Je sors de la salle de bain et pars dans ma chambre. Je cherche mon pyjama, le prends ainsi que des sous vêtement, je les enfiles puis sors de ma chambre.
Je me faufile dans le couloir quand mes cheveux sont agripés par quelque chose. Je tourne délicatement ma tête et vois ma mère, les yeux rouges, probablement à cause de la drogue, elle empeste l'alcool et elle sers les dents, folle de rage.
Non, non, non, laisse moi tranquille...
Elle prend violemment ma tête et la plaque contre le mur du couloir. Je m'effondre au sol peu de temps après mais elle me reprends directement en me traînant par les cheveux vers l'escalier.
Elle descends marche par marche l'escalier et me trimballe derrière elle, toujours en me tenant les cheveux.
Je met ma main sur la sienne et la pince de toute mes forces. Elle hurle et me gifle à mainte et mainte reprise.
Ma joue est en feu mais ce n'est pas pour autant qu'elle s'arrête. Elle explose une bouteille de vodka contre le mur et récupère un morceaux de verre avant de me l'enfoncer en plein dans le bas de mon ventre, du côté droit, vers mes côtes.
Je hurle de douleur, sûre le coup du verre à l'intérieur de ma peau et en plus l'alcool qui était encore un peu dessus et me lève en une fraction de second pour lui faire face. Elle me regarde d'un regard que je peux très bien le décrire tellement elle me regarde à chaque fois de cette manière, haineuses et même coléreux.
Je file dans la salle de bain, comme je peux a cause de ma blessure, mais essaye de me dépêcher vu qu'elle me suit de près.
Je m'enfermes dans la salle de bain et cherche à toute vitesse la trousse de secours. Je prends de l'alcool désinfectant et une compresse avec un gros pansement.
Je me soigne et attends qu'elle parte de devant la salle de bain.
Comment c'est possible d'avoir une "mère" qui peut nous faire vivre un enfer en une fraction de seconde?
J'essuie une larme qui perle depuis tout à l'heure sur ma joue.
Allez tu ne peux pas pleurer pour elle! Elle te veux que du mal, papa à toujours dit de ne jamais pleurer pour des personnes mauvaises, et aller de l'avant et oser la défier comme il se dois. Je suis ton instruction papa.
Je sors de la salle de bain et il n'y a personne. Des bruits de télé se font entendre. Elle s'est calmé la connasse?
Je file dans ma chambre et prends un briquet. J'ouvre mon placard et m'engouffre à l'intérieur. Je descends mon short et écarte les cuisse.
Allez une seule, ça ne fait rien de mal.
Je commence à faire une brûlure. Les larmes dévalent mes joues. J'en fait une deuxième, une troisième, je ne m'arrête plus.
Putain il n'y a plus de gaz butane...
Je me relève, remet mon short et sors de l'armoire. Je vais vers ma poubelle et jette le briquet, désormais vide.
Je descends en bas et me lave les mains. Je sors du frigo une pasta box, je n'ai pas envie de cuisiner vu mon état.
— Tu bouffe encore sale grosse?
— Ferme ta gueule, Myriam.
La première fois que je l'appelle par son prénom au lieu de son surnom que je n'oserais plus jamais dire en la désignant, maman.
— Tais toi et prépare moi ces pâtes de merde.
Tu cois je suis ta chienne, bouffone.
Je met au micro onde les pâtes et dès qu'elles ont fini de cuir je remonte directement dans ma chambre avant qu'elle ne m'interpelle pour faire les siennes.
Je m'installe dans mon lit et ouvre mes rideaux de chambre avant de m'installer dans mon lit et de contempler la lune avant de prendre mon ordinateur.
Je l'allume, me connecte et vais sur Netflix. Je cherche une série à regarder. Outer banks, parfait. Je l'active et commence à manger. Mon téléphone vibre. Je décroche
— Allo, ma chérie?
— Salut, papa... dis je en soufflant.
— Qu'est ce qu'il ne vas pas?
Je n'ose pas lui dire ce qu'elle me fait subir...
— Je suis fatiguée mentis-je
— Je ne vais pas plus te déranger que ça alors bisous, dors bien ma chérie.
Je n'ai même pas le temps de lui dire bonne nuit qu'il me raccroche au nez, super!
Je finis de manger et me couche.
Le lendemain matin
06h18La sonnette retentit. Je me lève et pars ouvrir. Je longe le long du couloir en fesant aucun bruit et descends minuscieusement les escaliers. J'ouvre la porte et je vois 5 hommes, très grand, tous vêtu uniquement de noir, avec un seul qui a un casque de moto et certains ont des clés de voitures en main.
Je commence à prendre peur. Qu'est ce qu'il font là? Je referme la porte mais le gars tout devant met son pied tout juste pour laisser la porte entre ouverte et l'ouvrir en grand par la suite.
Je prends mon flingue que j'ai mis dans la poche arrière de mon jean avant de descendre. Je le sors et le pointe sur le premier gars.
Celui-ci recule d'un pas et reste à me regarder, confiant de ce qu'il fait.
— C'est qu'elle a l'habitude la petite. Dit il.
— Ferme ta gueule, et dis moi ce que vous faite la sinon je tire, j'ai de l'expérience croyez pas je suis nul.
— T'as tué combien d'hommes?
— 43, mais cela ne réponds pas à ma question, répondis-je pendant que eux restes choqué, que faite vous ici, et pourquoi?
— Ton père, il a...
— Attends mec, on ne lui a pas demander le nom ni le code! Surgis une autre voix derrière lui.
— Mafia Sanchez, 2006.
— Très bien, ton père nous a ordonner de venir te chercher, il veut te voir en urgence.
— Comment ça? Il ne m'en a pas parlé au téléphone hier. Dis je en rabaissant mon arme qui était pointée sur les jeunes hommes.
— Bon prépare tes affaires on dois partir, maintenant.
Je monte les escaliers en boitant du à hier.
Je longe le couloir et tombe sur ma mère folle de rage.
— T'as ouvert à qui salope?
— Personne!
— Fou toi de ma gueule encore.
Elle m'attrape le bras et me descends dans les escaliers. Les gars voient ma mère me trimballer et me jette par terre avant de me donner deux coup de pieds sec dans les côtes et de leur adresser la parole.
— Vous m'excuser jeunes gens mais ma fille n'est pas disponible pour baiser à cette heure ci. Vous pouvez venir plus tard, Merci, ciao.
VOUS LISEZ
Sous grand danger
Teen FictionMa mère..elle me frappe à bout. Mon père, son ex mari le découvre petit à petit et va demander à ses hommes du gang de me protéger des ennemis et de ma mère, sans savoir que... (Il y a des fautes, je suis désolée..)