
— Mon père était quelqu'un de violent mais quand dans mon souvenir il m'avais prit la gorge pour m'étrangler j'ai vu dans son regard quelque chose de changer, il n'avais jamais eu ce regard même dans son vivant, et il arrêté pas de me répéter que c'était de sa faute si il était mort mais il parlais pas de la sienne mais je crois celui de l'homme qui l'a tué. C'était déroutant.
Je vois le regard de Five changé, il me trouve bizarre ? Il je croit pas ej ce que je viens de lui dire ? J'ai peur de sa réaction.
— Désolée, tu dois trouver ça étrange...
— Non, non, c'est juste que en effet c'est déroutant, pourquoi ton père aurai dit ça ?
— Aucune idée, peut-être qu'il connaissait son assassin ? Peut-être quelqu'un qui travaillais pour la Commission ? En tout cas, je trouve ça injuste ce massacre même si mes parents n'étaient presque jamais là, je les aimaient quand même malgré leur défaut...
Je me rend pas compte que des larmes étaient sortis de mes yeux, je les balayent d'un revers de la main.
— Fin bref, on a pas le temps pour les histoire de famille. Tien, la salle du standard perpétuel.
Je montre du doigt la salle où manquer une porte, Five n'avais rien dit, j'en ai peut-être dit trop, je l'ai effrayé ? Me trouvera t-il encore plus bizarre que avant ? On a pas le temps pour ça.
Je me dirige vers une des télé qui était encore allumée, j'enlève la poussière qu'il y a dessus et tourne les boutons pour que ça fonctionne, un grésillement retenti, et la tête de Herb apparaît sur l'écran. Five s'était rapproché de moi.
— Il y a eu une déchirure dans le continuum espace-temps qui avale tout, explique Herb ; On a perdu Dot, Iris, Josh de la compta. Ils ont tous disparu, Five tourne le bouton pour avancer la vidéo ; J'ai tout essayé, je ne sais pas quoi faire d'autre. La ligne temporelle s'écroule. ( Des cris résonnent à l'arrière de la vidéo.) Ça y est, on y est. C'est la fin, fini par dire Herb avant de disparaitre par un truc chelou dans un cri.
— Je tuerais pour des oeufs brouillés, dit soudainement Lila qui était revenu.
— C'est plus important que la ligne temporelle.
— Y a quoi de plus important ?
— L'univers entier. La disparition de chiens et de personnes. C'est l'inverse du Big Bang. Au lieu d'être en expansion, l'univers s'effondre sur lui-même.
— Comme un prolapsus rectal.
— C'est une analogie étrange, mais oui.
— J'ai trouvé ça. Ça pourra nous donner des réponses.
Elle donne le manuel de la Commission à Five, putain que je hais ce livre, des mauvais souvenirs reviens avec mes parents qui me forcer à le lire et à l'apprendre.
— Alors le protocole. " Dans le cas peu probable du paradoxe du grand-père, le fondateur et tout le personnel indispensable devront..." Five se fait couper par Lila
—"...être confinés dans le bunker des opérations" fini Lila ; Le fondateur, c'est qui ?
Des débris tombent encore une fois devant nous. OK, là c'est urgent.
— Il faut qu'on trouve le bunker... je commence ; et vite, disons ensemble Lila et moi. Chips.
— T'as plus le droit de parler.
— Tu rigole on l'a dit en même temps ! m'exclamai-je.
— Les filles s'il vous plaît.
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Apocalyptic Love
FanfictionLes Hargreeves reviennent chez eux après deux apocalypse qu'ils ont essayé d'échapper mais ce deux-mille-dix-neuf là à encore été changer par la Sparrow Academy qui on remplacer les Umbrella. Personne ne comprend ce qui se passe quand une jeune femm...